Le topic cinéma

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Tetho
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Re: Le topic cinéma

Messagede Tetho le Jeu 13 Aoû 2015, 13:53

Gemini a écrit:j'ai lu plusieurs articles sur Les 4 Fantastiques, affirmant que tout ce qui fonctionne dans le film vient de Josh Trank, et tout ce qui ne fonctionne pas est le fait du studio ; pour être aussi sûr d'eux, je suppose que tout ce petit monde a assisté au tournage :mrgreen:

Selon le Hollywood reporter et des sources bien sûre anonymes c'est tout l'inverse.

In Trank's case, multiple sources associated with the project say the director did not produce material that would have opened the way to a salvageable film. And by several accounts, he resisted help. "He holed up in a tent and cut himself off from everybody," says one high-level source. Literally, there was a tent on the Louisiana set. "He built a black tent around his monitor," says a crewmember. "He was extremely withdrawn." Between setups, this person adds, "he would go to his trailer and he wouldn't interact with anybody."


Another source says the notion of firing Trank came up even before the cameras started to roll. But Fox put its faith in him because he had directed the studio's 2012 found-footage hero movie Chronicle, which grossed $127 million worldwide on a $12 million budget. Based on that, insiders say Fox executives thought they had found an "in-house director," a young talent who could become another J.J. Abrams. And the studio was trying to shake off its reputation for micromanaging filmmakers. So executives were reluctant to interfere on Fantastic Four despite warnings of trouble.




Mais dans le fond le problème de ce film là c'est le même que The Amazing Spider-man, c'est que ce sont des films que personne n'a demandé, réalisés sans vraiment d'ambitions cinématographiques derrière juste pour garder les droits en attendant d'avoir la bonne idée de quoi faire avec vu que si ils retournent chez Marvel la Fox ne les reverra plus jamais.
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Messagede Lion_Sn@ke le Jeu 13 Aoû 2015, 15:11



(j'ai rien compris)

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Messagede Tetho le Jeu 13 Aoû 2015, 15:20

Si j'ai bien compris, c'est 10 petits nègres mais avec 8 personnes, dans un contexte de western et dans un refuge isolé par la neige.
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Messagede Aer le Jeu 13 Aoû 2015, 16:27

Tant que ça ressemble un tant soit peu à un western et pas un Django bis.
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Messagede Tetho le Jeu 13 Aoû 2015, 17:40

C'était sympa pourtant Django, bien plus que les Inglorious Basterds dont la moitié du film était à somnoler.
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Messagede Gemini le Jeu 13 Aoû 2015, 18:34


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Messagede Aer le Jeu 13 Aoû 2015, 18:46

C'était sympa pendant la première moitié, comme... wait.
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Messagede Tetho le Jeu 13 Aoû 2015, 19:06

Ha non, la fin aussi est cool quand il tue tout le monde dans un déluge de violence absolue...

Et en soit les Basterds c'est surtout la partie avec Shoshana qui m'a fait chier, RAF de son histoire, mais d'une force. Je voulais Waltz ou Pitt à l'écran, pas Mélanie Laurent.
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Messagede Aer le Jeu 13 Aoû 2015, 19:23

Elle est cathartique dans le sens ou tu t'emmerdes quand même fermement pendant une bonne heure. J'attendais tellement de voir DiCaprio mais dès qu'il apparait le film tourne au boudin complet.
La fin est d'une lenteur incroyable pour pas grand chose.
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Messagede Gemini le Sam 15 Aoû 2015, 01:39


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Messagede Gemini le Sam 15 Aoû 2015, 18:26

En réaction à la vidéo ci-dessus. Je viens de revoir Armageddon, et effectivement, les visions de l'americana que propose le réalisateur sont au moins aussi stéréotypées et à côté de la plaque que ce qu'il propose pour n'importe quel autre pays :D

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Messagede Gemini le Dim 16 Aoû 2015, 21:05

La Pendaison : R doit être exécuté. Mais un problème survient, et il survit à la pendaison. Amnésique après le choc subi, l'administration du pénitencier doit lui faire retrouver la mémoire pour pouvoir recommencer l'exécution.

Mon premier Nagisa Oshima. Le principe de base ressemble un peu à celui d'une des Idées Noires de Franquin : celle où un condamné manque de mourir avant d'être effectivement exécuté, au grand dam de ses bourreaux.
Le film s'ouvre comme un plaidoyer contre la peine de mort, un carton indiquant que 71% des Japonais sont contre son abolition d'après un sondage récent, mais que selon le réalisateur, cela serait différent s'ils savaient exactement comment cela se passait. Puis une présentation, documentaire, des rites et des étapes d'une exécution, qui culmine par un grain de sable venant s'insérer dans ces rouages si bien huilés : le condamné refuse de mourir. Non seulement ça, mais d'après l'interprétation de la loi, il doit être conscient de ses crimes pour être pendu ; or, il semble amnésique, et le personnel pénitentiaire est bien embêté, personne ne voulant prendre de décision et endosser une quelconque responsabilité, et encore moins annoncer qu'il n'a pas été pendu comme prévu. Le tout en restant très procédurier. Pour lui faire retrouver la mémoire, ils se lancent alors dans un théâtre de l'absurde, où le médecin mime un viol sur l’aumônier, et où les interprètes témoignent de tout le racisme et la misère dont le condamné fût victime ; en effet - et ce n'est certainement pas un hasard - R est d'origine coréenne, et les Japonais censés représenter sa famille vont partir dans des excès délirants. A travers La Pendaison, Nagisa Oshima décrit un Japon perclus de contradictions, de préjugés, de lâcheté, voire de folie, et nous offre un spectacle où le seul innocent semble être le condamné à mort, malgré l'horreur des crimes qui nous sont présentés.

Néanmoins, le réalisateur prend aussi des parti-pris dont tous ne me parlent pas. Ainsi, après une première moitié fascinante en huis-clos, qui impressionne en raison de son économie de moyen et de ses non-dits, la seconde intègre des éléments irréels - qui atténuent le côté absurde de la situation - et assène des discours beaucoup plus frontaux, superflus, pour faire passer les messages du réalisateur ; jusque-là, Nagisa Oshima n'en avait pas eu besoin. Nous nous retrouvons avec des scènes lorgnant plus du côté de l'allégorie, avec le condamné nu avec sa sœur, couchés sous un drapeau japonais au milieu d'une pièce, tandis que le personnel de la prison nous fait partager ses vues sur la peine de mort ; cela ressemble aux œuvres d'art détaillées par Jack Lang dans le Bêbête Show.

Il n'empêche que, de pour les thèmes qu'il aborde - rarissimes dans la production nippone - et sa première heure incroyable, La Pendaison est un long-métrage à découvrir d'urgence.

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Messagede Ialda le Mer 19 Aoû 2015, 02:08

Un roi sans divertissement (1963)

Un petit village de montagne perdu sous la neige, des disparitions, un capitaine de gendarmerie menant l'enquête et qui finira par développer le même mal que l'assassin... Giono a écrit lui-même le script du film en condensant jusqu'à l'épure l'intrigue de son propre roman sortis quinze ans auparavant : des personnages et des événements passent à la trappe, l'histoire prends place sur une durée d'une semaine au lieu de 4-5 épisodes hivernaux découpés sur plusieurs années, l'anachronisme de la dynamite est corrigé, reste l'essentiel, la tentation et la fascination du Mal au sein de chaque homme. Fantastique adaptation dans le sens où elle enrichit le roman original en en retirant ce qui était, peut-être, le superflu.

Claude Giraud (Ulysse 31) joue le rôle du capitaine. C'est Giono qui prête sa voix à l'assassin. Très jolie chanson de Brel :



Les week-ends de néron (1956)

Péplum nanaresque avec Brigitte Bardot qui prends des bains dans du lait d'ânesse et un Néron qui ne pense qu'à chanter, qui est terrorisé par une mère castratrice, et dont les plans pour la domination du monde connu impliquent d'équiper les légions avec des tutu : dans cette catégorie, je ne vois que Deux heures moins le quart avant Jésus-Christ pour lui faire de l'ombre, casting trois étoiles oblige.
11 vipères sélectionnées par Sénèque sur 10, Sélec' Mata

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Messagede Jetblack le Mer 19 Aoû 2015, 19:13

Leone a participé dans "les week-end de Neron", c'est lui qui a découvert Bardot alors que Vadim tourné a Cinecitta.
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Messagede Ialda le Mer 19 Aoû 2015, 20:38

Je n'avais pas fais gaffe au fait qu'on était la même année que Et Dieu créa la femme; intéressant :)

Tu pourrais développer sur Leone stp ? :D

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Messagede Gemini le Mer 19 Aoû 2015, 22:57

Jud Süß : Un cas difficile, dans la mesure où il me serait interdit d'aborder ce film sans évoquer son idéologie et sa vocation d’œuvre de propagande. Donner un avis sur la forme plus que sur le fond me vaudrait nombre d'inimitiés.
Jud Süß reste probablement une des productions allemandes les plus connues du Nationalsozialismus - plus encore que celles de Leni Riefenstahl, pourtant plus abouties techniquement - en raison de son immense succès à l'époque, et parce que son titre et son affiche résument à eux-seuls ce que cette idéologie a pu engendrer de pire.
Le scénario s'inspire, très librement, de la vie de Süss Oppenheimer, qui fût premier ministre du duché de Wurtemberg au XVIIIème Siècle. Il est ici présenté comme un intriguant, fourbe et rusé, qui va user de manipulation pour s'enrichir sur le dos de la population.
Dans le fond, c'est donc une pure œuvre de diffusion des idéaux du régime. Les Juifs y sont présentés comme des êtres laids et difformes, avares, et dangereux, l'exemple de Wurtemberg devant montrer aux Allemands qu'il ne faudrait jamais les laisser s'installer sur un territoire, puisqu'ils essayeront nécessairement d'en prendre le contrôle. Les femmes y apparaissent comme des idiotes, qui devraient se contenter de fermer leur gueule, faute de quoi elles n'apporteront que des catastrophes. Enfin, le Duc représente toute la corruption et la décadence d'un état qui se serait laissé séduire par les deux engeances susnommées. Le tout asséné avec autant de finesse que dans La Dialectique peut-elle casser des Briques ?, au moyen d'une telle accumulation qu'il y aurait parfois de quoi rire, tant cela sombre de temps à autre dans le grotesque.
Là où Jud Süß s'avère dangereux, c'est que sa forme en fait un divertissement efficace, ce qui aida à véhiculer ses idées. Le film bénéficie d'un budget autorisant quelques beaux mouvements de foule ou prises de vues aériennes, ainsi qu'une reconstitution soignée, les deux acteurs principaux sont excellents, et surtout, il possède un rythme qui le rend plaisant à suivre. C'est tout le paradoxe des œuvres de propagande : pour peu que le cinéaste soit compétent et qu'il croit en ce qu'il raconte, cela aboutit régulièrement à des long-métrages prenants et mémorables ; or, si le public français peut le pardonner aux réalisateurs qui officient en faveur de l'égalité entre les classes - comme Serguei Eisenstein ou Sergio Sollima - cela n'en va absolument pas de même pour les chantres du Nationalsozialismus. Je vous rassure, nous sommes quand même bien loin de la puissance d'un Броненосец «Потёмкин» (comment je me la pète avec le nom en Russe).
Jud Süß est un cas d'école, représentatif de ce que ce régime a pu produire. A ce titre, il faut le découvrir, pour sa culture personnelle et pour ne pas oublier ce qui a pu se passer à cette époque. L'important restant évidemment de l'aborder en connaissance de cause, car je trouve encore des commentaires louant le réalisme de ce long-métrage.

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Re: Le topic cinéma

Messagede Ialda le Mer 19 Aoû 2015, 23:38

Ce n'est pas tant qu'on trouve des commentaires élogieux à l'endroit de ce film qui m'étonne, mais qu'il ne rejaillisse pas plus souvent dans cette mixture moderne où on retrouve pourtant déjà pratiquement de tout - depuis les Protocoles des sages de Sion jusqu'à la critique des banques et le conflit israélo-palestinien.

Ce n'est peut-être pas forcément le sujet pour en parler mais j'ai enfin réussis à rassembler le courage de lire Le Cimetière de Prague (2010 déjà, quand même); ce n'est pas forcément une lecture agréable - surtout quand on n'est pas habitué à l'antisémitisme exacerbé de la France de la Belle époque (1) - mais comme version romancé du phénomène, sorte de Pendule de Foucault encore plus baigné de roman-feuilletons, c'est fantastique à lire - rien que le passage d'Alexandre Dumas venu soutenir l'action de Garibaldi vaut le détour.

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(1) en relisant Marcel Schwob récemment je suis tombé de ma chaise en tombant sur une dédicace à Maurras en incipit d'une de ses nouvelles; d'accord, chronologiquement ils ont pu se croiser, et l'érudit de Villon pouvait partager certains centres d'intérêt communs avec le fondateur de l'action française. Du coup, j'ai cherché, et je suis tombé sur ça : http://maurras.net/textes/90.html

Il commence andante, puis il prends ses aise et là... cinglé (ou vexé de s'être fait piqué le Montcorbier que ça ne m'étonnerai pas :lol: ).

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Re: Le topic cinéma

Messagede Jetblack le Jeu 20 Aoû 2015, 18:39

Je n'avais pas fais gaffe au fait qu'on était la même année que Et Dieu créa la femme; intéressant :)

Tu pourrais développer sur Leone stp ? :D


Hop, je me suis légèrement trompé de film lol :lol: :mrgreen:

Dans les années 50, il devient très apprécié par de nombreux cinéastes Italiens, collaborant entre autres avec Carmine Gallore sur trois longs-métrages et Luigi Comencini sur La traite des blanches. Pendant l'âge d'or où il fréquente assidûment la Mecque du cinéma Italien : Cinecittà, Sergio Leone en profite pour visiter les différentes agences de casting. C'est là, qu'il découvre une certaine Brigitte Bardot - Déjà mariée à Roger Vadim - mais quasiment inconnue à l'époque. La magnifique Française aura un petit rôle dans Haine, amour et trahison et Hélène de Troie.


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Re: Le topic cinéma

Messagede Ialda le Jeu 20 Aoû 2015, 22:21

Corto Maltese, l'ouverture des 900 jours de Stalingrad, Céline adapté par Audiard... ouch. Tu le prêtes ton bouquin dit ?

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Re: Le topic cinéma

Messagede Tetho le Jeu 20 Aoû 2015, 23:13

Ce soir au ciné : 2001: A Space Odyssey sur le second plus grand écran de l'UGC local, avec une salle bien remplie (~3/4, p'tet un peu moins) et une bonne quarantaine de personne qui restent jusqu'à la fin du Danube Bleu après les crédits. Je ne peut imaginer une meilleure séance. Et quand Also Sprach Zarathustra fait légèrement saturer les enceintes de la salle, tu te plais à imaginer que c'est le film qui est simplement trop grand et trop vaste pour le grand écran lui-même 8)
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Re: Le topic cinéma

Messagede Ialda le Jeu 20 Aoû 2015, 23:18

Bonne séance~ :D

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Re: Le topic cinéma

Messagede Jetblack le Ven 21 Aoû 2015, 08:09

Ialda a écrit:Corto Maltese, l'ouverture des 900 jours de Stalingrad, Céline adapté par Audiard... ouch. Tu le prêtes ton bouquin dit ?


http://www.amazon.fr/Conversations-avec ... rgio+leone

:56:
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Re: Le topic cinéma

Messagede Ialda le Ven 21 Aoû 2015, 11:22

Le vilain qui veut pas prêter ses affaires :( :lol:

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Re: Le topic cinéma

Messagede Jetblack le Ven 21 Aoû 2015, 11:29

Ialda a écrit:Le vilain qui veut pas prêter ses affaires :( :lol:


:56: Nan, surtout que j'ai prêté trop de truc dernierement que je sais plus qui a quoi ... :(
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Re: Le topic cinéma

Messagede Tetho le Ven 21 Aoû 2015, 11:38

Ouvre une feuille de classeur pour ça, tu met le nom/description du bouzin que tu prêtes dans une colonne, la date et le nom de la personne dans deux autres. C'est imparable.
Ou alors, si t'es un peu parano et que tu veux éviter les gens qui t'endorment ce qu'ils t'empruntent, tu prends une photo avec ton téléphone et tu l'archive.
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