Moi je suis un peu d'accord avec Kraken sur un point : moi non plus je ne considère pas
Pédo Magi Magical Magician Magic Madoka Magica comme une série de
Mahou Shôjo-qui-tâche.
Déjà, parce que c'est du Shinbô, et il faudrait déjà que je commence par considérer ne serait-ce que l'existence des anime de Shinbô ... et même après, il resterait du chemin à parcourir.
Et puis, parce que ça a ramené plein de moephiles-nanamistes suiveurs de hype dans nos contrées. Plein de gens qui s'exclamaient :
"Je ne suis pas fan du genre Magical Girl, mais Madoka ça me sodomise l'anus" (oui, c'est une redondance, mais je cite texto)
"C'est trop bien, ça remet en cause tous les codes du genre et adapte les Magical Girls aux otakus de 2010".
Déjà, comment peuvent-ils dire que ça remet en cause des codes qu'ils ne connaissent pas de base ? Moi j'ai toujours aperçue cette série (que je n'ai pas vu et que je ne verrai sans doute jamais) comme du
wanabee Princesse Tutu (la série qui tue), sans une once de réflexion ... et avec le character design le plus horrible depuis les Rage Comics.
D'ailleurs, comme je n'ai pas vu la série, je demande vos lumières. Si la série se veut dans la ligné des Magical Girls, est-ce qu'il y a l'un des poncifs les plus importants du genre, à savoir :
Beau-Gosse-san ?
D'après l'impression que j'ai, la série serait comme K-On et ne compte même pas de personnage masculin dans son casting. Et donc, tout comme K-On, la substantifique moelle de la série ne consisterait que des sous-entendus lesbiens qui feraient aux otakus s'imaginer toute sorte de couples/trios/quartets entre les personnages féminins et d'imaginer
à une main leurs aventures du soir ... .
De ce côté-là, je rejoins la théorie de mt_i que Madoka hérite plutôt du hentai tentaculaire gore que du magazine Ribon.
Drig < Moi je préfère quand c'est plein petites filles, des mascottes kawaii, de pâtisseries, de rose tape-à-l'oeil, de un ou plusieurs beau-gosses-san (il y a toujours un bôgoss-san et un Dark-bôgoss-san) ... et surtout d'une phase de transformation où, pendant un bref instant, l'héroïne est
à poil sur l'écran
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