Avis sur nos derniers manga

[Sch@dows]

Berserk c'est 2 par mois ... quand il le sent n__n

[Aer]

Les info/intox de couloir sont à prendre avec des pincettes. Certes le continent est une possible voie de progression, mais certain disent qu'il voudrait arrêter avant, d'autres non. Bref, on verra bien, mais vu la récente progression, cela ferait une fin tout ce qu'il y a de plus potable.

[Elia]

Berserk c'est 2 par mois ... quand il le sent n__n

Si seulement ... Berserk c'est plutot 3 4 chapitres a suivre et une absence indéterminée de 4 5 mois

[Ileca]

Holyland de MORI Kouji, volume 1.
En passant sur le fait que c'est très mal dessiné, l'histoire d'un pauvre radis sur pattes anciennement victime d'ijime qui est en fait un génie de la boxe et qui savate allègrement les grosses pointures de la rue n'est vraiment qu'une piètre tentative de balancer du déjà-vu en pensant être original avec un débutant déjà au niveau. (De manière intuitive.) Faut que les japonais arrêtent de penser être révolutionnaires en se contentant d'une accroche originale. (C'est ce que je me dis à chaque fois que je regarde Beelzebub.)
En plus, le titre indique clairement qu'on se dirige vers la recherche du pays des Bisounours.

Je n'ai pas non plus été convaincu par le pseudo blabla technique digne d'un collégien. Il est vraiment là pour ajouter le cachet "manga d'arts martiaux". On est loin d'un KISHIRO ou d'un HASHIMOTO/TANAKA.

[Merlin]

Berserk c'est 2 par mois ... quand il le sent n__n

Si seulement ... Berserk c'est plutot 3 4 chapitres a suivre et une absence indéterminée de 4 5 mois

Le topic Berserk est juste en dessous les p'tits loups.

[Sch@dows]

Overbleed 3 (fin) : A ma grande surprise, le volume 3 marque une fin abrupte sur cette série que je trouvait prometteuse sur les 2 premiers volumes. J'y voyais un sous "The Breaker (new wave)", mais la fin est décidément lâcher trop brutalement et sans réel impact. Dommage.

Drifters : J'avais déjà lu les 30 premières pages via Tonkam, qui avaient su piqué ma curiosité. Ce premier volume ne me déçoit pas mais peu laisser assez perplexe.
Quand Hellsing (l'auteur ne peut décidément pas cacher ses origines) rencontre Fate/Stay Night et le Seigneurs des anneaux ... cela donne un melting pot que l'on pourrait presque qualifié de fan-service.
Comme a son habitude, Kohta Hirano envoi du gore et de l'humour bien gras (suffit de voir l'épilogue avec la pucelle pyromane n__n), servis par un dessin pas forcement très beau mais qui possède son identité propre, alternant comme d'habitude un style très sérieux et des scènes SD très mal dessinées mais toujours aussi fandart.
Les habitués de l'humour Hellsing ne seront pas dépaysé.
Quant à l'histoire : Un jeune samurai péri sur le champs de bataille, du moins c'est ce qu'il croiyait ! il se retrouve soudainement devant un fonctionnaire planté derrière son bureau qui va l'envoyé dans un autre monde. Il y fera alors connaissance de personnage qu'il connait bien, des heros du japon ... mort depuis de plusieurs siècles pour certains.
Où a-t-t'il atterit ? et pourquoi est-il ici ?

[Windspirit]

Je viens de lire le manga en deux tomes sur la vie de Jésus de Yoshikazu Yasuhiko et la fin est un magnifique troll qui vaut la peine de se taper deux volumes d'inepties et de bêtises, à lire !

Maintenant, faut voir s'il a fait mieux que Madoka Magica sur Jeanne d'Arc.

[shun]

We are always tome 2 :

un 2 èm tome bien décevant, le coup du chantage n'est pas crédible autant en réaction que pour la raison!
l'évolution du prince est trop soudaine et peine a convaincre, et au final sur ce tome il se passe rien ! bref un 2 èm tome qui tombe dans les clichés et perd en émotion.

la ba du tome 3 ne donne pas plus envie.
dommage le premier tome était excellent.

[Ileca]

C'est quoi cet abus ?

All Rounder Meguru (Panini), 8,95 euros pour un manga rachitique.
Blame - Gakuen (Glénat), 10,55 euros, 162 pages full color en 18x13 cm. Presque aussi cher qu'un Akira ou un Appleseed en qualité moindre. J'aurais payé 20 euros pour une version deluxe. (S'il y a bien un auteur qui mérite un grand format, c'est NIHEI.)
La fin du monde, avant le lever du jour (Kana), 18x13 cm, 15 euros.

Ou comment torpiller ma liste d'achat.

[Sch@dows]

Histoire de chopé une illustration de The Breaker sur le stand booken de la JapanExpo, je me suis laissé tenter par l'un de leur nouveau titre : Hero.

L'auteur nous raconte l'histoire d'un lycéen particulièrement doué en art martiaux qui s'oppose au système de gang qui régissent la plupart des établissement scolaire coréen.
Ayant rapidement mis en déroute le gang de sa nouvelle école, il va se rendre compte qu'il a peut être fait plus de mal que de bien en ayant brisé l'équilibre des forces qui se disputent le territoire.

Le dessin est plutot bon, alternant comme il est de coutume dans ce genre de manga, un style sérieux et un style comique/SD. A noté qu'il m'a été difficile sur quelque page de bien différence 2 des personnages principaux, mais je pense que c'est une question de temps.

L'histoire et la tournure que prends la fin de ce volume laisse envisager une suite plus intéressante qu'une simple suite de combat qui mènerait le protagoniste au sommet de la hiérarchie.

[ElKa]

Broken Blade 1 à 8
Un manga de mecha (que pas mal de personne du coin connaissent il me semble) que j'ai trouvé assez plaisant à lire bien que l'histoire reste à mes yeux très classiques (des anciens amis étudiants qui se retrouve des années plus tard dans différentes strates sociales et même différents camps pour certains) avec quelque gros clichés : le héros moins que rien qui devient le porteur d'espoir de toute une nation, blablabla.
Et malgré tout cela on trouve que les personnages ne sont pas si désagréable que ça, que l'histoire a un rythme plutôt agréable, alternant les phases de combats de grorobots et d'autres plus calme où le héros peut aller mater les jolies filles du manga (sans tenter quoique se soit, c'est à se demander si il est gay). Le manichéisme apparent du début s'estompe avec le temps (j'ai trouvé que montrer d'abord un Bhorcys calme et tout doux avec sa fille était plutôt bien trouvé, on sait que ce mec a un certain coté humain et il est donc bien plus compliqué de le faire passer pour le diable)
Bref j'ai pris pas mal de plaisir à les lire et j'attends la suite.
Un petit bémol sur les origines d'impuissants du protagoniste qui ne semble n’être qu'un prétexte pour lui filer un robot inconnu et surpuissant et les grosses bastons au corps a corps des méchas où je ne m'y retrouve absolument pas.

J'ai toujours l'impression d'avoir affaire à un lointain cousin de FMA, c'est moi qui déraille ? Et sinon Lygatt finira avec Narvi, c'est obligé, je le sens depuis le début et mes intuitions ne me trompent jamais !

[Gemini]

Broken Blade

http://www.mata-web.com/forum/viewtopic.php?f=10&t=6870

[shun]

Hana wa saku ka tome 1:

un petit yaoi pas mauvais, loin du cliché, plutôt bien maitrisé, sujet adulte, tout pour me plaire mais malheureusement pour l'instant seul "après l'orage" de l'auteur a réussi a me convaincre.

Acid town tome 1

autre yaoi sorti en même temps, lecture assez surprenante car pour l'instant on a plutôt l'impression de lire un young, histoire de mafia sérieuse, pas d'amourette, pas de yaoi ( excepté un sous entendu ) et histoire bien construite ( faut avouer que côté scénar souvent les yaoi frôle le 0 ^^ ), bon titre en vue, a voir pour la suite.

[Gemini]

Bremen, les Déjantés : Trouvé d'occasion. Un manga qui jouissait d'une jolie réputation à sa sortie, mais depuis totalement oublié. J'ai vraiment aimé : des personnages positifs qui vivent pour leurs rêves, plongés dans un univers de drogues, de violences, de manipulations, et autres joyeusetés, qu'ils feront évoluer grâce à leur attitude. Malgré le ton globalement humoristique, il reste dans ce titre un côté très pessimiste, voire carrément trash avec quelques protagonistes qui finiront broyés. Le mélange prend, le côté rock'n roll apporte beaucoup à l'atmosphère, et les personnages principaux sont cinglés. Un excellent titre

[Exialys]

The hideout
L'histoire d'un couple au déclin qui tente "re-recoller" les morceaux en effectuant un voyage sur une île paradisiaque. Cependant, le mari a pour idée de tuer sa femme pour pouvoir recommencer sa vie tranquillement.

"The Descent" ou "Détour mortel" version Manga, pas de réelle surprise, assez évident en soit. Néanmoins, la présence de flashback tout au long de l'histoire donne tout l'intérêt à ce one-shot et permet de comprendre le protagoniste.

Un manga qui permet de tuer le temps mais qui sera vite oublié une fois reposé sur l'étagère.

[shun]

Sans même nous dire au revoir

ce récit promettais beaucoup, c'est clairement le style d'histoire que j'apprécie, mais malheureusement j'avoue être resté totalement de marbre face a l'histoire, autant dans la narration que dans l'expression des sentiments des personnages. dommage, mais n'hésitez pas a y jetez un coup d'oeil, le ressenti est toujours personnel.

Venus ni Arazu a été pour moi une grosse déception, l'auteur a su se renouveler mais malheureusement la magie n’opère plus du tout, plus d'humour, plus de sd, on s'ennuie comme dans un shojo classic :/

Hideout

je dois dire que je m'attendais clairement a autre chose comme récit, c'est plus du dramatique ( sans en avoir les qualités ) que du thriller :/

Histoires courtes de naoki urusawa

la meilleur est celle du policier avec une bonne ambiance année 90, les autres sont clairement anecdotiques et sans intérêts, quel évolution quand même pour ce mangaka ...

la garde du sultan

c'est en ayant le livre en main que je me suis rendu compte que c'était pas vraiment du Otomo :/ il est juste scénariste.
sur la première nouvelle on ressent la touche otomo mais sans son dynamisme, le récit part dans tout les sens et n'accroche pas. pour les autres j'ai pas eu le courage de finir.

Hotel

la première nouvelle qui donne son nom est bien sympa, même si j'ai l’impression qu'il manque une petite moral final.
les autres sont variables, y'a de l'idée mais c'est souvent très mal exploité, mis en scène, brouillon, dommage car la base est bonne.

pour finir sur une note positive j'ai beaucoup apprécié la lecture de nanja monja 5

[Ileca]

Hakaiju de HONDA Shingo, volume 1.

C'est gore, amusant (pour ceux qui trouvent les coupes transversales amusantes) et d'un classicisme à toute épreuve. Aucun poncif du genre ne nous est épargné de la princesse à sauver au connard à supporter dans l'équipe. En reposant le volume, on se demande ce que cet auteur apporte de neuf au genre. La réponse est simple pour l'instant : rien. ("Des monstres rigolos" ne compte pas.)
Le seul espoir réside dans la rivalité des deux têtes d'affiche.
N'empêche, à chaque page d'action avalée sans difficulté de ce manga, on se demande comment les trois péquenauds arrivent à tenir deux secondes face à la puissance d'infestation des envahisseurs. Rien à voir avec des zombis, la différence de force est trop grande pour rester crédule.

Le démon de la victoire de MAKI Yôko, volume 1.

La couverture démontre le savoir faire d'illustratrice de MAKI et il faut avouer que le dessin est très agréable et kawai passée la lourdeur indigeste de toute cette stylisation à outrance qui dégouline de chaque case.
En plus de la couverture, le synopsis m'avait paru suffisamment alléchant pour que je me lance dans la lecture. C'était censé être l'histoire d'une grosse bourgeoise précipitée dans les affres du prolétariat. Les japonais savent faire rire sur le dos des riches sans tomber dans l'anticapitalisme primaire, cf Ôran Kôkô Host Club ou Otaku No Musume-san.
Sauf qu'ici, nous tombons dans ce qu'il y a de plus navrant qui puisse se faire, c'est-à-dire un éloge inconditionnel de la beauté et de la richesse même si les prochains volumes essayeront de la manière la plus hypocrite possible de nous faire croire le contraire avec ses intrigues amoureuses aux relents de merde destinées à pousser plus de moches au suicide. Ca ne se limite pas à cela puisque la stupidité devient une vertu, le lycée dans lequel l'héroïne atterrit étant tenu par une pléthore de débiles profonds. Quand je dis débile profond, ils n'ont même pas l'excuse des alliances incestueuses du village coupé du monde où on s'accouple avec les animaux. Non, ce sont des abrutis urbains fashion s'il-vous-plaît. MAKI nous pousse à l'humanité en nous disant qu'ils sont gentils et souffrent de leur différence comme si les poufs fashion qu'on a tous rencontrées dans nos institutions éducatives étaient les cibles quotidiennes du bizutage. Je dis qu'il serait très gentil de tous les euthanasier avec leur auteur.
MAKI est tellement coupée de la réalité, même de celle de la fiction et de tout bon sens, qu'elle essaye de nous faire croire que deux PDG qui peuvent s'acheter des Rolls sont incapables de découvrir la faillite de l'autre, comme si on parlait de PME.

C'est là qu'on se dit que YAZAWA Ai aurait pu donner ça si elle avait été conne et superficielle.
Amen.

[Oyashiro]

La force d'Hakaiju ne réside pas tant dans son originalité inexistante (pour l'instant du moins), mais de par son efficacité a toute épreuve. Comme tu l'as dit le volume se lit sans peine, le rythme est entrainant, sans temps mort, le dessin d'Honda se prête très bien au jeu (d'ailleurs ça m'a surpris, moi qui le connaissais d’abord sur Ping Pong Dash qui est un shonen de sport tout ce qu'il y a de plus classique et fun, se mettre sur ce genre d'histoire), les effets gores sont très réussi et a détresse des personnages est palpable.

Enfin le premier tome m'a bien emballé, et je suis bien curieux de voir comment ça va évoluer.

Je ne suis pas un homme

J'ai pris ce manga un peu par hasard, étant attiré par la couverture et le thème du manga, assez étrange d'ailleurs de l'auteur du manga qui va dessiner l'histoire d'un type qu'il aurai découverte sur le net, un jeune homme qui avait tout pour réussir dans la vie, mais qu'une succession d'évènement va le faire plonger.

Pour le coup, j'ai beau avoir finit de lire les 2 gros tomes du manga, je ne sais pas trop quoi en penser, la lecture avait un quelque chose de fascinant et relativement effrayant, mais une fois l'histoire digéré ça me parait tellement gros que j'ai du mal à l'avaler au final.
Non pas que ce soit mauvais, loin de là même, mais pour une histoire décrite comme "vrai" (même si romancé pour les besoins du manga j'imagine) la façon qu'a le protagoniste de s'enfoncer est vraiment trop surréaliste pour moi, j'ai tenté de chercher vite fais si l'histoire était bien réelle, mais je n'ai rien trouvé jusque là.

Quoiqu'il en soit j'ai tout de même dévoré le manga sans compter, le traits de Furuya est vraiment excellent, certaines pages qui ressemble plus a des peintures qu'a une planche de manga donnent un cachet particulier à certains évènement (d'ailleurs j'ai l'impression qu'il réutilise ce procédé dans Genkaku Picasso). La narration est fluide, et on ne peut s'empêcher de s'inquiéter pour la vie du protagoniste, malgré l'antipathie qu'il dégage je trouvais. Un manga assez étrange que je ne regrette pas d'avoir découvert.

[Ileca]

Hakaiju n'est efficace que du point de vue de l'action. La détresse des personnages est palpable ? C'est juste l'habituelle fuite totalement hasardeuse et miraculeuse de personnages dont on ne sait pas grand chose sauf qu'ils répondent à des rôles prédéfinis que n'importe quelle sensibilité émoussée par la lecture de nombreux drames apocalyptiques ne saurait prendre au sérieux tellement c'est vu et revu. La série est en quatre tomes et pour l'instant, on en est encore à la découverte de l'horreur. Le point fort de ce manga hormis l'action, c'est son gore très cru qui n'est qu'une resucée de Gantz. En fait Hakaiju, pour l'instant, c'est du sous Gantz.
Je peux même tempérer ma remarque comme quoi la rivalité est sans doute le seul facteur porteur d'espoir puisque HOTD nous l'a déjà sortie et expédiée.

Enfin, ça divertit. Cela m'étonnerait que l'on s'en rappelle passé un mois.

Pour Je ne suis pas un homme, c'est la relecture contemporaine du livre La déchéance d'un homme (en français) de DAZAI Osamu. Il y a des éléments autobiographiques mais de là à y voir une histoire vraie, pas que je sache.
Le trait de FURUYA devient de plus en plus moche d'année en année. Il ne fait plus beaucoup d'effort. En plus, l'aspect crayon de bois donne un rendu sale et inachevé. Ca ne valait franchement pas un grand format. Casterman eut mieux fait de le réserver pour Garden. Heureusement, on atteint pas le niveau de La croisade des innocents.
J'ai trouvé le premier tome mauvais et ennuyant (notamment le traitement du double suicide) puisque je n'ai pas eu la chance comme toi de découvrir le scénario mais je reconnais que la fin du deux prend de l'ampleur. On sent bien la spirale infernale prendre le pas, tout se précipite et nous entraîne à sa suite.

[Oyashiro]

Pour Hakaiju, je n'ai pu non plus vu de tonnes d'oeuvres de ce genre, ce qui expliquerai pourquoi je suis bien moins gêné par tous les clichés apparait, de plus je ne considère pas ça comme un réel défaut tant que le manga est bien foutu, ce que je considère est le cas ici.

En tout cas merci pour l'info sur "la déchéance d'un homme", je tâcherai de le lire un de ses jours pour mieux voir quels sont les différences entre les deux médias.

[Ileca]

Btooom! de INOUE Junya, volume 1.

J'adore les battle royale et les MMORPG mais là, le mec se fait souffler SIX FOIS par une explosion sans avoir les tympans déchirés ni ne reçoit la moindre blessure alors qu'une fois il est pris dans un éboulement de pierres.

[Montrer] Spoiler

Son adversaire par contre se fait littéralement déchiqueter alors que ses grenades portées à la ceinture qui sont censés être des grenades à percussion SURVIVENT !

D'ailleurs, la traduction parle de "grenade à fragmentation" ce qui fait que le héros aurait dû avoir encore moins de chance de survie vu que ce sont des grenades qui se... fragmentent, c'est-à-dire qu'elles doivent projeter des éclats ne serait-ce que de la coque.

La plus grosse faute de logique, nous la devons au héros qui parce qu'il connaît la réputation des développeurs pense qu'il est obligé de jouer à ce jeu meurtrier vu qu'ils auront pensé à tout... Il y a de misérables gestes de défiance mais au final, tout le monde va jouer alors qu'il n'y a pour l'instant aucun dispositif comme un compte à rebours où la restriction progressive de zone.

[shun]

black rose alice tome 6 :

un tome plus facile peut être mais il ne pouvait en être autrement car il s'agit de la conclusion "du choix", malgré tout l'arrière plan n'a lui pas cessé de changer et annoncer quelque chose, dont on ne verra malheureusement pas avant que le 2 èm arc ne commence.

qui est ce personnage blond au long cheveux bouclé ?
j'imagine bien que la saison 2 ne verra pas "l'acte " se passer comme prévu et amènera d'autres rebondissement.

y'a pas a dire setona est clairement pour ma part la shojo mangaka la plus intéressante a suivre. elle arrive a donner a ses histoires de la profondeur sans pour autant alourdir le récit, des personnages charismatique et un rythme haletant.

[Inika]

J'ai lu récemment les 4 tomes de Doubt.
Bon, que dire? Je n'ai pas aimé cette histoire. Entre un énième Saw et un Cube? Bref, dès le départ j'avais deviné qui était le méchant de l'histoire. La fin du tome 4 m'a confortée dans mon opinion. C'est à dire que Doubt est bien trop vite expédié et que l'on ne s'attarde pas assez sur des détails qui peuvent rendre l'intrigue super intéressante.

[Montrer] Spoiler

Les morts se succèdent à une vitesse hallucinante. C'est dommage. Je n'ai même pas eu le temps de m'attacher à l'un d'eux

Une série sympathique, qui se laisse lire et qui permet de combler un trou dans un emploi du temps. Mais rien d'impressionnant.

[Ileca]

Saw 1 est sympathique, Cube 1 est un bon film avec un super concept. Doubt, comment dire, n'arrive à la cheville ni de l'un ni de l'autre en terme de malice et se finit dans des révélations abracadabrantes et ridicules.

"Doubt, plus Saw 6 que mortadelle !" dirait Cubitus.

[Sch@dows]

Sur les conseil du vice-président (bien que dans ce cas cela n'est aucun rapport avec le sujet), qui a généralement été de bon conseil avec Btooom & Zen Martial Art Academy (bon on oubliera l'erreur de "Minimum"), je me suis lancé dans 2 autres série :

Knight-Run : L'expansion de l'humanité a travers la galaxie s'est interrompu après la rencontre d'une forme de vie étrange et béliqueuse, détruisant toutes les planètes sur leur passage.
Pour lutter contre cette menace que même l'armée peine à repousser, l'humanité s'appuie sur des soldats d'élite aux capacités de combats exceptionnelles (pouvant parfois aller jusqu'au paranormal et aux aptitudes psychiques) : les Knights !
C'est au cœur de cette guerre que nous suivant Annee, une Knight d'exception, qui cherche pourtant à s'éloigner des combat et à retourné auprès de celle qui est à la fois son sauveur, son maitre, sa rivale, sa meilleur amie, sa soeur ...

Une mise en page très spéciale (tout en hauteur), un dessin grossier et aux proportions souvent irrégulières, et un colorisation souvent rudimentaire font de ce manhwa une oeuvre que l'on a parfois du mal a qualifié d'artistique. Néanmoins, ce n'est pas non plus moche tout le temps, et l'histoire qui emprunte les meilleurs éléments de films d'actions, jeux vidéos et j'en passe, est vraiment prenante (comment ne pas penser Knight = Spartan ^__^).
Sans cesse balancé entre présent et flashback, sans être pour autant perdu, on fini par s'attacher aux 2 personnages principaux.
Bref, vous l'aurez compris, je suis conquis (j'ouvrirai un topic prochainement sur cette série, le temps de faire ça bien).

Gof of Highschool : Une sombre organisation organise un tournoi entre les meilleurs combatants du pays en prometant au vainqueur d’exhausser un de leur vœu. Mais quel est réellement l'enjeux de ce tournoi ?
Voilà le scenar est assez pauvre, mais le dessin et les combats son relativement bien foutu (là aussi entièrementn colorisé).
A conseiller à tous les fan de baston.