
An End Has A Start des Editors gagne le grand concours mensuel des meilleures lapallisades, et c'est à peu-près tout. "Bones", "An End Has A Start" ou "The Racing Rats" sont bien sympas mais n'arrivent pas à égaler le caractère entêtant de "Blood", "Munich" ou "All Sparks" du premier album. Et globalement, l'album sonne trop gris, trop monolithique, limite chiant... si on compare avec Joy Division la grande référence de Editors, alors écouter An End Has A Start après Back Room revient à écouter Closer après Unknown Pleasures, la subtilité et l'atmosphère en moins.