EVENT : 18ème FICA à Vesoul

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Mitch69
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EVENT : 18ème FICA à Vesoul

Messagede Mitch69 le Mar 05 Jan 2010, 20:24

Du 26 Janvier au 02 Février 2010 aura lieu à Vesoul la 16ème édition du Festival International des Cinémas d'Asie. A noter une soirée consacrée à l'animation japonaise.

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Akira2019
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Re: EVENT : 16ème FICA à Vesoul

Messagede Akira2019 le Mar 05 Jan 2010, 20:49

Ils proposent Evangelion 1.0 : You Are (not) Alone, mais pas Evangelion 2.0 : You Can (not) Advance, c'est dommage ... :18:
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Mitch69
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Re: EVENT : 16ème FICA à Vesoul

Messagede Mitch69 le Jeu 28 Jan 2010, 21:39

Evangelion:1.0 à l'honneur au Festival International des Cinémas d'Asie de Vesoul !

Retrouvez le premier volet de la tétralogie "Rebuild of Evangelion" :
Vendredi 29 Janvier à 22h45 - Salle Majestic 4
Samedi 30 Janvier à 20h30 - Salle Majestic 4


source : www.dybex.com

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Mitch69
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Re: EVENT : 16ème FICA à Vesoul

Messagede Mitch69 le Mer 30 Nov 2011, 20:47

La prochaine édition du Festival des Cinémas d'Asie, aura lieu entre le 14 et le 21 février 2012 à Vesoul.

Les 28 327 spectateurs de la dernière édition placent le FICA - Festival International des Cinémas d’Asie de Vesoul, dans les festivals de cinéma majeurs en France. Le FICA est en outre le plus ancien festival de cinéma asiatique d’Europe. La 18ème édition du FICA - Festival International des Cinémas d'Asie de Vesoul aura lieu du 14 au 21 février 2012 .

90 films de toute l’Asie, du Proche à l'Extrême-Orient seront proposés au public dont un maximum de films inédits ou rares conformément à la vocation artistique du festival d'être un vrai festival de recherche et de défense du patrimoine cinématographique.

Ces 90 films s’articuleront autour des sections suivantes :
* Thématique : Les brûlures de l’Histoire
*Visages des Cinémas d'Asie contemporain : Compétition fiction longs métrages inédits en France + Compétition documentaires inédits en France
* Regard sur le cinéma du Kazakhstan : 1939 - 2011
* Hommage à Kore-eda Hirokazu : l’intégrale
* Francophonie d’Asie : Tran Anh Hung
* Jeune public
* Japanimation

Le président du Jury International sera le cinéaste – écrivain Afghan, Atiq Rahimi, prix Goncourt pour « Pierre de patience ». Le réalisateur japonais Kore-eda Hirokazu, primé à Cannes, Venise, … recevra un Cyclo d’or d’Honneur pour l’ensemble de son œuvre dont l’intégrale sera présentée. Il sera rendu hommage au réalisateur franco-vietnamien Tran Anh Hung (caméra d’or à Cannes pour « l’Odeur de la papaye verte » et Lion d’or à Venise pour « Cyclo »). Le réalisateur kazakh, Ermek Shinarbaev, Léopard d’or à Locarno, sera le fil conducteur de la rétrospective consacrée au cinéma du Kazakhstan : 1939 – 2011.

Projection non stop de 9h à Minuit ; Débats – rencontres ; Tables rondes ; Animations : contes, danses, littérature, arbre à voeux, intermèdes musicaux, photographies ; Soirées : Japon, Kazakhstan, Diversité Culturelle, 60ème anniversaire de Positif ; Expositions ; Journée professionnelle ; Journées pédagogiques d’immersion ; Actions de sensibilisation : Quartiers, AAMI, Après-midi famille; Culture du Coeur ; Repas cinéphilique ; Publications ; Décentralisation ; Reprises : Auditorium du Musée Guimet de Paris et INALCO.
Le FICA c’est la qualité à la portée de tous pour le plus grand plaisir du plus grand nombre !


source : http://www.cinemas-asie.com

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Re: EVENT : 18ème FICA à Vesoul

Messagede happy le Jeu 01 Déc 2011, 15:54

Les premiers messages peuvent prêter à confusion, comme ils datent de 2010 - et pour info, on n'avait pas pu avoir la copie de "Evangelion 2.0" à l'époque.

La programmation de l'édition 2012 est en cours de bouclage, mais la présence de Kore-eda (un réalisateur MER-VEI-LLEUX et non pas seulement pour son adaptation manga "Air Doll") est d'ores et déjà confirmée et assurée.

Merci pour le relais d'info Mitch !! :D

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Re: EVENT : 18ème FICA à Vesoul

Messagede happy le Lun 16 Jan 2012, 12:52

18e Festival International des Cinémas d'Asie

FOCUS KORE-EDA HIROKAZU

2012 sera l'année des 50 ans du réalisateur japonais Kore-eda Hirokazu.
Pour fêter cet anniversaire le FICA souhaite rendre hommage à ce cinéaste dont l'œuvre est tout en sensibilité.


Le réalisateur japonais Kore-eda Hirokazu, primé à Cannes, Venise, … recevra un Cyclo d’or d’Honneur pour l’ensemble de son œuvre dont l’intégrale sera présentée.

L'ensemble de sa filmographie (tous ses longs, documentaires TV et son téléfilm "After days") sera diffusé en VOSTF durant le festival et introduit en sa présence.

Son dernier opus, I Wish (2011), sur le thème du rapprochement des familles grâce au train à très grande vitesse sera présenté en première française lors de l’ouverture au 18ème Festival International des Cinémas d’Asie de Vesoul, le mardi 14 février 2012.



Révélé en France avec la sélection en compétition officielle du Festival de Cannes 2001 de son troisième long-métrage "Distance", il est surtout connu du grand public suite au succès de son 4e, "NOBODY KNOWS", qui vaudra d'ailleurs à son interprète principal, alors âgé de 14 ans, de remporter le prix d'interprétation masculine au festival de Cannes en 2004. Depuis, on a également pu le retrouver avec plaisir avec son magnifique "STILL WALKING" (2008) ou sa comédie éthérée "AIR DOLL" (2009).


C'est dans le genre documentaire, que Kore-eda né en 1962 à Tokyo, fait ses premières armes. Diplômé de littérature de l'Université de Waseda, il rejoint la compagnie société indépendante de production télévisuelle TV MAN UNION, qui finira par lui confier la réalisation de plusieurs sujets, qui seront tous projetés durant le festival.

En pensant "documentaire", certains piqueront peut-être de suite du nez en se rappelant des longues séances de torture audiovisuelle endurées durant certains cours ou lors de longues soirées d'insomnie passées sur ARTE…OR ce serait
a) passer à côté du crû d'EXCEPTION de nos documentaires en COMPETITION (infos à venir très prochainement) et
b) manquer un complément ESSENTIEL quant à la parfaite assimilation de l'œuvre d'un vrai artiste, tant ses documentaires sont intimement liés avec les longs réalisés par la suite de sa carrière.

Les premiers documentaires posent ainsi les FONDEMENTS de son œuvre à venir, à travers la maîtrise progressive de l'image et du déroulement des histoires, des préoccupations et thématiques abordées et de son rapport avec les hommes – et plus particulièrement les enfants.

"HOWEVER" est le premier documentaire de Kore-eda. En s'intéressant au suicide de deux personnes différentes atteintes de la maladie de Minamata (ou hydrargyrisme, maladie générée par une intoxication au mercure), le réalisateur dénonce surtout le défaillant système japonais de la santé; un sujet reconnu, mais largement tabou et qui sera également au cœur de son édifiant 5e documentaire, "Without memory". Dans ce dernier, un homme est incapable d'imprimer la moindre information depuis qu'un hôpital ait décidé de rogner sur leurs frais en interne et l'ait privé d'un complément de vitamines au cours d'une simple hospitalisation. Jour après jour, ce père de famille de 2 enfants va donc régulièrement réapprendre son état et tenter de trouver des astuces pour vivre une vie à peu près normale.
Des enfants, qui seront au cœur de son second documentaire "Lessons from a calf", dans lequel le réalisateur va suivre un an durant la classe d'une école primaire, dont les élèves devront apprendre à gérer le veau, "Laura". Un film, qui aura immanquablement inculqué au cinéaste son acuité extraordinaire à filmer des enfants, présents dans la plupart de ses long-métrages. Un document attachant, à la fois drôle et tragique.
Tragique comme ses deux autres documentaires, l'émouvant "August without him", les derniers mois du premier japonais à avoir publiquement avoué son homosexualité ET sa maladie du sida et "I wanted to be japanese", la terrible histoire d'un coréen enrôlé de force par l'armée japonaise durant la Seconde Guerre Mondiale et qui va connaître des sacrées ennuis, quand il sera obligé d'user des faux papiers pour rentrer dans son pays natal à la fin du conflit.

Une série de documentaires magnifiques, aux sujets extrêmement forts et magnifiés par l'exceptionnelle maîtrise d'un réalisateur – déjà – en pleine capacité de ses moyens avant d'exploser sur la scène mondiale avec ses longs, que nous aborderons brièvement au cours des jours suivants avant de vous convier à venir les voir au cours de notre Festival.


Parallèlement au tournage du documentaire "Without memory" ("Sans mémoire"), qui l'occupera pendant des longs mois, Kore-eda réalise son premier long-métrage, "Marobosi", dont le mystérieux titre sera expliqué au cours du film.
L'histoire est un condensé de toutes les thématiques exploitées au cours de ses documentaires, qui traitent des souvenirs, de la mort et…du souvenir des morts avec le lent processus d'une jeune femme obligée de faire le deuil de son mari. Un premier long magistral, qui (d)étonne autant sur le fond, que sur la forme, Kore-eda rendant hommage – sans avoir à rougir de la comparaison – aux magnifiques compositions de plans du maître du classique japonais, OZU Yasujiro.

Son second, "Afterlife" est à la fois la parfaite prolongation et l'exact contraire de son précédent, "Marobosi". Moins on en sait de ce petit bijou ensorcelant, mieux on sera emporté dans son maelstrom des sensations et d'émotion; disons juste, que l'histoire raconte le quotidien du "personnel des limbes", qui aide à des personnes fraîchement décédés à reconstituer le plus beau souvenir de leur vie sur terre. Dans ce second, Kore-eda affine encore l'attention portée à ses personnages, en fouillant les tréfonds de l'âme humaine, tout en conservant une certaine distanciation respectueuse. Un autre chef-d'œuvre à ne manquer sous aucun prétexte sur un grand écran.


Trois ans après la sortie de "After Life", Kore-eda renoue une nouvelle fois avec ses thématiques obsessionnelles de la mort, du souvenir et du souvenir de la mort.
Relançant le débat de l'omniprésence renforcée des sectes au Japon, notamment relevé par le terrible attentat au gaz sarin dans le métro de Tokyo le 20 mars 1995, Kore-eda raconte le touchant pèlerinage de quatre amis sur le lieu du massacre des disciples d'"une secte religieuse trois ans plus tôt. A travers leurs doutes et interrogations, ils tentent à la fois de ressusciter le souvenir des proches morts au cours de la tragédie, mais également de tenter de comprendre leur propre place dans la société, autant dans le passé, qu'au présent et en laissant entrevoir leurs craintes d'un futur incertain. Nouvelle introspection humaine passionnante du réalisateur, elle relève le défi de rendre les morts plus vivants, que des êtres humains étrangement éteints.

Si Kore-eda se retrouve une première fois invité au prodigieux Festival de Cannes en 2001 avec "Distance", c'est pourtant avec son second film en compétition officielle, "Nobody Knows", qu'il sera mondialement reconnu. Tout comme son précédent "Distance", "Nobody…" s'inspire d'une histoire vraie, relayée dans les médias japonais en 1988, d'une mère, qui avait subitement abandonné plusieurs mois durant ses quatre enfants mineurs; un fait loin d'être isolé, comme s'en est rendu compte le réalisateur en menant des recherches pour les besoins du film.
Bien que la mère ne sont pas "morte", son départ permet une nouvelle fois au réalisateur de traiter de "l'absence" d'un être cher, mais en se posant du point de vue d'un enfant. Une fois de plus, son précédent travail de documentariste a énormément contribué au succès du film. Son travail au quotidien dans un collège durant un an dans "Lessons from a calf" lui aura enseigné comment approcher les enfants, leur faire oublier la présence de la camera et leur soutirer l'attitude la plus naturelle que possible. Une direction d'acteurs exceptionnelle, justement récompensé par le prix de la meilleure interprétation masculine décernée au jeune Yagira Yuya au festival de Cannes en 2004.


Alors que "Nobody Knows" révèle le réalisateur japonais Kore-eda Hirokazu au monde entier, son film suivant, "Hana" est resté inédit dans les salles françaises.
"Hana" s'avère à la fois un changement de direction complet et à la fois une parfaite prolongation de l'œuvre du cinéaste. Changement, parce qu'il s'agit de sa première fiction à ne pas se passer dans un monde contemporain, mais carrément plusieurs siècles en arrière, au début du XVIIIe; changement d'époque, mais également changement de genre, puisque le côté dramatique des précédents films du réalisateur et également présent en début de ce métrage est rapidement désamorcé pour laisser place à de la…comédie. Si des nombreuses touches drôles et légères avaient déjà laissé entrapercevoir la capacité du cinéaste à faire rire son public, il le prouve définitivement avec l'histoire de ce samouraï, qui – au lieu de venger l'assassinat de son père choisit finalement de profiter pleinement de la vie. L'absence d'un être cher est donc une nouvelle fois frontalement abordée par le cinéaste, mais au lieu d'aspirer à la mort, le personnage principal va davantage observer une certaine joie de vivre et célébrer l'existence sur terre.

L'expérience de la comédie servira une première fois au cinéaste pour les besoin de son film suivant, "Still walking". Renouant avec un cinéma fortement empreint du classicisme des plus grands réalisateurs japonais, comme Ozu ou Mizoguchi en relatant la commémoration du quinzième anniversaire de la mort du frère aîné d'une famille, Kore-eda aborde donc une nouvelle fois le souvenir d'un mort, mais le fait avec beaucoup de légèreté et d'humour, notamment par la présence de petits-enfants trublions, qui amènent moins une agitation que de la vie dans un climat pesant. "Still walking" est certainement le film le plus abouti dans l'exploration du souvenir des morts, justement récompensé par un très joli succès lors de sa sortie en salles françaises.

Une célébration de la vie perpétuée dans "Air Doll", adaptation d'un manga, qui raconte comment une poupée gonflable prend vie et tombe amoureuse à la fois de la vie et d'un vendeur dans un vidéoclub. Tranchant singulièrement avec le sérieux de ses précédentes réalisations, "Air Doll" constitue un bol d'air frais et une véritable ode jubilatoire à la vie dans la filmographie du réalisateur.


"The days after" et "I wish" sont tous deux des inédits présentés pour la première fois au public français.

"The days after" est en fait un téléfilm, segment d'une série de contes fantastiques à l'initiative de la chaîne japonaise NHK, qui a demandé à plusieurs réalisateurs nippons de renommée internationale d'imaginer des histories de fantômes. Kore-eda accepte sous la seule condition d'avoir entière carte blanche et de pouvoir tourner ce qu'il souhaite. Alors que la plupart des autres réalisateurs choisissent d'adapter des contes et légendes propres à terroriser les spectateurs, Kore-eda poursuit une nouvelle fois ses habituelles interrogations des vivants face à l'absence d'un être cher, en l'occurrence d'un jeune couple face à celle de leurs fils. Moins on en sait, mieux ça vaudra dans ce nouvel exemple stupéfiant de beauté et de simplicité, qui soutient facilement plusieurs visionnages pour tenter de démêler l'ensemble des questions posées sans forcément en connaître les réponses – du moins de la bouche de leur auteur.

"I wish" est le tout dernier long-métrage cinématographique réalisé par Kore-eda. Sélectionné au prestigieux festival de Venise et récompensé par le "Prix du Jury du meilleur scénario" au récent Festival de San Sébastian, le film renoue avec l'esprit de "Nobody Knows" en contant la touchante histoire de deux frères, séparés après le divorce de leurs parents accueillant chacun l'un des deux garçons. Si l'absence est une nouvelle fois au cœur des interrogations du réalisateur, le film raconte avant tout l'histoire de deux adolescents en passe de devenir des jeunes adultes en étant à la fois confrontés aux problèmes du quotidien tout en gardant encore une âme d'enfant en croyant notamment à l'accomplissement d'un curieux miracle.

"I wish" passera en avant-première française lors de la cérémonie d'ouverture de la 18e édition du Festival International des Cinémas d'Asie de Vesoul, le mardi 14 février prochain. Qu'imaginer de mieux comme cadeau de la Saint-Valentin ?!!

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Re: EVENT : 18ème FICA à Vesoul

Messagede Mitch69 le Dim 12 Fév 2012, 15:50


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Re: EVENT : 18ème FICA à Vesoul

Messagede Mitch69 le Mer 06 Fév 2013, 22:57

19ème FICA du 05 au 12 Février 2013

Le Festival International des Cinémas d’Asie de Vesoul
Il a pour but d'organiser une manifestation cinématographique : "Festival International des Cinémas
d'Asie"
dont la finalité est de faire découvrir et promouvoir toutes les cinématographies du continent asiatique,
le dialogue entre les cultures, la découverte de l'autre par le biais du cinéma. Il a aussi pour but de faire connaître la ville de Vesoul, le département de la Haute-Saône et la région de Franche-Comté.


Créé en 1995, le FICA est le plus ancien des festivals asiatiques d’Europe et, originalité, le seul des festivals
asiatiques européens à s’intéresser à l’Asie dans sa totalité géographique, du Proche à
l’Extrême-Orient, de l’Oural au Pacifique et du Canal de Suez à l’Océan Indien.
Lors de sa dernière édition, en 2012, il a attiré près de 30 000 spectateurs le plaçant à la première
place des Rendez-vous du cinéma d’auteur asiatique d’Europe.
Pour cette 19ème édition du FICA - Festival International des Cinémas d'Asie de Vesoul qui se déroulera
du 5 au 12 février 2013, 90 films seront proposés au public dont un maximum de films inédits ou rares
conformément à la vocation artistique du festival d'être un vrai festival de recherche et de défense du patrimoine
cinématographique.
Présenter 90 films par édition est la bonne mesure d’un festival qui privilégie la qualité.
Les quatre-vingt-dix films de cette 19ème édition se déclineront en huit sections :
* Visages des Cinémas d'Asie contemporains :
Compétition longs métrages inédits en France
Compétition documentaires inédits en France
* Thématique : Sur les route d’Asie
* Hommage à Leslie Cheung (1956 – 2003)
* Regard sur le cinéma indonésien : 1954 – 2013
* Centenaire du cinéma indien : 1913 - 2013
* Francophonie d’Asie : L’Arménie et les studios Armenfilm
* Japanimation
* Jeune public


Le FICA est toujours attentif à l’extraordinaire inventivité graphique des studios d’animation asiatiques.
Les traditionnelles soirées « Japanimation » attendent les curieux et les inconditionnels du genre.
Japon : Un été avec Coo de Hara Keiichi
Japon : Les Enfants loups, Ame et Yuki de Hosoda Mamoru
Le cinéma étant pour tous, les « Après-midi famille » du mercredi (au Cinéma Majestic et au Théâtre
Edwige Feuillère) permettront d’assister ensemble à la programmation « Jeune Public » de 3 à 103 ans !
Chine : La Rizière de Zhu Xiaoling
Corée : Lili, à la découverte du monde sauvage de Oh Sung-yoon
Iran : Portrait de famille
Iran : Le corbeau et un drôle de moineau
Japon : Goshu le violoncelliste de Isao Takahata

Tarifs :
Tarif normal : 7 € 50
Tarif réduit : 5 € 50 (Associations cinéphiles, Carte Cézam, demandeurs d’emploi, adhérents MGEN)
Moins de 26 ans : 3 € - Carte cinq films : 27 € 50 - Passeport pour tous les films : 70 €

Salles de cinéma :
Théâtre Edwige Feuillère (Place Pierre Renet) :
Ouverture le mardi 5 février 2013 à 20h30 et clôture le mardi 12 février 2013 à 20h30
Cinéma Majestic-Espace des Lumières (Parc des Haberges) :
du mercredi 6 au mardi 12 février 2013, projections non stop 9h – minuit au cinéma Majestic Espace des
Lumières, dans des conditions idéales de projection (salles 2, 3, 4, 5 et 10).



Plus d'infos sur le reste du festival

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Re: EVENT : 18ème FICA à Vesoul

Messagede Mitch69 le Mar 19 Fév 2013, 23:01

19ème FICA - Festival international des Cinémas d'Asie de Vesoul (du 5 au 12 février 2013)
27 000 spectateurs pour cette 19ème édition du FICA. Le film de clôture est LE DERNIER VOYAGE DU JUGE FENG de Liu Jie (Chine)


CYCLO D'OR offert par le Conseil Régional de Franche-Comté remis par le Jury International présidé par M. Garin Nugroho, réalisateur indonésien et composé de M. Goutam Ghose, réalisateur indien, M. Sam Ho,
programmateur (Hong Kong) et Baran Kosari, actrice (Iran).

"JISEUL" de O MUEL (Corée) : l'histoire du massacre de 1948 sur une île de Corée nous renvoie aux nombreuses tueries de gens ordinaires dans un monde actuel d'intolérance. Le film montre un jeu de violence
avec un talent unique dans tous les domaines de la réalisation.
"WITH YOU, WITHOUT YOU" by Prasanna Vithanage (Sri Lanka) : un portrait à la fois intense et poétique
d'une vie conjugale traumatisante qui reflète les ravages des conflits ethniques et de la guerre civile.
Grand Prix du Jury International : "BWAKAW" de Jun Robles Lana (Philippines) pour le courage et la
pertinence de son sujet, son jeu d'acteur à la fois simple et complexe et la délicatesse à exprimer l'humanité,
l'amitié, l'amour et la solitude,
Mention spéciale pour deux jeunes actrices, Yang Shuting dans le film chinois "ALL APOLOGIES" pour la
nuance de son interprétation faite d'émotions complexes, et Taraneh Alidoosti dans le film iranien
"MODEST RECEPTION" pour son expression très puissante dans des situations de provocation.
Mention spéciale pour le film "JAPAN’S TRAGEDY" pour le portrait d'une nation dans une situation difficile
par le grand cinéaste Kobayashi Masahiro (Japon).

Prix du Jury NETPAC (Network for the Promotion of Asian Cinema) représenté par M. Siddik Barmak,
réalisateur (Afghanistan), Mme Mara Matta, universitaire (Italie) et M. Kavich Neang, réalisateur Cambodge) :
"WITH YOU WITHOUT YOU" de Prasanna Vithanage (Sri Lanka) pour ses qualités esthétiques et sa sublime
adaptation d'une nouvelle de Dostoïevski transposée dans la réalité contemporaine. Lorsque l'amour et
l'humanité parviennent à surmonter la tragédie, les conflits et les souffrances, c'est alors qu'ils triomphent.
Prix Emile Guimet (offert par les Amis du Musée National des Arts Asiatiques de Paris) : Jury Guimet
composé d'Hubert Laot, Véronique Prost et Anna-Nicole Hunt :
"BWAKAW" de Jun Robles Lana (Philippines) pour cette vision humoristique et sensible d'un univers
foisonnant des personnages surprenants, riches de leurs personnalités uniques et décalées. Un film où même
l'évocation de la mort nous rappelle à la vie, auquel, malgré l'étrangeté du propos on croit à chaque instant.
Coup de coeur Guimet : “NUIT DE SILENCE” de Reis Celik (Turquie) : un huis clos extraordinaire sur un
sujet grave qui reste, en de nombreux pays, d'actualité. Qui est la victime, qui est le coupable ? Nous restons
fascinés par la profonde humanité des personnages. Un moment d'anthologie qui génère des questions.
Prix INALCO (offert par l'Institut National des Langues et Civilisations Orientales) : Jury composé de Rémi Dor,
François-Xavier Durandy, Anthony Folkmann, Boris Elaiba, Elodie Guignard et Satenik Mkhitaryan.
"ATAMBUA 39°Celsius" de Riri Riza pour la qualité exceptionnelle de sa photographie, de ses couleurs et de
ses contrastes, pour la quête identitaire des personnages au lendemain d’un conflit fratricide, à la finesse avec
laquelle sont liés destin collectif et trajectoire individuelle ainsi qu'au jeu tout en retenue des acteurs.
Coup de coeur INALCO : "MODEST RECEPTION" de Mani Haghighi (Iran).Cette fable magistrale tient
constamment le spectateur en haleine en oscillant entre burlesque et tragique, humanisme et cynisme. Le jury
a été sensible à sa portée universelle, à l’inventivité du scénario et à la brillance des dialogues.
Prix du public long métrage de fiction (offert par la ville de Vesoul) :"ALL APOLOGIES" d'Emily Tang
(Chine)
Prix du Jury Lycéens : "BWAKAW" de Jun Robles Lana (Philippines)

Prix du public du film documentaire (offert par la Communauté d'Agglomération de Vesoul) : "LE LOTUS DANS TOUS SES ETATS" de Philippe Rostan (Vietnam - France)
Prix Jury Jeunes (offert par la Communauté d'Agglomération de Vesoul) : "LE CERCLE" de Rémi Briand (Inde - France).
Reprise des films primés à l'auditorium du Musée des Arts Asiatiques Guimet de Paris du 3 au 5 avril 2013 et à l'auditorium de l'INALCO le 22 octobre 2013.
Le 20ème FICA - Festival International des Cinémas d'Asie de Vesoul aura lieu du 11 au 18 février 2014.


source : FICA Vesoul



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