Le topic cinéma

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Re: Le topic cinéma

Messagede Ialda le Sam 15 Fév 2014, 17:11

Mon visionnage de The host a été pollué par les première scènes et qui m'ont poussé à surtout me focaliser sur une critique acerbes des relations Corée-USA durant tout le film :lol:
Il faut encore que je tente Mother, merci :)

inico a écrit:On voit également le "flic de campagne", bien qu'il soit un gros bêta bourrin, ne se fait pas forcément rattraper par son collègue intello des villes. Bong Joon-Ho met leur confrontation en avant, sans encore trancher, à l'image du dénouement. Bong Joon-Ho est de toute façon le héraut des bras cassés.


La scène où ils choppent l'employé de batiment de nuit sur les lieux du crime montrent bien qu'ils arrivent au même résultat, quelque soient les méthodes fantaisistes du flic de campagne. Et à la fin du film, leur relation c'est presque inversé et c'est ce dernier qui incarne la voix de la raison.

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Messagede Zêta Amrith le Sam 15 Fév 2014, 17:20

J'avais bien aimé Memories Of Murder naguère. La progression de l'enquête et sa "résolution" m'avaient paru bancals, mais ça conférait au film un réalisme las, une texture concrète qui fait défaut aux films policiers d'aujourd'hui. La direction choisie, entre nonchalance et déprime, était vraiment intéressante.

The Host est toutefois plus dense et abouti sur le fond.

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Messagede Aer le Sam 15 Fév 2014, 17:32

En même temps, dans The Host, dur de ne pas voir au moins une petite pique envers les USA.
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Messagede inico le Sam 15 Fév 2014, 23:43

On pourrait prendre son systématisme à inverser les codes du film de genre américain aussi dans ce sens.
Mais dans The Host, comme dans les autres, tout le monde en prend pour son grade.

Sinon, j'adore le côté brinquebalant mais touchant des films de Bong Joon-Ho. Qui s'est un peu estompé avec Le Transperceneige, même si on reste en terrain connu ^^.
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Re: Le topic cinéma

Messagede inico le Sam 22 Fév 2014, 16:09

En quête d'imaginaire merveilleux et inquiétant, envie de se perdre dans un monde magique effrayant mais attrayant...
La Belle et la Bête de Christophe Gans.
Aux oubliette l'ironie ou la modernisation des comtes, retour au source et à leurs forces primales. Le film ne cherche rien d'autre que son support original, la catharsis du spectateur.
A voir non pas comme un enfant, mais comme un adulte qui aimerait en redevenir un. Le film est un peu pauvre sur le fond, et ses acteurs semblent presque parfois un peu paumés car délaissés par le réalisateur. Seul Vincent Cassel, fidèle à lui-même (en l’occurrence, excellent), s'en sort brillamment, sous ses deux formes.
Ce sont donc les décors qui mènent le film, l'envahissent à en devenir vivant.
Un film bourré de faiblesses, mais arrivant à faire rêver, plutôt une bonne nouvelle.
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Messagede Gemini le Mar 25 Fév 2014, 17:54

Pompei : J'aime le cinéma de Paul WS Anderson. Oui, je sais, un homme qui aime le cinéma de Paul WS Anderson, il n'est pas normal. Pourtant, j'aime sa façon de pulvériser les limites du bon-sens, juste pour offrir les divertissements les plus jouissifs possibles et imaginables. C'est donc sur la seule base de son nom que je suis allé voir ce film, sans savoir de quoi il parlait. Enfin si. C'est Pompei quoi. A moins d'être une quiche en culture générale, tu sais à peu près comment ça se finit. Un peu comme Titanic. Et comme pour Titanic, une histoire d'amour va servir de fil conducteur avant d'en arriver à la catastrophe tant attendue. Sauf que cette histoire d'amour ne fonctionne jamais, tant elle semble prévisible ; de même que le côté Gladiator à peine voilé, à la différence près que l'endive atomique Kit Harington n'est pas crédible une seule putain de seconde en lutteur ultra-badass.
Cela résume bien les problèmes de Pompei : le scénario ne fonctionne jamais - en même temps, celui des Derniers Jours de Pompei non plus, et pourtant ils s'y étaient mis à plusieurs pour l'écrire - et la plupart des acteurs font tâche, à commencer par un Kiefer Sutherland cabotin ; seuls s'en sortent honorablement Carie-Anne Moss (sans sa combinaison en latex de Matrix) et Adewale Akinnuoye-Agbaje, qui lui fait effectivement un gladiateur crédible. Pour ne rien arranger, il y a énormément de libertés prises avec la réalité historique - après le traitement infligé par Paul WS Anderson, difficile de comprendre comment les archéologues ont pu retrouver autant de vestiges - et le Vésuve vomit des CGI en lieu et place de la lave et de la cendre.
Pourtant, force est de constater qu'il reste des passages à sauver, à commencer par toutes les scènes d'action. La destruction de Pompei est grisante, et les combats dans l'arène tout bonnement épiques. De plus, nous sentons une volonté de bien faire dans la reconstitution de la ville, et ceux qui y sont allés pourront noter quelques éléments que nous ne retrouvons pas d'habitude dans de telles reproductions. Clairement, Pompei cherche plus à nous montrer des séquences impressionnantes qu'à nous raconter une histoire, seulement les films ont besoin de raconter quelque chose pour se distinguer d'une attraction de fête foraine (pas vrai Gravity). Avec un scénario aussi pauvre et des acteurs aussi anti-charismatiques, il était impossible de faire mieux.


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Messagede Zêta Amrith le Mar 25 Fév 2014, 23:01


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Messagede Milo le Mer 26 Fév 2014, 00:30

C'est quand même pas très malin de sortir ça juste après Pacific Rim. On va bien sentir passer la régression logistique et technologique "ils arrivent quand les Jaegers ?".
Encore heureux qu'aucune version blockbuster d'Ultraman ne soit sortie. :lol:
"J'adore trop les doubleurs japonnais de la nouvelle saison de ce manga. Faut que je voye s'il est licencié !" ಠ_ಠ

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Messagede Tetho le Mer 26 Fév 2014, 00:45

Bon point, ça en montre relativement peu.
Mauvais point, comme toutes les bandes annonces de blockbusters actuels c'est rythmé par cet effet sonore à la Inception que je ne peux plus voir en photo.
Achieve your mission with all your might.
Despair not till your last breath.

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Messagede Zêta Amrith le Mer 26 Fév 2014, 01:07

Quand les portes se referment à la fin leur Godzilla a une tronche d'hippopotame.

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Messagede Gemini le Mer 26 Fév 2014, 20:49

Soldier : Un des derniers films de Paul WS Anderson qui manquait encore à ma culture. Avec Shopping, son premier long-métrage, mais qui risque d'être plus difficile à chopper (même s'il existe apparemment une version française).
Écrit par le scénariste de Blade Runner et se déroulant officiellement dans son univers, Soldier met en scène Kurt Russell dans le rôle d'un soldat entrainé et embrigadé depuis son enfance. Mais sa génération, composée d'humains normaux, est finalement remplacée par des soldats génétiquement améliorés ; laissé pour mort après un exercice sanglant, il se réveille sur une planète poubelle, où il est recueilli par des naufragés.
Commençons par le défaut du film : il est totalement prévisible de bout-en-bout. Même sans être cinéphage, impossible de passer à côté de ses ficelles grosses comme des maisons, et de son hallucinante accumulation de hasards. Ceci mis de côté, Soldier se divise en deux parties : l'intégration de Kurt Russell au sein de sa nouvelle communauté, grâce à laquelle il va apprendre à devenir humain, puis la séquence guérilla. C'est surtout dans celle-ci que le réalisateur se fait plaisir, avec de grosses influences de Rambo et de Predator ; ça en met plein les mirettes, ça explose dans tous les sens, et ça reste parfaitement lisible. Entre ça et une construction bien menée, Soldier s'impose comme une sympathique Série B, bien divertissante comme il faut.
Sauf qu'il a couté 60 millions de Dollars. 60. PUTAIN. Millions. De Dollars. Soit le DTV le plus cher de tous les temps, dans la mesure où suite à son échec cuisant aux USA, peu de pays ont osé le sortir en salle. Sérieux, il est passé où le fric !? A part le fait que l'histoire se déroule sur une exoplanète - qui ressemble à une version décharge publique de Mars - rien ne justifie un tel budget ; en tout cas, le résultat ne se ressent pas du tout à l'écran. Ou alors, c'est le cachet de Kurt Russell ? Ça fout les jetons.
Heureusement, cela n'empêche pas de prendre Soldier pour ce qu'il est : un actionner musclé dans la droite lignée des productions des années 80, une sorte de fils spirituel (avec Demolition Man) qui assure le spectacle sur le moment. D'aucuns diront que le film manque d'ambition, mais cela suffit à mon bonheur.


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Messagede Gemini le Dim 02 Mar 2014, 00:58

Striptease : J'avais le souvenir d'un sympathique film policier avec quelques pointes d'humour. Donc je ne comprenais pas pourquoi il se coltinait une réputation aussi catastrophique. Je l'ai revu ce soir, et mes souvenirs étaient trompeurs : tout ce long-métrage s'articule autour des "performances" sur scène de Demi Moore ; la garde de sa fille et l'histoire de meurtres ne sont là que pour légitimer ces séquences d'effeuillage, beaucoup plus longues et travaillées que tout le reste du film. Le réalisateur ne fait même pas semblant de vouloir nous raconter quelque chose, et c'est finalement dommage car il y a des éléments à retenir, justement dans le scénario bricolé à la va-vite pour soutenir un concept aussi puissant que "Demi Moore seins nus" (même si nous sentons bien que c'est sa doublure qui se déshabille la plupart du temps). A part ça, Robert Patrick et surtout Burt Reynolds sont complètement en roue-libre et nous offrent des prestations grand-guignolesques ; par contre, les collègues de travail de Demi Moore sont tuantes :lol:

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Messagede Merlin le Dim 02 Mar 2014, 01:21

Parce qu'il y a des gens qui ont regardé Striptease pour autre chose que Demi Moore?! :lol:

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Messagede inico le Dim 02 Mar 2014, 09:47

Après un Gerardmer cuvée 2014 aux parfum très asiatique, lancement mercredi prochain du Festival du film asiatique de Deauville, avec notamment la présence de Tsai Ming-Liang et et Hideo Nakata. Espérons que de bons journaleux soient sur le terrain pour récolter la bonne parole 8) .

De quoi patienter avant la sortie ciné (pas super attendu, j'ai l'impression, malgré les Pale Cocoon et Eve No Jikan de Yasuhiro Yoshiura) de Patema :mrgreen: ?
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Messagede Gemini le Sam 08 Mar 2014, 00:20

Twilight Zone : Cela faisait longtemps que je voulais voir ce film. Je n'ai dû voir qu'un ou deux épisodes de Twilight Zone dans ma vie, mais je connais la série de réputation. Par contre, j'ai vu tous les Simpson Horror Show, et comme les auteurs y reprennent très souvent ses histoires, cela m'a gâché le suspens sur plusieurs segments du long-métrage.
Si j'ai décidé de le regarder, c'est que j'adore chacun des quatre réalisateurs qui ont travaillé sur les différents segments : John Landis, Steven Spielberg, Joe Dante, et George Miller. Même si sa réputation n'est pas des plus flatteuses, je me suis dit qu'avec une telle somme de talents, le résultat ne pouvait pas être si mauvaise que cela.

Pour vous dire la vérité, je me méfie toujours un peu des films à sketchs, dont je trouve les différents segments souvent hétérogènes en terme de qualité. Même s'il reste des exceptions, comme Métal Hurlant.
Or, justement, j'ai trouvé le premier, celui de John Landis, moins réussi que les suivants, ce qui pose un problème puisque l'entame doit permettre d'accrocher le spectateur. Son histoire est linéaire, beaucoup trop prévisible, et sa morale s'avère douteuse tant elle parait grossière.
Celui de Steven Spielberg est bien meilleur, et nous sentons sa touche personnelle dans ce récit plein d'espoir et de nostalgie, qui préfigure alors son travail sur le mythe de Peter Pan. Même si nous restons ancrés dans le fantastique, son segment est aussi le plus fantaisiste, et sans doute le seul qui se veuille touchant. A ce titre, c'est parfaitement réussi.
Le troisième est signé Joe Dante, et même si nous ignorons qui se trouve derrière la caméra, nous pouvons aisément le deviner. Entre les présences de Dick Miller et Kevin McCarthy, l'univers cartoonesque (reproduit jusqu'au trou de souris dans le mur), et une ambiance malgré tout glaçante, c'est du Joe Dante tout craché. J'apprécie son travail d'habitude, il en va de même ici.
Enfin, celui de George Miller m'a déçu, non pas en raison de ses qualités propres - il se montre parfaitement angoissante et claustrophobe - mais parce qu'il mise beaucoup sur sa fin pour asséner le coup de grâce, et qu'en raison des Simpsons, je savais comment cela se finissait. Forcément, il perd en impact.

Twilight Zone est bien plus agréable que les critiques le laissaient croire. Sans révolutionner quoi que ce soit, aucun de ses segments n'est catastrophique, et les deux centraux nous montrent clairement le talent dont disposent leurs réalisateurs respectifs. Je peux donc affirmer ici et maintenant, hop, avoir passé un bon moment.

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Messagede inico le Sam 08 Mar 2014, 16:06

Drug War, encore en Chine mais enfin un vrai retour aux affaires de Johnnie To 8)

Le film est froid et dur comme le métal. Dense en action, mais hermétique à en perdre un spectateur trop habitué aux cérébrales ou romantiques histoires de gangs.
Ici, les personnages sont comme des pantins qui semblent lutter pour survivre, ayant effacés toute trace de leur humanité.
Le personnage du flic se définira lui-même ainsi au début du film, "un flic qui fait son job". Point, on n'ira pas plus loin avec lui. La facilité avec laquelle il s'approprie la personnalité de différents caractères dans le film contribuera continuellement à lui retirer toute once humaine.
Côté bandits, Johnnie To se fait un peu plus disert, mais mais pas franchement plus tendre. Des survivants. Point, encore. On tentera vainement de s'accrocher à tel ou tel personnage, mais rien n'y fait, ils restent implacables du début à la fin. C'est néanmoins à eux qu'il réservera sa "scène de repas", montrant où se situe son camp.
Et comment ne pas préférer ces deux fabuleux personnages de sourds-muets à cette affreuse fliquette à laquelle To réserve un sort délicieux et jouissif.
En bonus, deux fins. Une traditionnelle fusillade tragi-comique puis un couperet à laisser sur place et sans voix.
Différent de ses habituels thrillers dans les rues chaudes et serrées de HK, ce thriller est l'image de la Chine aux grands espaces froids qu'il film.

Au fait, j'ai aimé :D .
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Messagede Ialda le Sam 08 Mar 2014, 17:20

Nouvel épisode de Crossed; cette fois-ci, cinéma Indien :)



___

Et le FdF Grand Budapest Hotel :oops:



Ce qu'il y a de bien à ancrer l'intrigue dans une époque précise et d'en évoquer les événements marquants (la guerre, le fascisme, la fin d'un monde), c'est que ça confère enfin une utilité pratique à ce style de fausse-nostalgie d'Anderson à base de décors de maisons de poupées encombrés de memorabiliae.

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Messagede Merlin le Mar 11 Mar 2014, 01:39

"Un vaisseau spatial !"

Dédicace à Ialda. Bien sûr qu'il est super génial. :lol:

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Messagede Jetblack le Mer 12 Mar 2014, 22:58

Zêta Amrith a écrit:Quand les portes se referment à la fin leur Godzilla a une tronche d'hippopotame.


Leur Godzilla respect plus le design de celui de la Toho que le T-Rex de Sony ^^
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Re: Le topic cinéma

Messagede Merlin le Mer 12 Mar 2014, 23:22

C'est une espèce voisine de lézard.

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Re: Le topic cinéma

Messagede Milo le Mer 12 Mar 2014, 23:26

Le Roi lion vu au ciné ce matin. :shock: Ils avaient passé Pulp Fiction il y a quelques semaines. Hier c'était (Ghost in the Shell) Arise épisodes 1 et 2, que j'ai loupé mais qu'importe : quelle époque de gouf :P
"J'adore trop les doubleurs japonnais de la nouvelle saison de ce manga. Faut que je voye s'il est licencié !" ಠ_ಠ

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Re: Le topic cinéma

Messagede Jetblack le Jeu 13 Mar 2014, 02:17

Merlin a écrit:C'est une espèce voisine de lézard.


je prefere mon godzilla rondouillard version Toho (et le futur film) :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:
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Re: Le topic cinéma

Messagede Merlin le Jeu 13 Mar 2014, 18:53

Un Godzilla rondouillard c'est un peu un Totoro en fait. :lol:

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Re: Le topic cinéma

Messagede Jehros le Jeu 13 Mar 2014, 20:25

Pour les spectateurs persuadés que le scénario de Gravity est vide, simpliste, n'existe pas... Cuaron et ses collègues ont eu la délicate attention de s'attarder pendant une grosse dizaine de minutes à décortiquer le sens de leur film, les symboles, les métaphores... dans l'une des featurettes du blu-ray.
Et aujourd'hui, Capture mag se fend d'une analyse absolument passionnante - et érudite - sur le film et ses multiples niveaux de lecture. Indispensable.

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Re: Le topic cinéma

Messagede Gemini le Lun 17 Mar 2014, 21:15

Qui est le capitaine Sawada ? Pourquoi Cammy ne mesure-t-elle qu'un mètre ? Vous le saurez grâce à cet article passionnant sur le film Street Fighter :mrgreen:

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