Enfin commencé
Gaim, et j'ai fini ce qui semble la longue introduction avec l'épisode 11 et la fin du concours de Noël.
C'est plutôt sympa. Comme souvent avec les
riders modernes les épisodes s'enchainent tous seuls, même si pour le moment j'ai pas l'impression qu'il se passe grand chose. Le thème du
break dance ne me parle pas vraiment, mais je supporte mieux que le coup de l'école des sitcom de l'espace qui m'avait fait drop
Fourz. Par contre les
Riders, putain, ces fautes de gouts... Surtout qu'ils font vraiment jouets. Quand j'était gosse j'avais des tortues ninjas qui pouvaient revêtir des armures de samurai stockées dans leurs carapaces d'une simple ouverture de cette dernière, grâce a un mécanisme à ressort. Ben les articulations des plaques des armures c'était les mêmes que celles des
riders.
J'aime le héros, la première chose qu'il fait avec son
henshin belt c'est tenter de se la péter au taf avec
D'ailleurs c'est la première fois que les identités des
Riders sont aussi peu secrètes, non ? Certains ne cachaient pas vraiment leur double identité, mais là tout le net est au courant...
Mais pour le moment ce qui me gène vraiment c'est la construction de la série. Elle mélange tout et n'importe quoi sans se soucier de la moindre cohérence. Associer les rivalités entre groupe de
break dance et les combats de la période Sengoku, OK. Associer les formes des armures traditionnelles et les fruits, OK même si ça donne les pires designs de
riders de l'histoire de la franchise. Les trois ensemble c'est déjà moins ça. Mais pourquoi les différents groupent s'affrontent via des pseudo-combats de pokémons et pas par la danse ? Et puis s'ajoute à tout ça la mythologie nordique avec Yggdrasil... C'est vraiment supra bordélique et ça semble pas essayer d'avoir du sens dans ses choix de motifs, comme si la Toei et Urobullshit avaient tout mélangé dans un shaker et regardé ce qui en sortait. Du coup la série manque d'une vraie identité, à part celle du gros OSEF