VIDEO : Starship Operators en DVD / Sorties fin Septembre

[Calypolite]

On ne l'attendais plus (pour ceux qui l'attendaient), mais le site d'Amazon viens de mettre sur son planning la sortie prochaine de l'intégral des 12 épisodes de Starship Operators



Sortie : 30 septembre 2010

Voguant dans l'espace, la 73ème classe de cadets de l'Université de la Défense est en test à bord de « l'Amaterasu ». A leur retour, les cadets découvrent que leur pays est en guerre et s'est rendu sans combats. Ils décident alors de mener leur propre bataille depuis leur vaisseau stellaire. Et pour obtenir assez d'argent pour leur campagne, ils deviennent les stars d'un show de téléréalité d'un nouveau genre : la guerre en direct.

Source : amazon.fr

[Audiokarate]

Quatre ans pour la sortir, ca va ils auront mis le temps...et bien sur ça va faire un bide complet.

[Calypolite]

Mais cela sera surement plus rentable que de laissé la série pourrir dans les cartons

[Mitch69]

Il reste quoi coté vieilles licences chez dybex à sortir ?

[jing]

Shin Angyo Onshi ZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZ

[Zêta Amrith]

Tetsujin 28 version 2004.

[Mitch69]

Pour la fin Septembre , on pourra aussi noter les nouveaux prix de certains anciens coffrets :
- Please Teacher (15€99 sur le site de la FNAC).
- Godannar coffret intégral (15€99 sur le site de la FNAC)
- Figure 17 coffret intégral (10€00 sur le site de la FNAC)
- Gasaraki coffret intégral (16€99 sur le site de la FNAC)

et peut être le deuxième coffret de Greed Island Final.

source : FNAC.com

[Zêta Amrith]

Et Gasaraki (16€99).

[Merlin]

Et Gasaraki (16€99).

Tiens jamais vu c'est vrai.
Si ça vaut tant le coup que ça je me le prendrais. Serie moyenne? Très bonne?

[El Basto]

Ultime.

[faethor]

Et Gasaraki (16€99).

Déjà disponible depuis fin août !

[Zêta Amrith]

Gasaraki, série de grande qualité pour peu d'adhérer à son rythme lent et à ses personnages glaciaux. Néanmoins série assez controversée, souvent critiquée aux USA et ailleurs pour sa froide complexité, sa position anti-américaine et un sous-texte que certains ont qualifié de rhétorique nationaliste. Personnellement, j'y vois plutôt l'amertume patriotique du pays sous tutelle que l'on retrouve aussi continuellement, même si de façon plus imagée, chez des auteurs tels que Leiji Matsumoto, ainsi que dans des anime plus récents comme Code Geass.

Ryousuke Takahashi oblige, moephiles et partisans de "Anime = Divertissement" peuvent passer leur chemin.

[Aphex]

Rien à ajouter. Achète :p

(et prends Starship Operators aussi quand ça sort, ça te changera d'Aria >_>)

[Tetho]

Le vrai problème de Gasaraki est l'aspect mystique de la série qui vient un peu foutre la merde dans le coté technophile-realpolitik où la série brille en foutant une thématique "Japon : entre tradition et modernité" à la chose et ne fini par aboutir que sur un mauvais remake d'Evangelion façon "si tu en as la volonté tu peux revenir".
Ça flingue pas la série mais ça lui fout quand même une balle dans la cuisse gauche qui la force à boiter pendant toute sa 2eme partie.

A part ça c'est juste de la pornographie méchaphile à son plus haut degré. L'anime le plus real robot qui existe après les film 1 & 2 de Patlabor.

[Zêta Amrith]

Comme la plupart des anime de Takahashi, la principale thématique de Gasaraki est l'ambition, la quête du pouvoir d'un homme ou d'une pré-oligarchie, qui finissent par dégénérer. A travers les incursions du mystique et du folklore dans la série - qui sont sous-entendues dès le premier épisode histoire de relativiser le décalage - le réalisateur essaie de mettre en parallèle deux prises de pouvoir situées à des périodes différentes du Japon ; et de prétendre par là que si la surface des choses change, les mêmes structures mentales et auto-représentations de la nation japonaise existent à travers les âges, enfouies sous les systèmes qui défilent les uns après les autres. Par la suite, Takahashi a lui-même concédé qu'il n'avait pas réussi à transmettre le propos qu'il souhaitait au public - disons le peu de public resté après la première semaine, d'une aberrante complexité dans le cadre d'un anime de robots.

La toute fin, effectivement décevante sur le plan de la résolution, sent quand même à plein nez le vingt-sixième épisode amputé par les sponsors faute d'audimat, et la solution d'urgence qui va avec. Je n'ai pas l'info pour le corroborer mais... enfin, globalement, Gasaraki souffre surtout d'être trop riche : c'est à la fois un anime de guerre, la vie d'une famille aristocratique, un plaidoyer pour l'indépendance militaire du Japon, une débauche d'effets real robot pour otakus hardcore, une leçon d'économie spéculative, une histoire d'amour platonique, un récit brassant mystique, légendes et SF... des motifs qui parviennent à peu près à co-exister mais qui des fois se court-circuitent les uns les autres.


L'anime le plus real robot à ce jour est probablement FLAG, du même réalisateur.
Moins détaillé, moins centré sur les machines, en 3D qui plus est, mais sans aucun hors-piste.

[Gemini]

L'anime le plus real robot à ce jour est probablement FLAG, du même réalisateur.

J'approuve.
Sinon, ben pas mieux que mes collègues : Gasaraki est un bon anime pour gros fans de robots (un peu comma la majorité des titres de l'auteur) mais avec du mysticisme (et du théâtre). C'est surprenant ; j'ai apprécié.

[Mitch69]

Starship Opérators disponible sur la boutique de Dybex

[Calypolite]

Dybex nous propose l'intégral de la série dans un petit coffret (style carton de céréales) de 2 boitiers slim.
La série ne possède pas de version Française (sans surprise, juste une vostf) et niveau bonus, c'est le néant total (4 bandes annonces éditeurs sur le DVD 2). Autre point dommageable, l'absence de traduction des paroles de génériques et les sous-titres qui n'apparaissent pas en premier lieu et doivent être sélectionnés via télécommande (donc si on n'a pas l'option changement à la volée des sous-titres sur sa télécommande, on tombe sur un os).
Point de vue adaptation, on regrette qu'une fois de plus Dybex ne sous-titre pas les génériques et que l'héroïne principale voit son prénom passé de Shinon à Sinon (comme l'adverbe ce qui est troublant au début)