Le topic cinéma

[shun]

le magasin des suicides est sympa pour l'univers mais très décevant comparé au roman, l'évolution, le message, etc out dans le film.

[Joe]

Tout se déroule comme prévu.

[Windspirit]

Guillermo del Toro est le bro le plus bro de tout le cinéma américain.

J'ai revu Le Labyrinthe de Pan récemment et s'il y a des carences au niveau de l'histoire (les deux aspects (fantastique et historique) qui ne s'emboîtent pas très bien l'une dans l'autre), mon dieu quelle photo, quelle ambiance, quelle mise en scène, quels effets.

On dirait que je décris un anime là.

Moins d'un mois bordel

[Gemini]

[Ialda]

Donc forêt noir + elfes + tonneaux + Laketown + dragon. Pas sûr de savoir comment ils vont faire tenir ça en moins de trois heures. Ils comptent sauter Beorn ?
J'aime beaucoup le design 'Venise du nord' de Laketown.
Vraiment une bonne idée de développer cette sous-intrigue du nécromancien pour expliquer les actions de Gandalf, par au bouquin Bilbo-centric où le magicien pouvait paraitre excentrique dans ses priorités.

[Afloplouf]

Ils comptent sauter Beorn ?

J'espère pas. Ils nous avaient déjà sucré Bombadil et là ils ont 3 films pour un 1 bouquin. Autant les rajouts pour le combat du magicien contre le nécromancien ça peut être sympa, autant si on a droit à Orlando Bloom et pas à Beorn, j'arrache un à un les poils de barbe de Jackson.

Mais surpris aussi d'en voir autant, je pensais qu'ils s'arrêteraient aux tonneaux. Du coup, il va rester quoi dans le troisième film ?
Fin du livre

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On va pas faire 3h sur le combat politique des nains et la bataille des 5 armées ?

[Ialda]

Ça m'étonne aussi

[Montrer] Spoiler

Trois heures sur la bataille des cinq armées, histoire d'enterrer les versions filmées de Helm, Minas Tirith et le Morannon conjugués : on va rire.
Ceci dit en développant convenablement l'attaque de Smaug, puis la bataille, puis le retour de Bilbo, ça tient peut-être ? Le second film s'arreterait aux énigmes ?
Peut-être aussi faut-il voir plus qu'un clin d'oeil dans le titre Histoire d'un aller et retour et faut-il s'attendre à des scènes supplémentaires faisant le lien avec le LOTR ?

[Tetho]

Normalement ils devraient pas mal développer les évènement post bataille des 5 armées et continuer de monter le récit comme un prologue à LOTR (un peu comme avec la scène qui réunissait les 3 anneaux elfiques et Saroumane das le 1er).
Mais le travail de design est à tomber à la renverse, vivement.

Sinon la caméra de Jackson semble toujours faire autant l'amour à Orlando Bloom, ça va me gaver ça je sens.

[Ialda]

Le dernier truc qui me rassurerait c'est que Neil Finn soit confirmé pour revenir pousser la chansonnette au générique de fin.
J'aime bien The Song of the Lonely Mountain

[Deathmes]

L'ours à 00:40, c'est pas Beorn justement?
J'ai un peu de mal avec le rendu de Smaug, mais dans l'ensemble ça donne toujours autant envie.

[Afloplouf]

L'ours à 00:40, c'est pas Beorn justement?

Bien vu Lulu !

[Ialda]

(la gueule du machin, j'ai cru que c'était un warg )

[Deathmes]

Rendons à César ce qui est à César, c'est un personne ayant lu le bouquin qui m'a fait la remarque.^^'

[Gemini]

Je viens de regarder deux films de course avec des traitements très différents :

Grand Prix (1966) de John Frankenheimer : Près de 3 heures pour cette épopée, avec un générique signé Saul Bass. Il commence fort avec des visions impressionnantes du GP de Monaco, au volant de modèles que je n'avais plus vu depuis les premiers tomes de Michel Vaillant. Dans l'ensemble, toutes les scènes de course impressionnent par leur réalisme et la sensation de vitesse et de danger qui s'en dégagent. Sauf que ce flim n'est pas un flim sur la cousre, si vous voyez ce que je veux dire. Ce qui compte, ce sont les pilotes : leurs joies, leurs drames personnels, leurs histoires d'amour,... D'ailleurs, je n'avais jamais vu autant d'adultères dans une production américaine ; heureusement que les fautifs sont soit des femmes (présentées pour la plupart comme des salopes) soit un Français. Le casting est 5 étoiles : Toshiro Mifune, James Garner, Eva Marie Saint, Yves Montand, Françoise Hardy, Adolfo Celi,... et nous sentons que nous sommes dans une grande production américaine, parcourue par la tragédie et un souffle épique. Tant pis si cela se fait au détriment des phases de course, alors que celles-ci sont largement plus captivantes que des intrigues personnelles déjà-vu ; pas très étonnant, dans la mesure où les volants ont été confiés à Fangio, McLaren, et aux autres pilotes de F1 de l'époque. Dommage, donc, que nous n'en ayons pas plus à nous mettre sous la dent, mais rien que pour elles, cela valait le coup d’œil. Et signe de l'époque, le réalisateur abuse des split-screens.



Le Mans (1971) de Lee H. Katzin : Changement radical d'ambiance, avec ce projet mené par Steve McQueen en personne. L'acteur était un authentique passionné de course automobile, et un pilote émérite qui a obtenu des résultats plus qu'honorables sur le circuit du Mans, qu'il avait d'ailleurs surnommé "a french kiss with death".
Lui, ce qui l'intéresse, c'est la course elle-même, ses aléas et ses difficultés. L'intrigue est limitée, il ne doit pas y avoir plus d'une dizaine de lignes de dialogue pendant 1h45 ; le seul personnage un tant soit peu bavard, c'est le commentateur qui tient aussi lieu de voix-off, et que nous ne verrons donc jamais. Pourtant, ça marche. C'est même captivant.
Dans un soucis de réalisme, il a mêlé des morceaux de l'édition de 1970 avec des scènes tournées pour l'occasion, souvent à bord des voitures même. Pour le tournage, il a engagé plusieurs des meilleurs pilotes de l'époque, dont Jacky Ickx ; Steve McQueen lui-même ne fera pas semblant de conduire.
Son format étrange, son ambiance, son style taiseux font de le Mans une véritable curiosité, étonnamment captivante. Il est aussi amusant de noter les différences avec les courses actuelles, en particulier concernant des mesures de sécurité quasi absentes, inimaginable de nos jours.



Des deux films, l'approche minimaliste et moderne de Steve McQueen sur Le Mans l'emporte très largement.

[verino]

Man of Steel: Vu en Avant Première dans une salle parisienne. Le fait que le film s'éloigne de l'image retro des premiers est un atout pour rentrer et apprécier cette vision Nolan/Goyer/Snyder de Sup.man. Le film est clairement divisé en deux morceaux. Une première partie assez intimiste avec tout ce que ça implique comme voyage initiatique et introspection. Plutôt bien rodée avec sa structure sous forme de flaschbacks. Et d'autre part, dans son second morceau, le film fait plus que prévaloir son cachet de blockbuster en renvoyant un Michael Bay à l'école. C'était tout simplement une orgie de FX auréolée par la musique pompeuse de Zimmer. J'ai pris mon pied sur cet ensemble très efficace.
Et j'ai la confirmation qu'une adaptation live de Dragon Ball efficiente demeure faisable vu le dernier tiers du film de Snyder.

[Tetho]

Déjà un échec artistique parce que c'est de la putain de 3D et pas du stop-motion, même si le rendu est très crédible. Mais ça promet un film assez fun.

[Gemini]

Awesome !

[Merlin]

[Montrer] Spoiler

Déjà un échec artistique parce que c'est de la putain de 3D et pas du stop-motion, même si le rendu est très crédible. Mais ça promet un film assez fun.

[Athena18]

Man Of Steel, vu, excellent film.

[Gemini]

Indie Game : The Movie : Intéressant, mais je trouve que la parodie d'Usul ne résume que trop bien ce film. "En fait, Meat Boy est un écorché vif, tout peut le tuer, et comme il n'a pas de peau, il souffre atrocement"

[Tetho]

On en avait parlé ici.
Le coté des créateurs qui se mettent à vu et craquent parfois devant la caméra est l'aspect le plus intéressant du film, celui qui permet le mieux de comprendre leur démarche.

[Gemini]

Même si le film parle de JV, ma réaction première est d'en parler dans la partie cinéma du forum. Enfin, je vais quand même visiter ce sujet.

[Tetho]

Ouais enfin comme tu as probablement du le remarquer ça n'a de film que le nom, c'est un docu plus qu'autre chose et ça n'a pas été exploité en salles.

[Merlin]

Pas vu le film mais marrant de critiquer le scénar de Man of Steel quand l'auteur de cet article a un style plus indigeste que Christopher Nolan qu'il critique.
http://next.liberation.fr/cinema/2013/0 ... ier_911929

[Mattosai]

Ravi par l'homme d'acier également, surtout quand après avoir vu (le très très bof) Iron Man 3 un peu avant

Je voulais de l'action , de la puissance épique et ... de l'action , j'ai pas été déçu , j'espère que ce sera l'occasion de sortir d'autres héros de DC (Wonder woman, Batgirl, Circe, Power girl, Catwoman , Harley )