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Animanga : Discussions sur les animés et mangas
KARAFACTORY a écrit:Dans le genre oublié, faudrait que je me refasses les Detonator Orgun, tiens !
inico a écrit:Que dire, si ce n'est le regret de ne pas avoir pu profiter de L'île de Giovanni sur grand écran cinéma, tant ce film est un pur plaisir visuel.
Du design des personnages (impossible de ne pas sourire de plaisir devant les trognes des élèves des deux classes, ce génial tonton au style lupin-esque) suffisamment peu travaillé pour leur permettre pleinement de s'exprimer corporellement, jusqu'à l'art formidable réalisé par Santiago Montiel, marqué par différents styles (ces ciels me rappellent d'ailleurs à mon souvenir encore récent de Windy tales, en contraste avec parfois une nature au style expressionniste). Tout au plus pourrais-je faire la fine bouche sur un rendu hétérogène qui n'est pas toujours bien manié, mais je m'abstiendrais cela étant un maigre mal pour un grand bien.
L'histoire, axée sur l'humain, est assez simple mais ne cède pas au pathos auquel on peut croire un moment et s'achève merveilleusement. La ligne directrice est menée jusqu'au bout, pas exceptionnelle mais suffisante pour provoquer l'émotion. Émotion soutenue par quelques séquences qui m'ont plongées plus d'une fois dans une rêverie teintée d’émerveillement, comme par exemple dans celle du petit-train traversant les deux foyers Russo-Japonais, ou lorsque les personnages dessinés dans le cahier de Junpei prennent vie.
Sans la prétention de vouloir être une réussite absolu, un film hautement sympathique et merveilleux, qui plus est dans un belle édition Blu Ray de Kaze.
Tetho a écrit:inico a écrit:L'histoire, axée sur l'humain, est assez simple mais ne cède pas au pathos auquel on peut croire un moment et s'achève merveilleusement. La ligne directrice est menée jusqu'au bout, pas exceptionnelle mais suffisante pour provoquer l'émotion.
Pas d'accord. Il y a une vraie rupture entre les deux parties, qui sont vraiment deux récits bien distincts, mais surtout la seconde partie m'a fait décroché par excès de pathos.[Montrer] SpoilerLe gamin qui crache du sang mais couine "je veux voir papa" je ne trouve pas ça triste ou touchant mais complètement insupportable, ça me donne envie de le baffer lui et le scénariste qui tire une ficelle aussi grossière.
Le fait que la mort du cadet soit annoncée dès le début par les parallèles avec le roman de Miyazawa n'aide pas.
Et la scène final dans le passé, avec le ciel qui s'ouvre sur le Hi no Maru et le "regarde, on rentre au Japon" de Jumpei était d'un ridicule absolu.
Dommage, la première partie est une fable réussie sur la cohabitation et la notion d'étranger, avec des scènes brillantes comme celle des chorales.
C'est vraiment un film que j'ai préféré pour ses qualités techniques et visuelles que pour son récit trop larmoyant pour me toucher.
DxD me semble infiniment supérieur en terme de fun et d'ecchi.
La ça veut se la jouer serious business tout du long en étant totalement borderline dans son ecchi sans aucune retenue quelconque.
Kara a écrit:Dans Testament, on est limite Seikon no Qwazer dans le racolage visuel
Kara a écrit:Après serious business... Moui. Mais sans une réelle tension dramatique.
Mangakam a écrit:Oui sauf que dans Kamisama Dolls le héros est un bon a rien se laisse faire et se morfond....
Mangakam a écrit:Oui j'emploie le mot Badass ce qui n'est pas le cas du héros de DxD au début
Après, on s'en fout de la personnalité du héros, c'est tout le background de la série qui est pompé sur l'autre, c'est tout ce que je voulais dire.
Issei est quelques marches en dessous de Shirogane Takeru. Un exemple pour nous tous.
Et un héros en devenir n'a pas à être badass d'entrée de jeu.
Et pourtant il existe des animes ou le héros est déjà badass Mahouka Koukou no Kettousei avec le personnage Tatsuya ou appeler "TatsuGod" ^^
KARAFACTORY a écrit:1- Ah je trouve pas qu'on en tant que ça, mais bon, j'en regarde pas des masses non plus du même genre, donc bon.
2-Tu rigoles là ? ^^; Entre la loli succube, la scène de bain, la éro-malédiction, s'ils en mettent plus, on vire dans le hentaï (bon j'avoue que la censure est over-chiante pour le coup...).
"Sinon oui, pour ce que c'est ce n'est pas si mal."
Voilà ^^
Le OH!NON, dans le contexte, est merveilleusement fort à propos; du grand art mangakam![]()
Pour aller dans le sens de Aer, je regrette en fait surtout le profond manque d'imagination de la série - manque d'imagination qui s'étends aussi d'ailleurs au contenu rayon lumineux. C'est assez symptomatique de ces séries-là, hélas, je ne sais pas si la démarche le doit à la paresse ou bien au désir de coller à des recettes qui marchent, reste qu'il est dommage de voir cet élan de joyeuse légèreté s'égarer et se perdre dans un tel bourbier de consensualité.
Et jamais de la saison/année actuelle, voyons, l'animation japonaise s'arrête quelque part dans les années 2000
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