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Animanga : Discussions sur les animés et mangas
Arc a écrit:
Mai-otome par contre est une daube intégrale. Je crois que dans ma cotation je lui avais mis 3 ou 4 sur 10. Un humour pas drôle et surtout Arika et mashiro sont deux êtres absolument insupportables qu'on a envie de butter dès les premières minutes. Rajouté à cela des scènes qui tombent de nulle part, incompréhensibles (Shizuru et Tomoe par ex) un Tate naze de 28 ans qui se prend les petites gamines de 14 ans, une mikoto et une mai quasi absentes, des noms français ridicules, une histoire qui ne démarre au final jamais et une Arika imbuvable (oui je sais je l'ai dit deux fois ).
Je déconseille à tout le monde. Si vous avez du temps à perdre, regardez plutôt Colorful. (sérieusement)
Xanatos a écrit:(il y aurait des bugs dans les sous titres)
Tout comme Love Hina, en France, c'est un anime qui a tiré profit de circonstances favorables au point de générer un petit buzz ; mais je suis sûr que si je la revoyais aujourd'hui, elle me plairait toujours.Mattosai a écrit:Ahhh Mai Hime, une des séries qui aura fait couler le plus d'encre (les anciens se rapelleront : p )
C'est aussi ce que j'ai regretté, et c'est pour ça que j'attends la série Mai Otome qui enfin rendra hommage au potentiel de ce titre ^^'Merlin a écrit:Dans cette dernière tu t'attend toujours à quelque chose et... bah non. C'est gaché par un scénario de chiotte.
Merlin a écrit:Pour conclure... Shizuru est une psychopathe. :p
MY-HIME, tome 1
Sato Kenetsu & KimuraNoboru
Éd. Asuka
6,50 €
Sauce mayonnaise figée et indigeste, My-Hime est un remix de Sailor Moon et Ikkitousen. Des gamines de 13-15 ans, dont une bégueule avec le buffet garni, possèdentdes pouvoirs pour taquiner les orphans, bestioles tentaculaires (ou non) et abandonnées par Urotsukidôji.
Les apparitions des monstres, dépourvues d’angles énigmatiques, n'offrent guère matière à se pencher sur leur cas contrairement à d’autres acteurs : nichons et lingerie. Les détails moisis ne manquent pas au travers de "comique de situation" gélatineux. A cela s’ajoute un catapultage de situations avec une incohérence brouillonne et insupportable dans un récit
cousu de fils blancs, laissant toute liberté aux auteurs de fantasmer sur des collégiennes. Le cul, c’est vendeur, le faux-cul c’est flippant.
Sans inclure la version animée réalisée avant le manga et que nous ne connaissons pas, My-Hime est un échec. La sauce en tube est lâchée d’un jet (quitte à être grivois, autant que ce soit là) au lieu de disposer par touches légères et parcimonieuses un scénario qui nous fasse avancer avec conviction. Dessins médiocres, humour absent, répliques plates, effets esthétiques et instructifs de la taille d’un quark. Censés révolutionner le thème des Magical Girls, les Hime leur ont plutôt conçu un
cercueil en placoplâtre. La magical nasty girl de ce manga deviendra-t-elle l’icône de la nouvelle salope effarouchée ?
À la fin du texte, veuillez tirer la chasse d’eau.
D’s©
Gemini_Ninesisters a écrit:Tu rajoutes tous les élements du manga de Mai Hime (en pire), avec des techniques de combat basées sur la "vitesse de vibration des seins" (d'où l'avantage qu'ils soient de taille conséquente)
Il y en a une, bien sûr.Calypolite a écrit:Et Mai Otome garde une coherence je trouve comparé à Mai HiME
Merlin a écrit:
Le manga Mai Hime... j'en ai jamais entendu du bien réellement donc Damien t'as des amis qui ont des goûts de chiotte.
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