Le site est actuellement en maintenance. Cette version vous permettra néanmoins de continuer à suivre l'actualité.

L'équipe MATA-web

C'est le 06 Juin 2012 que sortira au cinéma l"adapatation animée du roman graphique de Couleur de Peau: Miel, par son auteur Jun et Dominique Boileau. Le film est produit par Mosaïque Films et Artémis Productions et distribué par Gébéka Films. Le roman graphique est publiée aux Éditions Quadrants/Soleil. Le film fait parti de la sélection officielle d'Annecy 2012.

Couleur de Peau : Miel

Une production Mosaïque Films, Artémis Productions|En coproduction avec France 3 Cinéma, RTBF (Télévision belge), Panda Media, Nadasdy Film, Radio Télévision Suisse, Belgacom| En association avec Tax Shelter Films Funding, Casa Kafka Pictures, Casa Kafka Pictures Movie Tax Shelter empowered by Belfius|Avec la participation de France Télévisions, du Centre national du cinéma et de l’image animée et le soutien du Fonds Images de la diversité|Produit avec l’aide du Centre du Cinéma et de l’Audiovisuel de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de VOO|Avec le soutien de la Wallonie et du Tax-Shelter du Gouvernement fédéral de Belgique|Avec le soutien de la Région Provence-Alpes-Côte d'Azur, de la Région Poitou-Charentes, du département de la Charente, dans le cadre du Pôle Image Magelis, de la Région Alsace, de la Communauté urbaine de Strasbourg, de la Région Aquitaine, de la Région Lorraine - en partenariat avec le CNC|Et le soutien de la Région Champagne-Ardenne|Développé avec le soutien de Media et de l’Angoa|Produit par Thomas Schmitt, Patrick Quinet|Producteurs associés Sibylle Seys-Smets, Arlette Zylberberg, Jean Vercoutère, Nicolas Burlet, Nicolas Piccato, Jean-Luc Desmond

(c) DR

 

Réalisateurs : Laurent Boileau et Jung

Directeur artistique et technique Jean-Jacques Lonni

Assistant réalisateur Thierry Czajko

Assistant réalisateur (Corée) Sanghoon Lee

Production exécutive

francetélévisions signature - Filière Production (Nancy) – La Station Animation (Arles)

2 Minutes Animation (Angoulême) – Dreamwall (Charleroi) – Nadasdy Film (Genève)

Amopix (Strasbourg)

Auteur graphique Jung

Lead storyboarder Alexis Madrid

Création des personnages

Supervision designs personnages Éric Briche

Supervision modeling Samuel Chauvin

Supervision modeling / set-up (figurants) Olivier Druart

Création des décors

Conception et supervision des décors couleurs Olivier May

Supervision lay out décors Agnès Jon de Coupigny

Animation 3D

Supervision des designs des props Olivier Auquier

Supervision animation Christophe Devaux

Effets spéciaux Joël Bazsalicza

Conception et supervision du compositing et rendu Mauro Carraro – Émilien Davaud

Animation 2D

Supervision animation Zoltan Horvath

Supervision banc-titres animés Cyril Renaudin

Tournage vues réelles en Corée du Sud

Directeur de la photographie Remon Fromont sbc

1ère assistante image Anne-Françoise Bersou

Ingénieur du son Dan Vanbever

Post-production

Chef monteur Ewin Ryckaert

Conformation et étalonnage Michaël Cinquin

Bruitage Philippe Van Leer

Montage son Quentin Collette – Matthieu Michaux

Mixage Philippe Charbonnel

Comédiens

Voix Jung narrateur William Coryn – La mère Christelle Cornil

Le père Jean-Luc Couchard – Jung (8 ans) Arthur Dubois

Jung (17 ans) David Macaluso – Cédric (8 ans) Maxym Anciaux

Cédric (17 ans) David Murgia – Coralie (5 ans) & Gaëlle (5 ans) Alayin Dubois

Coralie (8 ans & 16 ans) Aaricia Dubois – Gaëlle (14 ans) Cathy Boquet

Catherine (7 ans & 10 ans) Jazz Marlier – Valérie (3 ans) Mahé Collet

Carole & Valérie (12 ans) Pauline Souren

Musique originale Siegfried Canto

Musique originale et interprétation Little Comet

Durée : 01h15

Pays : France / Belgique

synopsis : Ils sont 200 000 enfants coréens disséminés à travers le monde depuis la fin de la guerre de Corée. Né en 1965 à Séoul et adopté en 1971 par une famille belge, Jung est l’un d’entre eux.

Adapté du roman graphique Couleur de peau : Miel, le film revient sur quelques moments clés de la vie de Jung : l’orphelinat, l’arrivée en Belgique, la vie de famille, l’adolescence difficile... Il nous raconte les événements qui l’ont conduit à accepter ses mixités. Le déracinement, l’identité, l’intégration, l’amour maternel, tout comme la famille recomposée et métissée, sont autant de thèmes abordés avec poésie, humour et émotion... Réalisé dans un étonnant mélange d’images réelles et dessinées, entre présent et souvenirs, utilisant à l’occasion des archives historiques et familiales, Couleur de peau : Miel est un récit autobiographique d’animation qui explore des terres nouvelles.

LA MÊME CAVERNE

Jung : Je fais de la bande dessinée depuis une petite vingtaine d’années, j’aborde inlassablement les mêmes thèmes, à savoir, le déracinement, l’abandon, l’identité, l’Asie, la fratrie… Mon envie de dessiner est née de désir d'aborder à travers le filtre de la fiction toutes ces thématiques qui me sont chères. Jusqu'au jour où j'ai décidé de ne plus jouer à cache-cache avec moi même et d'entreprendre Couleur de peau : Miel, mon autobiographie dessinée...

Il était important pour moi de parler de l’adoption et en particulier, du thème de l’adoption internationale coréenne. Point de départ pour évoquer la manière dont j'ai vécu l'abandon, le refus de mes origines coréennes, l'autodestruction, mon rattachement à une autre culture de l'Extrême-Orient, celle du Japon, pays dont je pouvais être fier et qui était l'ennemi juré de la Corée. Mais au delà de la problématique des origines, c'est l'évocation de la mère biologique, de la mère adoptive, l'intégration dans ma nouvelle fratrie, l'acceptation de mes mixités, la reconstruction de soi qui m'intéressaient.

Je reçois régulièrement des lettres particulièrement touchantes de lecteurs me remerciant d’avoir fait ce livre, mais aussi de parents adoptifs qui comprennent mieux leurs enfants. Un médecin m’a dit qu’il se servirait de ma BD pour son travail, beaucoup d'adoptés m'écrivent pour me dire qu'ils se retrouvent dans mon histoire. Je ne m’attendais pas à un aussi "beau" retour des lecteurs.

Le cinéma est un autre medium, sans doute plus contraignant que la BD car c'est un travail d'équipe, permettant moins de libertés… Je ne suis plus "Dieu" devant ma feuille de dessin. Je dois composer avec de tierces personnes : les techniciens, les producteurs, plus de 150 personnes en tout... et veiller à ce que les uns et les autres tiennent le cap dans la bonne direction. Au final, le cap a bien été tenu et le bébé est beau, il est même magnifique ! Je ne regrette pas d'avoir momentanément échangé mon crayon et mes pinceaux contre une caméra.

Les outils sont différents, mais c'est toujours la même histoire que je raconte, je suis toujours sur mon terrain de prédilection, j'explore la même caverne, celle de la quête identitaire qui n'en finit pas, qui est constamment en gestation, en devenir.

Le film Couleur de peau : Miel nous emmène parfois plus loin que mon roman graphique… Le mouvement, les voix, le bruitage, la musique, le rythme de la narration et des plans contribuent à apporter au film une très forte charge émotionnelle. Ce film a été conçu dans le respect des codes de narration propres au cinéma, mais la dimension autobiographique de cette aventure nous a poussés à bousculer certaines habitudes et à trouver notre propre voie, notre propre identité. Le mélange entre le réel, l'animation 3D, 2D et les dessins fixes font de ce film hybride un objet singulier qui a mis du temps à trouver ses repères. C'est le fond qui a déterminé la forme.

Le matériau est réel, il était donc difficile de figer complètement les choses sur un story-board. Tout est resté en mouvement, jusqu'à la fin. Un film dont le sujet principal est la quête identitaire, ne pouvait pas être tout à fait comme les autres. Sa fabrication non plus...Néanmoins, l'objet final est à la portée de tous et devrait de par son universalité toucher le coeur des gens... ///

DE LA BD AU FILM

Laurent Boileau : Grand lecteur de bandes dessinées et de romans graphiques, je ne connaissais de Jung que ses ouvrages à consonance asiatique. En novembre 2007, je suis tombé sous le charme de Couleur de peau : Miel. Avec un regard décalé et un ton souvent ironique, Jung y relit sa propre vie et s'interroge sur son passé, ses racines et son statut d'adopté. L’adoption renvoie à de multiples notions complexes : identité, déracinement, famille, absence, abandon, destin, différence. Le fil interrompu de la vie doit se reconstruire, et pour y parvenir, il faut puiser une énergie au plus profond de soi. Jung a mis longtemps avant de se raconter. Il n'est pas facile de prendre de la distance avec une histoire qui marque autant l’esprit, parfois la chair.

Notre rencontre a naturellement débouché sur une envie commune : celle de s'accompagner mutuellement pour évoquer au-delà des problèmes propres à l'adoption, l'acceptation de soi et de la différence. Un des enjeux scénaristiques de l'adaptation était donc de s'appuyer sur l'histoire personnelle de Jung sans la trahir mais en cherchant à la rendre plus universelle. Il a fallu pour cela étoffer la personnalité de chaque membre de la famille et développer la nature des relations entre eux. D'un point de vue dramaturgique, l'adoption est un élément perturbateur donc intéressant. De nouveaux liens sont à tisser entre les enfants mais aussi entre parents et enfants. La place de chacun est remise en cause, un nouvel équilibre doit être trouvé. Les familles recomposées vivent la même problématique.

Je souhaitais également que le film ne se cantonne pas au simple regard sur un passé d'enfant et d'adolescent. Le statut d'adopté ne s'abandonnant pas aux portes de l'univers des adultes. J'ai donc proposé à Jung d'aller plus loin que son roman graphique et d'intégrer au film une réflexion au présent sur ce qu'il allait vivre en retournant pour la première fois en Corée et sur ce qu'il vit aujourd'hui. Le film nous dévoile l'histoire d'un homme déraciné cherchant à mettre fin au combat stérile du refus de ses origines. L'histoire personnelle de Jung renvoie aussi à l’histoire collective d’un peuple divisé, séparé par une ligne de démarcation depuis 1953. De par son ampleur, l'adoption internationale coréenne est un phénomène étrange et unique au monde. Porté par la personne de Jung, le film déborde de la simple investigation personnelle, la quête de sa famille biologique s'avérant vaine. Il nous révèle l'incroyable aptitude humaine à survivre, s'adapter, à créer et à se renouveler.

De l'animation (2D et 3D), des dessins, des prises de vues réelles, des archives historiques et familiales... Couleur de peau : Miel mélange allègrement les genres. Est-ce une fiction ? Un film d'animation ? Un documentaire ? Un film autobiographique à coup sûr. Un récit miroir qui nous renvoie inexorablement à notre propre histoire, à nos propres quêtes...

UNE PRODUCTION HYBRIDE

Le métissage culturel de Jung, reflété dans la forme variée du film, s’est retrouvé presque naturellement dans le schéma de production et de fabrication du film. La coproduction franco-belge (Mosaïque Films/Artémis Productions) s’est scellée dès les origines du projet et a été déterminante dans le processus de création du film. Une société de production coréenne s’est jointe à nous pour prendre en charge le tournage à Séoul. Rencontré de manière un peu imprévue au cours de la fabrication, un producteur suisse, Nadasdy Film, a également participé à la coproduction et réalisé les séquences d’animation 2D.

Liée à un process inventé pour combiner au mieux animation 3D des personnages et leur intégration dans des décors 2D, la fabrication du film s’est déroulée sur dix sites différents, bien qu’uniquement en Europe. En France, le film a été conçu (scénario, storyboard, images de référence) à Bordeaux et à Reims. La production 2D quant à elle (décors et design des personnages) s’est faite à Angoulême alors que la modélisation 3D des personnages et leur animation ont eu lieu essentiellement à Arles, avec des props designés et modélisés à Charleroi en Belgique. Le rendu 2D et le compositing se sont fait à Genève, en Suisse, à Strasbourg et à Nancy. La production a été suivie depuis Paris et Bruxelles et la postproduction (montage, enregistrement des comédiens, mixage, étalonnage, travaux de laboratoire) s’est faite en Belgique (Bruxelles et Wallonie). C’est un site virtuel qui a permis au quotidien la gestion des données graphiques et la gouvernance de ce territoire de fabrication inédit.

Disséminés sur sept régions françaises et une région belge, les graphistes ont été choisis pour le talent spécifique qu’ils pouvaient apporter à ce film particulier. Homme-orchestre des techniques d’animation les plus variées, notre directeur artistique et technique a piloté ce casting de créateurs issus des divers champs de l’animation.

un mot sur l'auteur :

Jung : Jung est né le 2 décembre 1965 à Séoul, en Corée du Sud. Adopté par une famille belge en 1971, il prend le nom de Jung Henin. Il suit des études d'Humanités Classiques (latin et mathématiques) à l'Athénée Royal de Rixensart, avant de fréquenter un an, en 1985, l'atelier Saint-Luc de Bruxelles. Il étudie ensuite à l'Académie des Beaux-arts de Bruxelles, en section Illustration. Parallèlement, il fait un bref passage dans la section dessin animé, à la Cambre. C'est en 1987 que sa carrière prend un tournant décisif, puisqu'il rencontre Marc Michetz, qui le présente au magazine Spirou. Cela lui permet d'illustrer quelques courts récits dans Spirou et Tintin. Il travaille alors quelques mois dans l'atelier d'Yslaire et de Darasse, et illustre aussi les couvertures du Belgian Business Magazine. En 1991, Jung publie le premier des quatre tomes de Yasuda, chez Hélyode-Lefranc. La finalité de ses dessins est pour lui de faire transparaître des émotions, des sentiments, avec des personnages bien présents, vivants. En 1997, en collaboration avec Martin Ryelandt, il réalise La Jeune Fille et le Vent, aux Éditions Delcourt. L'univers asiatique de cette série d'heroïc-fantasy est un retour à ses origines coréennes, et le fantastique lui permet de renforcer le côté évocateur de son dessin. En 2001, il publie avec Jee-Yun Kwaïdan (3 tomes) aux Éditions Delcourt, une nouvelle série qui frappe par la beauté des couleurs directes et la poésie subtile et raffinée qui émane de ce conte nippon. En 2006, toujours en collaboration avec Jee-Yun, il publie Okiya, un conte érotique japonais. Il a publié aux Éditions Delcourt Kyoteru une histoire sur le monde des enfants ninjas. Le premier volume de la trilogie Couleur de peau : Miel sort en librairie. Après quelques allers retours entre la Belgique et la Thaïlande, Jung décide de poser ses valises en France.

BANDES-DESSINÉES

Couleur de peau : Miel (depuis 2007, Éditions Quadrants)

Frôlements (2009, Éditions Paquet)

Kyoteru (depuis 2008, Éditions Delcourt)

Kwaïdan (2001-2008, Éditions Delcourt)

Okiya (2006, Éditions Delcourt)

La Jeune Fille et le vent (1997-1999, Éditions Delcourt)

Yasuda (1991-1995, Éditions Hélyode)

Un mot sur le réalisateur :Laurent Boileau

Laurent Boileau, 43 ans, a travaillé pendant 10 ans comme chef opérateur puis comme chef monteur sur de nombreux documentaires (France 2, France 3, France 5, Canal +, Planète…). En 1999, il passe à la réalisation. Il participe à la série L’Éducation en questions, produite par Mosaïque Films pour France 5. En 2002 et 2003, il réalise Un collège pas comme les autres pour Planète future sur un collège innovant à Lyon. Sa passion pour la bande dessinée et plus généralement sur les arts graphiques l’amène à réaliser plusieurs films sur le 9e art : Les artisans de l’imaginaire (France 3, 2004), Spirou, une renaissance (TLM, 2004), Franquin, Gaston et compagnie (France 5, RTBF, 2005), Les Chevaux de papier (Equidia, 2006), Sokal, l’art du beau (France 3, 2007), La Pologne de Marzi (TV Rennes 35, 2009). À l’occasion des 20 ans de la chute du mur de Berlin, il a développé une série d’animation pour la RTBF et curiosphere.tv (diffusée également au Festival de Pessac). Parallèlement à son métier de réalisateur, il a chroniqué sur le site d’actualités actuabd.com et animé le site BD de France Télévisions.

FILMS RÉALISÉS

Marzi, la fin du communisme (Animation, 10x3’, 2009)

La Pologne de Marzi (26’, 2009)

Sokal, l’art du beau (26’, 2007)

Les Chevaux de papier (52’, 2006)

Franquin, Gaston et cie (52’, 2005)

Spirou, une renaissance (52’, 2004)

Les artisans de l’imaginaire (52’, 2004)

Un collège pas comme les autres (52’, 2002)

L’Éducation en questions : Pauline Kergomard ou l’école maternelle : pour quoi faire ? – Édouard Claparède ou peut-on faire une école mesure ? (2 x 13’, 2001)

MOSAÏQUE FILMS

Membre du SPI, de l’AST et associée au Groupe Galactica, Mosaïque Films, créée en 1997, a développé un catalogue de plus de 60 documentaires, et a débuté en 2007 son activité de long métrage en salles avec Elle s’appelle Sabine de Sandrine Bonnaire. Producteur et distributeur du documentaire cinématographique À ciel ouvert d’Inès Compan, Mosaïque Films est coproducteur de la première fiction de long métrage de Sandrine Bonnaire, J’enrage de son absence avec Alexandra Lamy et William Hurt.

La société est dirigée par Thomas Schmitt et se développe autour de quatre grandes thématiques : art & culture, science & santé, éducation, société. Le point commun des films est l’expression d’un engagement social, d’une éthique et la découverte de réalités complexes et d’univers méconnus, où humour, richesse et diversité de l’image sont fortement appréciés. Récemment, Mosaïque Films a produit La Grande Invasion de Stéphane Horel, une enquête documentaire nourrie d’animation sur la pollution chimique de nos domiciles, ou encore L’Abécédaire de la biodiversité de Jean-Christophe Ribot une série de 26 films courts d’animation qui expose les grandes thématiques de la biodiversité. Nous sommes actuellement en production sur Le Génie de Bagdad d’Ovidio Salazar qui raconte l’histoire de la naissance du vrai premier empire islamique, sur Quand les cygnes dansent d’Anne Buxerolle qui suit la conception du prochain spectacle de Luc Petton mettant en scène danseurs, cygnes et autres volatiles, mais aussi notamment sur B4, fenêtres sur tour, un webdocumentaire de Jean-Christophe Ribot qui dresse le portrait de locataires vivant dans différentes cités d’Île-de-France, réunit au sein de B4.

Pour en savoir plus : www.mosaique-films.com

ARTÉMIS PRODUCTIONS

C’est en 1992 que Patrick Quinet fonde Artémis Média, devenu aujourd’hui un groupe orienté vers la production (Artémis Productions sa), la production exécutive/distribution (Artébis sprl) et le financement Tax Shelter (Taxshelter Films Funding). Patrick Quinet est Président de l’Union des Producteurs de Films Francophones depuis 2001. Il est également créateur et Président de l’Académie André Delvaux qui initie depuis 2010 les Magritte du cinéma afin de contribuer à la renommée nationale et internationale des talents belges.

En vingt ans, Artémis Production a produit 22 courts métrages, 24 documentaires, 23 longs métrages de fiction belges, et a coproduit 50 longs métrages minoritaires et 8 téléfilms. On trouve pêle-mêle dans le catalogue de la société des réalisateurs belges tels que Frédéric Fonteyne, Chantal Akerman, Philippe Blasband, Alain Berliner, Lucas Belvaux, Michael Roskam, Stefan Liberski, Bernard Bellefroid, Luc et Jean-Pierre Dardenne…, et des réalisateurs étrangers tels que Jacques Doillon, Elia Suleiman, Martin Provost, Amos Gitai, Michel Hazanavicius, Abbas Kiarostami, Francis Veber, Yann Samuell, Christian Carion, Philippe Lioret… Artémis est l’une des principales sociétés de production de cinéma belge indépendant.

Pour en savoir plus : www.artemisproductions.com

Site du film : http://www.couleurdepeaumiel-lefilm.com/


source : Gébéka Films