C'est pas une raison, la grammaire française ne change pas.
Gemini a écrit:Waking Sleeping Beauty : Ou 1984-1994 : 10 années qui ont révolutionné les studios Disney. [...]
J'ai regretté l'angle un peu trop business choisis. On nous montre, par exemple, Tim Burton à sa table à dessin mais pas un crobar par lui ou un plan qu'il a animé. C'est très américain comme choix, et c'est dommage, le docu est presque tout le temps plus intéressant quand il met en scène les petites mains plutôt que le duel Disney, Eisner, Katzenberg (bien que la scène de l'enterrement de Franck Wells est quand même assez fabuleuse).
Achieve your mission with all your might. Despair not till your last breath.
Surtout, dès que ça sort des studios, plus un mot. A part pour Don Bluth, mais rien sur le départ de Burton ; il n'apparait que pour faire un clin d'œil sur une célébrité passée par Disney. Mais l'angle business est compréhensible ; je crois que c'est Katzenberg qui annonce clairement que le but de studio n'est pas de gagner des récompenses, mais du fric. Ils appliquent des business plans à l'Hollywoodienne, et cela se ressent. C'est une usine à fric, pas une usine à rêver ni même un musée ; en cela, lorsque les animateurs disent regretter de quitter les locaux où ont été élaborés Cendrillon et Peter Pan, je crois que tout est dit. Quand Katzenberg co-fonde DreamWorks, je ne crois pas qu'il fasse cela pour l'amour du cinéma d'animation ; il a l'expertise, l'opportunité, et surtout le (re)sentiment de pouvoir concurrencer le firme de l'oncle Walt.
Ouais mais malgré ça le docu montre bien qu'au niveau du département animation ils s'en fichaient un peu et essayaient de faire de bons films. Pour Burton c'est encore plus drôle, on nous dit pas qu'il sort, mais on nous dit qu'il revient pour The Nightmare. Ensuite le docu étant produit par Disney, seul moyen d'accéder à tant d'images d'archive et d'obtenir toutes les itw, c'est évident qu'il ne piperont rien sur la polémique avec Jungle Taitei, ni les films de DreamWorks, ni sur la chute qui a suivie l'apogée qu'a été The Lion King.
Achieve your mission with all your might. Despair not till your last breath.
Il était assez évident que le film ne montrerait finalement qu'un aspect positif du studio, malgré tous les déboires qu'il subit dans les années 80.
Le Monde de Narnia - Le Prince Caspian : La bande-annonce efficace du 3ème volet (L'Odyssée du Passeur d'Aurore) m'a donné envie de jeter un coup d'œil au second opus ; sachant que j'avais vu le premier au cinéma, et que je l'avais trouvé sympa sans tellement plus. Bon, ben même constat sur cette suite... L'histoire de base est relativement faible malgré un monde attrayant, mais une débauche de moyen rend le résultat impressionnant à l'écran. Sauf que 2h20 pour ça, c'est vraiment trop long. Il y a des longueurs éprouvantes... Mais le pire, c'est d'apprendre 20 minutes avant la fin que le scénario est totalement vain, et que le film aurait pu se finir au bout de 10 minutes selon le bon vouloir d'un des protagonistes principaux. Et là, tout de suite, ça fait un peu mal au fondement.
Ce qui est bien avec LOTR et Harry Potter, c'est que son succès a permis la création de nombreux autres films à tendance fantastique, et avec un budget à la hauteur de leurs exigences.
Ce matin, j'ai regardé A la Croisée des Mondes. Je n'avais pas eu de bons échos sur ce film, notamment car il édulcorait une bonne partie du message d'origine ; donc je n'ose imaginer ce que cela pouvait donner dans le bouquin, puisque ledit message se ressent tout de même bien. Je n'en attendais pas grand chose du fait de ces mauvaises critiques, mais j'ai été agréable surpris. L'univers est suffisamment riche et intéressant (plus que celui du Monde de Narnia), et l'histoire tient la route. Le gros défaut de ce film : un manque de succès financier qui le discrédite totalement, dans la mesure où la fin appelle une suite qui, faute de moyens, ne viendra jamais... A moins, bien entendu, de lire les romans. Je viens de commander la première trilogie sur amazon...
Cet après-midi, mon envie de film fantastique à gros budget me pousse vers un DVD qui trainait sur mes étagères depuis presque un an : Stardust. Là encore, j'ai apprécié. Le budget permet de concrétiser un monde fait de magie et de créatures fantastiques, avec une véritable histoire et de bons personnages (les fantômes sont excellents). Néanmoins, il reste à retenir plus pour ses moments de bravoure et son humour que pour voir un acteur culte se travestir sur l'air du French Cancan.
Dans un genre qui n'a totalement rien à voir - que ce soit au niveau du contenu ou du budget - je viens de regarder We Are Four Lions, film anglais qui repose l'éternelle question : pouvons-nous rire de tout ? En tout cas, le réalisateur a décrété qu'il pouvait rire des Mous de Jaïdine, alors il s'en donne à cœur joie. Une bande d'apprentis terroristes anglais décide d'organiser des attentats à la bombe. Sauf qu'ils sont très cons et très maladroits. Autant dire qu'ils n'en ratent pas une. Un film très drôle, très imaginatif, bien décalé comme je les aime.
Je vais dresser des corbeaux kamikazes pour qu'ils aillent se faire exploser dans des tours remplies de juifs et de prostituées.
Vu ce soir Raiponce et j'ai beaucoup aimé aussi C'était un film très sympa, avec beaucoup de chansons (normal c'est Disney ^^), plein d'humour (j'ai adoré le cheval Maximus ). Vu en 2D mais on sent que certains passages ont été pensés pour en jeter plein les mirettes en 3D Je l'achèterai à coup sûr quand ça sortira en blu-ray.
En attendant, je materai bientôt La Princesse et la Grenouille que je n'avais pas pu voir au cinéma, un film "traditionnel" 2D celui-là qui devrait beaucoup me plaire aussi
Cette comédie fonce à 300 Km/h et défonce tout sur son passage. Par contre les sous-titres ne m'ont pas convaincu. Ils auraient dû garder "Scott, t'es ma bitch pour toujours" comme dans la BD au lieu de "t'es ma poule de luxe". C'est un exemple parmi d'autres mais celui-ci dès le début du film m'a bien gonflé.
Alors il y a de nombreuses références aux jeux video bien sûr, mais ça reste du oldies, voire du rétrogaming, ça va de la NES à la Dreamcast. Le réalisateur Edgar Wright a sûrement la nostalgie d'une époque où l'on jouait pour le fun (Sonic, Super Mario, Tetris, Soul Calibur, Street Fighter 2) mais aussi, pour vivre une expérience, évoluer avec un personnage héroique dans une histoire fantastique (Zelda, Final Fantasy 2). Et je me dis qu'il n'y a qu'un petit nombre de geeks, passionnés de ces jeux, qui a dû voir ce film. La majorité des joueurs aujourd'hui, ne jouant qu' à des FPS et à des jeux en kit, ne s'est peut-être pas senti concerné.
Gemini a écrit:Raiponce : Meilleur film vu au cinéma cette année (avec Dragons). J'ai vraiment pris mon pied ^^
Je l'ai aussi adoré ^^
@ Rei : dommage que tu l'ai vu en 2D. Je pense que tu vas bien apprécier La Princesse et la Grenouille, mais ne t'attends pas à une grosse claque comme Raiponce.
Mon avis : Raiponce en 3D
Très bonne surprise que ce film, je n'ai pas arrêté d'être admiratif devant les techniques d'animation et le rendu esthétique proches du sublime. Quant à l'histoire, Disney a su très bien manier l'action, l'émotion et les gags (maximus ), ce qui fait de ce film une parfaite conciliation entre un grand classique comme la Petite Sirène et un film Dreamworks de la trempe de Shrek (mention spéciale pour la scène de la Taverne du canard boîteux que j'ai trouvé excellente).
Pour couronner le tout, c'est la 2ème fois (après Avatar) que je ne me suis pas senti arnaqué par la 3D, le film use à foison des effets 3D (des profondeurs de plan aux projections hors écran). Donc je vous le conseille vraiment en 3D
En bref : un Disney moderne avec des techniques impressionnantes (animation & 3D) au service d'un scénar sans faille, digne des grands classiques, riche en émotions et en rires. Que demander de plus ?
Même en 2D j'ai remarqué que le film avait été pensé pour la 3D. Ca se sent quand même Mais je pense que j'apprécierai autant La Princesse et la Grenouille. Certes c'est du 2D (pensé 2D ^^) mais justement quand je regarde un film ou un anime j ne cherche pas forcément à avoir une claque visuelle mais avant tout à ce que le film lui-même, l'histoire, les persos, l'univers, me plaisent
Ca va faire pas mal d'année que j'ai voulu voir ce film, puis il m'est sorti de la tête, et il y a quelques mois j'ai vu "J'ai toujours rêvé d'être un gangster" (que je conseille fortement au passage) du même réalisateur, bref je me suis rappelé de son premier film et je l'ai enfin vu. Je ne comprend pas sa moyenne note de 6 sur imdb et 2.6 par les spectateurs d'allociné, j'ai beaucoup aimé, un film vraiment intéressant, le concept est génial, les acteurs excellents, bon le rythme n'est pas toujours consistant et l'histoire ne réserve pas de grosse surprise, mais ça ne m'a pas dérangé, juste l'originalité et les performances m'ont suffit pour apprécier ce film, Samuel Benchetrit est un réalisateur que je suivrais de près.
"Mais souvenez-vous que penser qu'une chose est juste ou non est totalement arbitraire. C'est votre vision des choses qui le définit.
Dans l'univers il n'y a rien qui soit bon ou mauvais par nature."
Stalker : Un film intéressant, avec une photographie très travaillée, mais tout de même un peu long. En tout cas, j'ai bien saisi ce que Mamoru Oshii en a tiré pour faire son Avalon.
Ce qui n'est pas forcément flatteur pour Stalker ;p
Hamlet (Laurence Olivier) : intense (surtout comparé à la version extra-mega-longue de Branagh). Le film est oppressant, l'accent est pleinement mis sur la psychologie, le subtext incestueux est joué à fond, chaque apparition du fantôme met en oeuvre des saturations sonores en contrepointe de la petite voix douce du défunt... ça marche, c'est limite dérangeant, surtout pour un film de cet age. J'avoue avoir admiré la prestation de Basil Sydney en Claudis majestueux, presque léonin, mais aussi borderline et qu'on sent susceptible d'exploser à tout moment (comme durant la pièce). Polonius est hilarant, bien à la masse. Jean Simmons joue parfaitement la jolie dinde, Eileen Herlie est à se damner. Le film joue aussi plus qu'un peu la corde de l'expressionisme, que ce soit par un N&B splendide (mais qui aurait bien besoin d'être restauré), ou ses décors inquiétants qui alternent salles gigantesques et petits passages labyrinthiques. Meilleure adatation de Shakespeare que j'ai vu, oupresque.
J'ai toujours adoré le fait qu'Olivier ait gagné l'Oscar en se dirigeant lui-même, ça veut quand même beaucoup dire. Il me semble que ça ne s'est jamais reproduit...
J'ai pas aimé la fixation sur le sous-entendu incestueux, pour ma part, je sais pas si c'était ça qu'il fallait retenir de la pièce, je suis pas très adepte du freudisme. Hamlet sans Fortinbras, c'est juste inimaginable pour moi. Celle de Branagh fait 96 heures, mais au moins on a la totale, c'est plus complet, et ça offre tous les niveaux de lecture, et tant pis pour l'intensité.
Pour le reste, j'avoue que je respecte les choix opérés dans une adaptation s'ils paraissent offrir quelque chose de cohérent au final. Faire l'impasse sur Fortinbras m'a semblé avoir un sens vu le caractère narcissique de cette interprétation-ci de Hamlet. Et pour G&S, l'idéal serait d'enchainer avec la pièce de Tom Stoppard pour être complet ;p
Hiro a écrit:Très bonne surprise que ce film
Tout d'accord avec ce que tu dis. Je m'attendais à un film mollasson feat. le retour de la 3D moche après le classique La princesse & la grenouille l'année dernière, et finalement je me suis surpris à me marrer du début à la fin du film.
Maximus, Pascal et la poele à frire, le combo gagnant du Disney 2010.
Ialda a écrit:(même pas Clint pour Unforgiven ? Déçu...)
Nominé, mais c'est Pacino qui l'a emporté pour Scent of a Woman. Après une petite recherche, il y a effectivement Benigni qui l'a emporté pour son La vita è bella. Mais c'est tout.
Ialda a écrit:Faire l'impasse sur Fortinbras m'a semblé avoir un sens vu le caractère narcissique de cette interprétation-ci de Hamlet.
En gros c'est précisément ce qui m'a horripilé (l'étalage de pathos narcissique) qui t'a plu, mais ça se tient.
Ça doit être culturel. J'ai jamais pu blairer Woody Allen, par exemple.
Je suis aussi allé voir Tangled hier soir et j'ai adoré, surtout le personnage de Rapunzel retravaillé pour l'époque, à la fois forte et vulnérable. Techniquement, on est au sommet.
True Grit Je pense que la plupart seront convaincu par le dernier film des frères Cohen, ce qui n'est pas vraiment mon cas. Loin d'être mauvais à mes yeux, je n'ai tout simplement rien trouvé dans ce film de remarquable, alors oui les dialogues sont excellents, les acteurs géniaux, une superbe cinématographie et un univers western convainquant, et les seuls défauts que je lui trouve est l'accent très prononcé et incompréhensible de Jeff Bridges (et pas seulement pour moi mais aussi des amis dont l'anglais est leur langue natale), au moins la VF n'a pas ce problème, puis autre défaut est une fin décevante, chose assez récurrente dernièrement avec les frères Cohen, bon au moins cette fois-ci il y a une fin. C'est tout en ce qui concerne les défauts, j'imagine que mon problème malgré ses nombreuses qualités est que rien ne sort du lot.
Black Swan Je suis un grand fan de Darren Aronofsky, j'avoue ne pas avoir aimer The Wrestler autant que ses autres films, et si Black Swan propose une direction assez similaire, il est bien plus sophistiqué et beaucoup plus dérangeant comme le fut Requiem for a Dream. Il semble être assez populaire auprès du public, ce qui est assez étonnant je trouve bien que je le conseille grandement, il y a beaucoup de sujets choquants qui j'aurais imaginé repousserai l'audience générale.
The Fighter Bon, je n'ai personnellement pas aimé celui-ci, le film n'est pas mauvais, mais je me suis ennuyé la plupart du temps, et aucun personnages m'ont vraiment plu si ce n'est le personnage principal. Je pense que ça dépend si l'on accroche à l'ambiance, les quelques amis qui l'ont vu avec moi ont bien apprécié le film.
"Mais souvenez-vous que penser qu'une chose est juste ou non est totalement arbitraire. C'est votre vision des choses qui le définit.
Dans l'univers il n'y a rien qui soit bon ou mauvais par nature."
Une très intéressante émission sur les comédies américaines, et surtout leur traitement marketing chez nous et de l'autre côté de l'Atlantique (phrase qui marche à la fois pour Windspirit et les lecteurs normaux de ce forum). Et grâce à laquelle j'aurai enfin compris pourquoi je refuse de voir les comédies de Apatow. A l'époque de la sortie de American Pie (que mon père avait d'ailleurs acheté en DVD), il y avait l'attrait de la nouveauté. Si bien que dès le second opus, j'en avais déjà marre de cet humour sous la ceinture particulièrement lourd. Or, comme les agents marketing français ne savent pas comment vendre du Apatow (le réalisateur et ses acteurs étant connu aux USA grâce à une émission culte non diffusée eu France), ils ont décidé de miser sur l'effet American Pie, que ce soit au niveau des titres, des affiches, et des bandes-annonces. Donc, en gros, de présenter ces productions comme des comédies pour ado. Et le pire, c'est que de leur propre aveu, cela ne marche pas ; mais ils continuent : ils sont obligés de sortir ces films, mais peuvent se contenter d'un petit nombre de salles donc ne font pas d'effort. Mais justement, si je n'ai jamais vu ces long-métrages, c'est car tout dans leur présentation allume dans mon cerveau des voyants hurlant : "ne va pas voir cette daube". Pour moi, ils représentent les comédies pour adolescents attardés qui ne pensent qu'au sexe alors qu'ils n'ont qu'une connaissance très théorique (mais très poussée) de la chose ; le tout avec un humour lourd et crade comme je ne peux pas le supporter. Seulement, ça, il paraît que ce n'est que pour aider à vendre ces films hors-USA. Bravo les mecs, cela m'a seulement donné envie de m'enfuir en courant... Et même en connaissant maintenant la réalité derrière ces choix marketing, je ressens encore un blocage m'empêchant de voir un film au nom aussi chantant que 40 Ans Toujours Puceau ! Pour rester dans les artistes très connus aux USA mais inconnus en France, je n'ai vu qu'un seul film avec Adam Sandler, et je l'ai aimé. Il s'agissait de You don't Mess with the Zohan, que j'avais regardé avant sa sortie française car je trouvais le nom fendard ; je ne me souviens même plus de comment j'en avais entendu parler. Le nom français, cette fois, tape dans la catégorie "parodie" : Rien que pour vos Cheveux. Le tout vendu avec une accroche à la Robocop. Tout de suite, cela me donne moins envie ; cela sonne comme une comédie facile à petit budget, une sorte de Agent 00 mais sans Leslie Nielsen (ce qui change tout). D'ailleurs, je pense que si je ne l'avais pas découvert avant ce changement de titre, je ne posséderais pas aujourd'hui le DVD.
Maintenant, la nouvelle référence du genre : "il faut que nous fassions croire au public que cela ressemble à un truc qu'ils connaissent", c'est Very Bad Trip. Manque de pot, je n'ai pas aimé Very Bad Trip... Vu la façon dont les promoteurs français vendent de la comédie US, je sens que je vais rester sur du Kevin Smith, moi...
Vu Megamind, avec ma fille, le soir de Noël. C'est (très) beau. Et totalement anecdotique. 3 ou 4 répliques super bien trouvées et qui m'ont bidonné, mais globalement, c'est fade, long, chiant par moment. Du sous Dreamworks, après le génialissime Dragons.
Dommage que ma fille ait déjà vu Raiponce avec sa mère, j'aurais largement préféré le voir plutôt que cette plate comédie.
Rody a écrit:Vu Megamind, avec ma fille, le soir de Noël. C'est (très) beau. Et totalement anecdotique. 3 ou 4 répliques super bien trouvées et qui m'ont bidonné, mais globalement, c'est fade, long, chiant par moment. Du sous Dreamworks, après le génialissime Dragons.
Dommage que ma fille ait déjà vu Raiponce avec sa mère, j'aurais largement préféré le voir plutôt que cette plate comédie.
Raiponce est vraiment une énorme surprise. Après La princesse et la grenouille où ça faisait plaisir de retrouver un truc totalement en 2D et bien soigné, voir il y a bientôt 1 an la bande annonce de Raiponce avec un chara design trèèèèss... "actuel", de l'image de synthèse à gogo, ça donnait pas vraiment envie de le voir. Mais bon. On a tenté la chose et en fait ça aurait été vraiment dommage de louper ça.
On a pas arrêté de se marrer et comme dit Ialda, le trio Maximus, Pascal et la poêle à frire c'est LE trio du film. Les mimiques du cheval sont tordantes, les répliques de la "méchantes" sont percutantes. "Je vais encore passer pour la méchante". Après le film est sans temps mort de bout en bout, de très bonne scènes d'action et on ne s'ennuie pas même dans les petites moments de romance. Un vrai plaisir à voir.^^
Gemini a écrit:Quantum of Solace : C'est vraiment James Bond ? Ce n'est pas plutôt l'histoire d'un espion russe ultra-violent qui butte des yamakazis ?
Ca choque au début mais on s'y habitue bien et ça change du Bond totalement dépassé avec ses gadgets kitch et ses filles qui lui tombent dans les bras on ne sait plus trop pourquoi.^^"
Merlin a écrit:Ca choque au début mais on s'y habitue bien et ça change du Bond totalement dépassé avec ses gadgets kitch et ses filles qui lui tombent dans les bras on ne sait plus trop pourquoi.^^"
Euh non, on ne s'y habitue pas. A la rigueur, tu t'y es habitué, mais pour avoir connu mon premier choc cinéma avec You Only Live Twice, je peux t'affirmer que je ne m'y habituerai jamais. Le seul rapport avec James Bond, ce sont les noms. Mais franchement, cela n'était pas la peine d'appeler ça "James Bond" si c'est pour s'éloigner autant des fondamentaux. Rendez-nous Pierce Brosnan, ou Sean Connery ; même à son âge, je suis persuadé qu'il sera plus crédible que le Poutine blond qui incarne le personnage en ce moment
Merlin a écrit:Ca choque au début mais on s'y habitue bien et ça change du Bond totalement dépassé avec ses gadgets kitch et ses filles qui lui tombent dans les bras on ne sait plus trop pourquoi.^^"
Bof. Je préfère autant me revoir les James Bond avec Sean Connery et Roger Moore, eux au moins ils étaient fun, drôles, divertissants et passionnants. J'aimais bien aussi les Bond avec Timothy Dalton.
Je prends beaucoup plus mon pied devant des classiques comme "Goldfinger" ou "L'espion qui m'aimait" que devant "Quantum of Solace".
Et un James Bond qui n'a aucun sens de l'humour c'est pas un vrai James Bond (ce que Daniel Craig et les producteurs actuels n'ont absolument pas compris).
Gemini a écrit:
Merlin a écrit: Mais franchement, cela n'était pas la peine d'appeler ça "James Bond" si c'est pour s'éloigner autant des fondamentaux.
Ce n'est pas mon père qui te contredira. C'est un grand fan de James Bond et il a détesté "Casino Royale" et refuse de voir "Quantum of Solace".
C'était un film très sympa, avec beaucoup de chansons (normal c'est Disney ^^), plein d'humour (j'ai adoré le cheval Maximus 
C'est un exemple parmi d'autres mais celui-ci dès le début du film m'a bien gonflé.
), ce qui fait de ce film une parfaite conciliation entre un grand classique comme la Petite Sirène et un film Dreamworks de la trempe de Shrek (mention spéciale pour la scène de la Taverne du canard boîteux que j'ai trouvé excellente).
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