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Snack Bar chez Léon : Venez parler sur tout et rien voir surtout de rien
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Some time ago Denis Villeneuve (the director) said they would not confirm whether Deckard is a Replicant or not in the movie, and would leave it up to the audience.
Well, Ridley Scott, true to his self, gives no fucks.
IGN: At what point while making the original film did you decide that Deckard would be a Replicant?
RS: Oh, it was always my thesis theory. It was one or two people who were relevant were... I can't remember if Hampton agreed with me or not. But I remember someone had said, “Well, isn't it corny?” I said, “Listen, I'll be the best f#@king judge of that. I'm the director, okay?” So, and that, you learn -- you know, by then I'm 44, so I'm no f#@king chicken. I'm a very experienced director from commercials and The Duellists and Alien. So, I'm able to, you know, answer that with confidence at the time, and say, “You know, back off, it's what it's gonna be.” Harrison, he was never -- I don't remember, actually. I think Harrison was going, “Uh, I don't know about that.” I said, “But you have to be, because Gaff, who leaves a trail of origami everywhere, will leave you a little piece of origami at the end of the movie to say, ‘I've been here, I left her alive, and I can't resist letting you know what's in your most private thoughts when you get drunk is a f#@king unicorn!’” Right? So, I love Beavis and Butthead, so what should follow that is “Duh.” So now it will be revealed [in the sequel], one way or the other.
Lion_Sn@ke a écrit:A quoi bon avoir fait une fin ouverte pour au final révéler le pot aux roses ?
Yo-Dan a écrit: Etant végétarien depuis une douzaine d’années (j’étais parvenu à ne jamais le laisser entendre sur MATA, jusque-là), j’aurais vraiment du mal à me détacher de mon propre rapport au sujet, d’autant que c’est la première fois que je vois un film qui semble ainsi prendre mon parti sans s’embarrasser de ressembler forcément à un reportage ou un documentaire, sans se contraindre à un traitement réaliste limitatif. C’est donc une fiction, (ra)contée comme telle malgré ses implications politiques évidentes, et ça change tout. Parce que paradoxalement, c’est lorsqu’on peut se permettre ainsi de parler de notre rapport collectif et sociétal aux animaux "consommables", sous le prisme unique de l’objet créatif et cinématographique, que l’on sait qu’on vient de franchir un palier potentiellement historique dans la dénonciation d’une réalité.
Yo-Dan a écrit:Le réalisateur affirme que les studios, les uns après les autres, trouvaient le film trop "radical" pour le financer à hauteur des 50 à 60 millions qu’il a coûtés. De là à dire que des lobbys bien identifiés n’ont pas fait les gros yeux à la simple idée qu'une telle chose puisse exister, quand on les sait capables d’investir les salles de classe pour "redorer l’image de la filière viande", il sera au moins permis de douter.
Gemini a écrit:Je n'ai jamais réussi à finir The Host.
Gemini a écrit:A la base, j'ai voulu le regarder plus pour le projet, pour l'idée de produire un long-métrage à 60 millions sans ingérence des studios hollywoodiens,
Tetho a écrit:Je n'ai pas vu okja, je n'ai pas Netflix (j'ai fais le choix diamétralement opposé de la carte UGC)
mais tu seras peut-être intéressé par le manga Gin no Saji/Silver Spoon et son adaptation animée.
Tu crois vraiment que les lobby de l'agroalimentaire ont un pied dans l'audiovisuel et se soucient de leur image dans les films indé coréens ?
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