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Sch@dows a écrit:Mario c'est la même chose (également un jeu de plateforme), la précision des sauts qui le rend difficile. Les ennemis quand à eux entrent dans les critères "artificiels" cités plus haut.
Mes souvenirs de Mario & co (pas Sonic que je n'ai jamais aimé) sont trop lointains, mais est-ce que ces plateformes et ces bonus atteignables ainsi empêchait de finir le jeu ? Je n'en ai pas souvenir, tout au plus cela récompensait le joueur au niveau du score ou bien via des power-up. Ca ne diffère pas tant que ça des jeux d'aujourd'hui je trouve (mais bon faut les chercher les jeux de plateforme aujourd'hui).Zêta Amrith a écrit:Non, les ennemis dans Mario ou Sonic, tu rebondis dessus, et ce faisant tu atteins telle plateforme ou augmentes ta vitesse. Ils sont donc régulièrement partie prenante du design du level.
Sch@dows a écrit:Mais on en revient a ma question, le jeux vidéo doit-il être élitiste ?
Sch@dows a écrit:Dans un mario par exemple, on te laissait finir le jeu sans avoir tout récupéré. T'avais sauvé la princess et "fini" le jeux et ainsi l'acheteur lambda était satisfait.
Sch@dows a écrit:Mais on en revient a ma question, le jeux vidéo doit-il être élitiste ?
Sch@dows a écrit:Qui dit barre de vie dit également kit de soin et du coup la difficulté se décide alors par la présence plus ou moins fréquente de ces derniers, ainsi que par les dégâts qu'infligerons les ennemis (chose qui peut donc très bien évolué par le choix d'un mode de difficulté).
Est-ce que ces plateformes et ces bonus atteignables ainsi empêchaient de finir le jeu ? Je n'en ai pas souvenir, tout au plus cela récompensait le joueur au niveau du score ou bien via des power-up.
Bref, hormis les jeux de plateforme qui peuvent du coup nécessiter une manipulation difficile et millimétrée pour continuer, la plupart des styles de jeux ne peuvent accroitre ou diminuer leur difficulté que via des moyens artificiel.
On n'y peut rien, une majorité de joueurs aujourd'hui semble satisfaits qu'une industrie jadis libre comme l'air et n'ayant à répondre de rien se soit imposée d'elle-même les contraintes formatées d'autres médiums.
Ca s'appel les casual gamer, et Nintendo comme Microsoft ont su montrer qu'il s'agissait de la majorité du nouveau marché, et bien que cela se fasse au dépend du jeux vidéo lui même, il semble logique que le niveau de difficulté s'adapte à la majorité du marché.Oyashiro a écrit:pas mal de jeu qui sont considérés comme hardcore ou élitsite a côté sont souvent surestimé car les joueurs n'ont vraiment plus du tout envie de s'impliquer dans un gameplay, Mais juste rechercher un divertissement léger et immédiat.
Tu prêches un convaincu, mais j'ai l'impression que tu prend la majorité des consommateurs pour des gamers (je ne parle même pas d'hardcore).Windspirit a écrit:Je n'aurais pas la même tendance que toi à prendre les gens pour des cons à ce point-là.
Les scénarios formatés des licences Nintendo, et même leur côté cartoon et délirant, ne servent qu'à encadrer le fun du jeu ; le jeu lui-même consiste à le maîtriser, à scorer, à se surpasser, à collectionner, à conquérir. Chaque tableau de Mario 64 raconte bel et bien une histoire, chaque étoile raconte une histoire, mais ici l'histoire et le gameplay sont intégralement confondus et on passe 99,97% du temps à jouer.
Je n'ai jamais connu personne qui s'est contenté de battre Bowser 3 et de sauver la Princesse dans Super Mario 64 et d'en ressentir une réelle satisfaction : le coeur du jeu consiste à avoir les 120 étoiles, ça fait consensus.
C'est peut être aussi une minute passée a approfondir le héro, facilitant l'identification, l'émotion et l'immersion que vont suscité les différentes phase de jeu (et en cela les QTE sont une plaie).Windspirit a écrit:D'où je crois le problème des jeux-films soulevé par mes collègues ci-dessus, entièrement résumé par une phrase que j'ai lue (et sortie) des milliers de fois sans qu'elle ne perde son sens :
Every minute you spend watching a cutscene or reading text is a minute you spend not actually playing the game.
Après si vous acheté (à 70€ faut vraiment être un pigeon) des mauvais jeu sans rejouabilité aucune ...Windspirit a écrit:Ces jeux-films incitent le joueur à ne plus jouer pour le jeu, mais pour l'histoire, et une fois que l'histoire est terminée, on range le jeu payé 70 euros bouclé en 5h gtfo.
Sch@dows a écrit:C'est peut être aussi une minute passée a approfondir le héros, facilitant l'identification, l'émotion et l'immersion que vont susciter les différentes phase de jeu.
Sch@dows a écrit:Ca s'appel les casual gamer, et Nintendo comme Microsoft ont su montrer qu'il s'agissait de la majorité du nouveau marché, et bien que cela se fasse au dépend du jeux vidéo lui même, il semble logique que le niveau de difficulté s'adapte à la majorité du marché.
Aer a écrit:Si tu vois des jeux de gamers la dedans, fais moi signe :p.
Aer a écrit:Si tu vois des jeux de gamers la dedans, fais moi signe :p.
Heu je joue pour l'histoire et finir le jeu tout simplement. Je ne m'emmerde pas à scorer, débloquer tout les succès, faire dans tout les modes de difficulté... Ca ne m'intéresse pas.
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