Ah ben oui, ça, c'est clair
La France est sclérosée, à ce niveau.
M'enfin depuis quelques années, des livres du calibre de Niourk, Le meilleur des mondes ou 1984 sont étudiés en collège et lycée, donc ça s'améliore, peu à peu.
Le problème, c'est aussi que la littérature de l'imaginaire est essentiellement anglophone, et que les textes étudiés en cours sont majoritairement francophones. Donc ça réduit le choix à des classiques incontournables ou de très bons auteurs français pas forcément très récents (Niourk date des années 50, l'air de rien)