Mouais, mouais, mouais.
Le début très humoristique n'était pas génial, les gags ne m'ont pas fait arracher un seul sourire.
Sinon, la réalisation technique est meilleure que dans les deux précédents avec de jolis plans sur Sôma.
On en apprend un petit peu plus sur le passé du père de Sôma et on découvre qu'il était un joyeux drille.
En revanche, le combat entre Sôma et la meurtrière de son père n'est guère palpitant comme le souligne SSK, Sonia esquive les coups de son adversaire et le duel s'achève sur le coup puissant qu'elle n'a pas réussi à éviter.
Faudra m'expliquer aussi pourquoi cet abruti de Haruto disparaît comme ça sans prévenir.
Pour Ikki, on savait que c'était un rebelle qui était un loup solitaire n'aimant pas travailler en bande, même s'il suivait certains de ses compagnons de loin pour s'assurer qu'ils ne courent aucun véritable danger.
Mais pour Haruto, on en sait rien. Serait ce par paresse ou stupidité qu'il agit ainsi?
Et Eden, il est passé ou?
Cela manque aussi de combats intenses et de longue haleine, ceux ci n'excédant jamais une moitié d'épisode.
Bon bien sûr, comme l'a dit le brave Ialda, il est hors de question de sombrer dans les horribles longueurs d'un Dragon Ball Z (le combat INTERMINABLE opposant Goku à Freezer), mais lorsque ceux sont trop brefs ou expéditifs, il est difficile également d'être captivés par bon nombre d'entre eux...
Saint Seiya Omega se laisse toujours regarder, mais je commence petit à petit à m'en lasser: comme l'ont dit certains, elle est trop aseptisée et manque un peu de punch et surtout d'émotion (un des plus grands points forts de la série animée de 1986).
Pourtant, comme l'a déclaré SSK, elle a le potentiel pour être excellente et être beaucoup plus intense et passionnante...
Bon, je continue quand même à regarder, en espérant que l'épisode suivant marquant le retour de mon personnage favori de la série originale soit réussi comme le fut celui de Shun...
Espérons aussi
