L’identité des joueurs aussi se gommera, ses frontières sont aujourd’hui déjà poreuses et nombre de gens de tous genres, couleurs et origines y entrent par milliers, apportant avec eux leur culture et leur sensibilité.
Etre joueur est une belle chose, être UN joueur n’en est plus une. Les gamers jadis bizutés, malmenés de toutes parts par les médias doivent apprendre à n’être pas les bizuteurs de demain, à accueillir à bras ouverts ceux qui veulent changer, transformer leurs culture et us.
Toute ressemblance avec d'autres articles seraient parfaitement fortuites.
Ca pourrait être pertinent si le sous-texte n'était pas clair comme de l'eau roche.
Mais peut-être qu'une fois la pastille dissolue et que les même personnes seront toujours plutôt vraiment très énervés de s'être fais prendre massivement pour des abrutis il sera temps d'écrire autre chose.
On vous le rappelle, jamais un personne autre que des jeunes hommes blancs n'avaient jamais joué à un jeu vidéo jusqu'à 2014.
Hein ?
Non, le Japon ça compte pas. Parce que.
Edit :
C'est la pression sociale qui a mangé une partie de mon message, je vous jure.
Et mon clavier à ramassé les miettes.
Je peux le prouver, elles sont toujours dedans.