Vu Edge of Tomorrow. Je ne connaissait pas le roman d'origine, ça a été une grosse grosse surprise ! Le jeu de Tom Cruise est excellent et le film s’enchaîne tout du long, nous prend au tripes. A la base j'adore Le jour de la marmotte, Starship Troopers, et je joui sur Muv-Luv ; ce film est un cocktail parfait
Ce que j'ai préféré dans Edge of Tomorrow, c'est qu'il m'a permi de voir la programmation des UGC :
J'en reviens toujours pas d'avoir vu Mes voisins les Yamada comme ça dans une salle normale en 2014, avec les bandes-annonces et les pubs du moment, j'étais mort de joie. Loupé Chihiro, il faudrait vraiment que je surveille cette case, "La petite séance"
"J'adore trop les doubleurs japonnais de la nouvelle saison de ce manga. Faut que je voye s'il est licencié !" ಠ_ಠ
Joe a écrit:Vu Edge of Tomorrow. Je ne connaissait pas le roman d'origine, ça a été une grosse grosse surprise ! Le jeu de Tom Cruise est excellent et le film s’enchaîne tout du long, nous prend au tripes. A la base j'adore Le jour de la marmotte, Starship Troopers, et je joui sur Muv-Luv ; ce film est un cocktail parfait
Idem bien aimé, surtout je m'attendais a un truc bof , j'aime pas trop l'acteur scientologue faut dire, mais j'aime bien les loopholes dans les films / séries , ca me fait toujours tripper :b j'ai d'ailleurs préféré le film au manga (que j'ai lu après) sur quasiment tous les plans (design monstres, et notamment, la fin)
Excellente scène et je suis entièrement d'accord avec ce bon vieux Bugs Bunny. Bugs a d'ailleurs toujours été un électron libre et un iconoclaste dans l'âme. Et ce passage est aussi un pied de nez savoureux que Joe Dante fait à Space Jam.
Anonymous : Aujourd'hui, j'aimerais vous parler d'un phénomène étrange : le phénomène Roland Emmerich. A chaque nouvelle sortie, ces films s'en prennent plein la gueule de la part des critiques et des spectateurs, lesquels lui reprochent habituellement des scénarios bas du front juste prétexte à de grandes scènes de bravoure, et surtout un patriotisme américain forcené à la limite de l'absurde, ce alors qu'il n'est justement pas américain. Seulement, si la plupart de ces films parlent de soldats et de présidents opposés à des méchants terroristes extra-terrestres et des météorologues mayas, il reste une exception : Anonymous, long-métrage qui se propose d'approfondir une des nombreuses légendes autour du personnage de William Shakespeare. Pour le coup, les retours des spectateurs s'avèrent beaucoup plus positifs, sauf qu'il n'a pas fonctionné en salles. Et c'est ça le phénomène Roland Emmerich : le public va voir ses réalisations pour l'action débile et le spectacle, tout en sachant qu'il sera de bon ton de le descendre ensuite. Seulement, ce même public le considère comme un bouffon : si ses pitreries les amusent, il ne l'intéresse plus lorsqu'il décide de faire quelque chose de sérieux, d'autant plus quand il nous prouve en être capable. Or, Anonymous est effectivement un excellent film, bénéficiant d'un scénario en béton et d'une reconstitution qui a dû couter bonbon pour faire revivre l'Angleterre Élisabéthaine, même si nous sentons un usage massif de l'imagerie numérique. Les acteurs jouent juste - Rhys Ifans, Rafe Spall, Vanessa Redgrave - le mélange de fiction et de faits historiques fonctionne, et il se produit plusieurs retournements inattendus. La réalisation de Roland Emmerich - qui produit aussi le film - se veut discrète, beaucoup moins tape-à-l’œil qu'à l'accoutumée, mais cela ne l'empêche pas de distiller quelques trouvailles, comme cet émouvant générique de fin mis en parallèle d'une salle de théâtre qui se vide. En temps normal, j'adore ce réalisateur pour sa façon jusqu'au-boutiste de traiter l'action et le patriotisme, mais là, il démontre un talent différent mais non dénué d'intérêt. Hautement recommandé, même aux allergiques du réalisateur, cela va sans dire.
Mon nom est Bulldozer : Bulldozer (Bud Spencer) est un ancien champion de football américain reconverti comme marin. Il se retrouve impliqué dans la confrontation entre les soldats stationnés sur une base américaine et les voyous locaux. Il ne lui manque qu'un scénario, l'essentiel du métrage tournant autour des bagarres et de la mise en avant de l'acteur principal. Mais c'est réalisé par Michele Lupo, qui s'occupa de plusieurs films pour Bud Spencer, dont le génial Chissà perché... capitano tutte a me. Nous retrouvons grosso modo les mêmes gags - dont la pluie de baffes ultra-accélérée en hors-champ - mais l'ensemble reste d'une générosité à toute épreuve : c'est con, mais tourné avec une énorme dose de bonne humeur. Et cela fonctionne, en tout cas sur votre humble serviteur
En attendant la BA demain, l'affiche du premier film de Jamel Debbouze, basé sur Pourquoi j'ai mangé mon père, de Roy Lewis. Avec Louis de Funès, donc. Ou plutôt, son incarnation par un autre acteur (Debbouze himself ?) puisque le film emploie la performance capture. Pourquoi, comment, dans quel but... On devrait avoir plus d'infos sous peu.
edit : affiche non définitive d'après le distributeur (ce qui semblait apparent, mais bref)
edit2 : le teaser, plutôt que la BA :
(percap, perfcap... niveau labial ça donne quand même environ de mourir)
Anchorman : Dans les années 70, Ron Burgundy est le présentateur vedette d'une chaine locale de San Diego. Son monde viril et ordonné est boulversé lorsque sa direction décide d'adjoindre une femme à son équipe. Inadmissible ! Je suis allé vers ce film à reculons, car je ne suis pas spécialement client des comédies américaines, en particulier de toute une vague de productions Judd Apatow. Mais à force d'en entendre du bien, j'ai fini par franchir le pas. Et je me suis marré. Pas tout le temps, certains gags coprophages m'ont même plutôt dégouté, mais dans l'ensemble, c'est de la bonne. Ron Burgundy et sa bande de bras cassés machos (et foncièrement débiles), complétement perdus dans leur monde où ils sont en concurrence constante avec les autres chaines, se retrouvent face à une menace inconnue incarnée par Christina Applegate - qui n'a pas vieilli d'un iota depuis Marié deux enfants - et c'est un régal. Les blagues s'enchainent, Ron apparait comme un mélange d'enfant attardé, de génie involontaire, et de gros con passéiste, certaines séquences comme la confrontation avec les autres présentateurs sont hilarantes, non vraiment je ne m'attendais pas à autant apprécié. Maintenant, il faut que je regarde le second volet.
J'avais remarqué, c'est pour ça que j'ai été surpris de pas voir le passage ^^. Enfin après ça reste un film concon quoi, mais c'est toute mon adolescence ou on allait au cinoche voir n'importe quoi, et des fois des films cools comme celui la.