
Il n'empêche, sans me perdre dans des masturbations analytiques malvenues, cette histoire surréaliste et les proportions comiques qu'elle prend donnerait presque un cachet artistique à ce choix de (non) distribution.
Après, personne n'est dupe : le contenu de l'album ne mérite certainement pas ce tapage. Et en un sens, c'est une triste façon de redevenir exceptionnel : priver son public de sa musique, et paradoxalement gagner plus d'argent comme ça. Si on voulait y voir une forme de performance en soi, on pourrait en tartiner quinze bonnes lignes.