Mon corps n'est pas prêt pour Machine of Pigs.
Call of Cthulhu Dark Corners of the Earth (et Eternal Darkness, m'as-ton dit) jouait déjà particulièrement bien avec ce mécanisme de la gauge de santé mentale invisible au joueur mais utilisée pour déclencher des hallu. Ambiance, ambiance.
Et ce n'est absolument pas un jeu centré sur l'horreur, mais Planescape Torment possède plusieurs moments où j'ai ressenti une vraie bonne bouffée de peur bien paranoiaque
[Montrer] Spoiler
(le passage avec la version uncut du journal de Sans-Nom dans le tombeau de ce dernier).
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Sinon, la dernière catastrophe en date du côté de EA fait peine à suivre mais est excellente si on a envie de rire jaune. Ultima 4 revient en F2P (et avec Lady British aux commandes). Le directeur créatif de Bioware a une manière assez amusante de relativiser son boulot :
"I mean, I'm aware that Battleship Potemkin defined modern cinema, but it's not a great view. You watch it and go, 'it's black and white and a bit crap, I'd rather watch something else.' And that's basically the problem we've been faced with, is how to reimagine and reboot a classic and make it so that there's a new generation that can have an Ultima."
Suivre tout ça va atteindre des niveaux de drôlerie digne d'une catastrophe ferroviaire en slow-motion.
Même quand on s'appelle EA, c'est rare d'avoir l'opportunité de tuer une franchise à deux reprises.
Bravo EA.
