de Tetho le Sam 21 Mar 2015, 03:05
Verino > la facilité du procédé "ils sont manipulés, c'est un virus cheval de Troie infiltré via des faux souvenirs" et on explique pas plus est d"une facilité sans nom. Chez Itô les faux souvenirs servaient à manipuler la cible (l'éboueur) afin de le pousser à réaliser certaines actions (ouvrir des lignes pour le Puppet Master/uploder des données) en lui faisant croire qu'il attaquait une personne bien précise qui en réalité n'existe pas (l'ex-femme de l'éboueur qui soit-disant lui refuse le droit de visite) alors qu'il en vise une tout autre (l'assistante du ministre). C'est un plan en deux étapes relativement complexe (en fait trois même vu les véritables objectifs de l'opération), dans
Arise rien de tout ça avec le
fire starter.
Et si dans
SAC le hacking passait comme
plot-device c'est parce que l'aspect SF n'était pas le coeur de la série, c'était son commentaire sociologique sur le Japon des années 2000. Alors que
Arise, écrite par un romancier spécialisé dans la SF, met énormément en avant cet aspect avec de longs dialogues à ce sujet et des problématiques dédiés comme l'affaire de la possession du corps de Kusanagi. Mais dans le fond c'est malheureusement très creux
Je regarderais probablement l'intégralité de cette version plus, ne serait-ce que pour me remettre dans le bain avant le film et parce l'OVA 3 était franchement réussite, mais la version Kise/Ubukata de
GITS ne tiens vraiment pas la route en face de ses ainées.