Le topic cinéma

[Gemini]

Pacific Rim ne sera pas programmé dans le principal cinéma de Saint Etienne Par contre, le cinéma bobo juste en face le propose en VO sans 3D, et ça c'est bien.

[Adnae]

Pacific Rim ne sera pas programmé dans le principal cinéma de Saint Etienne Par contre, le cinéma bobo juste en face le propose en VO sans 3D, et ça c'est bien.

Tu parles duquel?
Je le vois en effet en VO numérique au Melies (cool ça), mais il est aussi au royal (VF 3D par contre) et au Gaumont (VF numérique et 3D)

[Gemini]

Il est au Gaumont ? Fichtre, Allocine m'a fait une blague alors... Mais bon, ce sera Méliès pour moi. T'es sur Saint Etienne, Adnae ?

J'ai vu que le film était dédié à Ishiro Honda. Donc immanquable.

[Zêta Amrith]

Ces dernières années, et aidé par les projets de films en plusieurs parties sur un intervalle de temps assez réduit, il sort presque un film d'animation japonaise chaque semaine au Japon. Faut faire son difficile pour ne pas trouver chaussure à son pied là dedans.

C'est vrai mais beaucoup sont des extensions de (mauvaises) séries ou du slice-of-what à la campagne. Les années 80' et 90' sont celles du vrai Ghibli top niveau, l'âge glorieux des Honneamise, Akira ou Ninja Scroll, les omnibus SF créatifs de Madhouse, soit des films qu'on pouvait mater cinquante fois... là les derniers gros chocs d'animation furent Redline, un film qui ne doit son existence qu'à sa mise en chantier sept années plus tôt, et Sword Of The Stranger, qui veut être un classique dès le prégénérique. Hosoda et compagnie c'est bien mais c'est de l'animation gentille et rangée de clubs de scouts, pas la sous-culture qui fut naguère associée à ce médium. Quand Gainax va moefier Aoki Uru ce sera le ponpon.

[Gemini]

L'année dernière sortait au cinéma au Japon le film d'animation Ashura. Qui en a parlé ?

[Adnae]

Il est au Gaumont ? Fichtre, Allocine m'a fait une blague alors... Mais bon, ce sera Méliès pour moi. T'es sur Saint Etienne, Adnae ?

Je suis sur Lyon pour mes études, mais mes parents ont déménagé pas très loin de Saint Etienne (dans notre ancienne maison secondaire, mais osef)

Sinon en film pour ces dernières années, il a aussi The Sky Crawlers quand même

[Zêta Amrith]

L'année dernière sortait au cinéma au Japon le film d'animation Ashura. Qui en a parlé ?

Moi.
Mais le cel-shading ne correspond pas non plus à l'idée.

[Ialda]

Ces dernières années, et aidé par les projets de films en plusieurs parties sur un intervalle de temps assez réduit, il sort presque un film d'animation japonaise chaque semaine au Japon. Faut faire son difficile pour ne pas trouver chaussure à son pied là dedans.

C'est vrai mais beaucoup sont des extensions de (mauvaises) séries ou du slice-of-what à la campagne. Les années 80' et 90' sont celles du vrai Ghibli top niveau, l'âge glorieux des Honneamise, Akira ou Ninja Scroll, les omnibus SF créatifs de Madhouse, soit des films qu'on pouvait mater cinquante fois... là les derniers gros chocs d'animation furent Redline, un film qui ne doit son existence qu'à sa mise en chantier sept années plus tôt, et Sword Of The Stranger, qui veut être un classique dès le prégénérique. Hosoda et compagnie c'est bien mais c'est de l'animation gentille et rangée de clubs de scouts, pas la sous-culture qui fut naguère associée à ce médium. Quand Gainax va moefier Aoki Uru ce sera le ponpon.

^ complètement d'accord.

Et surtout, mis à part Hosoda, on manque de nouvelles têtes.
Qu'un mec comme Shinkai soit porté aux nues pour ses films un peu culcul et surtout beaucoup trop colorés me dépasse.

[Aer]

Gemini > Il fallait attendre qu'il sorte hors du Japon aussi.

[Deathmes]

Pacific Rim.

[Calypolite]

Vu Pacific Rim. Excellent. Quand je pense à la réaction que j'aurais eu devant ce genre de films quand j'avais 10ans...
Je serais curieux de savoir comment est reçu le film au Japon

[Zêta Amrith]

Vu Pacific Rim, en 2D évidemment.
Globalement bien construit, au-dessus de la plupart des films de genre à avoir vu le jour durant l'ère numérique. Plus cohérent sur la durée qu'un Cloverfield par exemple, si tant est que la comparaison soit valable. Si tous les codes un peu lourdingues du cinéma d'Hollywood sont bien au rendez-vous - le "grand" discours type Independance Day, les sidekicks comiques geeks de service - le meilleur de cette industrie aussi, via les traditionnelles rivalités viriles entre rangers ou le chaos retransmis par écrans interposés. Les effets spéciaux sont opérationnels mais il est difficile de ne pas remarquer les efforts fournis par l'équipe pour dissimuler leurs lacunes derrière le monopole de décors nocturnes et aquatiques ; admettons néanmoins que l'effet d'inertie des machines est bien retranscrit. Dommage que l'effort de design consenti sur les Jaegers ait été abrégé pour ce qui est des Kaijus, d'une pesante banalité - quand bien même certains évoquent-ils les Gyaos de Gamera - et au rendu plus discutable. Le casting, dépourvu de rock-stars, permet au moins d'y croire davantage que si Tom Cruise avait pris les commandes du mecha, et les interprétations se limitent ici au strict minimum, mais les personnages n'exigent guère plus : en-dehors d'une Rinko Kikuchi à croquer, seuls se distinguent Idris Elba, qui porte relativement bien le costume de marshal, et Ron Pearlman qui hérite du rôle le plus bigarré du film. Archi-classique, le scénario ne dispense pas de véritables rebondissements et trouve plutôt son intérêt dans les à-côtés, les petits détails descriptifs du monde depuis l'arrivée des Kaijus, les nuances entre Jaegers des différentes nations... toutes ces choses qui n'ont aucune valeur cinématographique mais qu'un posteur de MATA ne peut qu'apprécier.

Comme le trailer le laissait imaginer, Evangelion est la source d'inspiration principale du film, et tout l'enfumage autour de Patlabor et Tetsujin 28 dans les interviews des uns et des autres n'est là que pour brouiller les pistes ou se protéger contre je ne sais quelles accusations du fandom, puisque la récup' sur les autres anime de robots se borne à quelques gimmicks visuels - dont certains sont peut-être simplement des coïncidences, à l'instar de ce sabre à segmentations dont j'imagine mal qu'il ait pu être prélevé dans Galient par un scénariste de blockbuster. Plusieurs concepts sont néanmoins réécrits à leur manière, et il serait un peu injuste d'en vouloir à Pacific Rim de faire à son tour ce que le genre du film de monstre fait depuis toujours : recycler, s'auto-cannibaliser. Tout le monde n'est pas The Host.

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Ce qui apparaît immédiatement :
- la connexion neuronale. On aura beau dire que les capteurs de mouvements intra-cockpit datent de Daimos, qu'ils ont été popularisés par la suite par GunBuster, G Gundam, Escaflowne ou Gun X Sword, ils ne sont clairement pas au centre du concept du film, lequel repose entièrement sur la communication psychique. A noter que lorsque Gipsy Danger perd son bras, les pilotes hurlent en tenant leur blessure fictive... un replicata de la scène correspondante de l'Episode 02 - + 18 et 19 - de NGE. Tout juste Del Toro a-t-il eu l'esprit d'inclure au procédé la dimension neuve des souvenirs... pour ne finalement pas l'exploiter. A cette similarité fondamentale s'ajoutent une myriade de petites choses : leur taille, un design cyclopéen, une classification en Marks, le pseudo-LCL de transition dans le casque. Sans parler du garage à Jaegers, le Shatterdome, sorte d'institut autonome de combat et d'analyse mais fonctionnant encore sur fonds publics... ou de cette "idée" de fusionner Jaegers et Kaijus dans une éventuelle séquelle.
- les Kaijus sont différents les uns des autres d'un point de vue phénotypique, mais strictement identiques sur le plan génétique. Ils ont une forme de conscience collective - théorie des Anges longtemps avancée par le fandom NGE, pour ne pas dire première option vers laquelle Google dirigera l'internaute curieux. L'un des monstres est mortellement blessé par le liquide de refroidissement - cf Episode 10. Le vocabulaire utilisé - "Ils évoluent", "Ce sont des armes vivantes" - évoque également plusieurs formulations de NGE, même si "Armes" semble en l'occurrence bien mieux indiqué pour définir les Kaijus que les Anges. Pour couronner le tout, la porte dimensionnelle "scanne" le code des Kaijus pour empêcher l'intrusion d'ennemis. C'est un système de sécurité comparable au Central Dogma dans ROE, l'auto-destruction en moins etc...

La fin, un peu quelconque, confirme l'impression générale laissée par le long-métrage ; celle d'un sentiment partagé, couplé au respect que l'on doit à ce qui reste, malgré tout, une première tentative issue de l'esprit d'un fan plus que d'un réalisateur. Les effets spéciaux, comme tous leurs semblables CGI, ne mettront pas longtemps avant de vieillir et d'amenuiser le film, mais en 2013 Del Toro a réussi son principal pari : "Je voulais faire le film que j'aurais aimé voir quand j'étais gamin". Pacific Rim est un très bon film de gamins, un funambule marchant entre cet académisme hollywoodien rebattu et exagérations pop nippones.

[Gemini]

Pacific Rim : Heureusement que j'avais prévu un slip propre. Je m'étais préparé psychologique en regardant un film de Ishirô Honda hier, et en mettant un t-shirt Eva 01 ce matin, mais je ne m'attendais pas à voir une telle emprunte de Gigantic Formula et d'Independance Day. C'est moi où le scénariste essaye de justifier tous les trous présents dans ce-dernier ? Et le pire, c'est qu'il y arrive !
Je ressors avec un sentiment partagé. J'ai adoré : les combats, les méchas, la destruction, les relations viriles, la caractérisation de chaque pays, la bande-son, c'est un plaisir de tous les instants et c'est franchement impressionnant. Je comprends que le Jaeger russe soit le favori de Del Toro, car cela correspond totalement à ce que j'attendrais d'un mécha russe. Le réalisateur se fait plaisir, et il nous fait plaisir par la même occasion.
Mais ce que je regrette, c'est que nous aurions pu en voir plus :

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L'univers développé pour ce film est très dense et celui-ci ne nous en donne qu'une vision limitée. J'aurais adoré voir plus de combats de Cherno Alpha, plus de Jaegers (la trentaine entreposée à Hong-Kong), en apprendre plus sur chaque équipage, assister aux batailles de Lima et de Seattle, etc... Il y aurait énormément à faire rien que pour nous raconter les premiers accrochages avec les Kaiju (la Bataille de Tokyo) et les 5 ans entre l'apparition du premier Catégorie 4 et le retour de Beckett aux commandes de Gipsy Danger. Pacific Rim possède un potentiel juste énorme qui n'a été qu'effleuré par ce film, il y aurait de quoi produire des montagnes de comics, de romans, d'artbooks, et même d'autres films. Je serais preneur.
A peine 5 minutes pour voir Cherno Alpha en action, c'est trop cruel !

Sinon, ce film nous prouve quelque chose d'essentiel :

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Ron Perlman est mauvais pour la santé.

[Zêta Amrith]

Je ne crois pas que le terme "robot" soit utilisé dans le film, quelqu'un se souvient ?
Ma tête quand je réalise deux heures plus tard que Del Taureau a inclus une mascotte dans Pacific Rim.

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CA N'ETAIT PAS JUSTE UN CHIEN !

[Aer]

Séance en 3D seulement prévue chez moi, donc allez vous faire foutre, je le verrais pas youpi.

(en fait y'en a une pas en 3D à 40 bornes, mais manque de pot, la route est bloquée cause de tour de France lalala)

[Adnae]

La 3D a beau ne rien ajouter, elle n'est pas non plus trop mauvaise et ne fait pas mal à la tête. En fait ce qui est chiant c'est juste qu'elle rajoute 2€ au prix de ta place de ciné.

[inico]

Peut-être un brin d'explication au fait que le film ne soit pas un carton inter-planétaire : Une critique positive dans Télérama ! Ulysse présente un large sourire.
Extraits...
Précision: un article dans un journal comme Télérama ne peut être que orienté pour s'adresser à un certain lectorat. Donc forcément même si le journaliste est un geek qui connait ses Evangelion & co par coeur, il ne va pas sortir ça comme référence.

Son inventivité est toujours aussi ludique

l'ébouriffante fluidité des effets spéciaux numériques, élaborés par les champions du genre, comble notre désir cathartique de destruction

Mais surtout...

Qui, à part Guillermo del Toro, pouvait ainsi fusionner blockbuster et film d'auteur et célébrer les noces monstrueuses de Freud et Godzilla ?

Présenté comme ça, comment ne pas faire fuir le chaland ?

Je pensais aller le voir le we prochain dans un état d'esprit "vu le gros truc bourrin sans âme que ça doit être, ça pourra n'être qu'une bonne surprise". Finalement j'irai un peu plus curieux et alerte.

[Zêta Amrith]

Une critique positive dans Télérama !

Des parisianistes branchouillards qui notent en fonction du réalisateur, du pays, de l'air du temps, jamais du film. Pacific Rim aurait été le premier long-métrage du Guigui, il se serait fait copieusement descendre par les mêmes.

"On s’enlise dans l’ennui tout au long de ce dessin-animé aux dialogues rase-moquette.
Pourquoi tous mangas confondus, faut-il que les personnages aient les même grands yeux de biches nevrosées."
Critique Télérama de Neon Genesis Evangelion [1998]

Aucun. Pardon. Jamais.

[faethor]

Je l'ai vu en IMAX 3D et mes yeux et mes oreilles en portent encore les stigmates !

[Aer]

Pour lire Télérama depuis tout petit, ça a changé dans cette approche la, et ceux qui parlent de sujets nous concernant sont un peu plus concernés et connaissent un minimum leur sujet.

Adnae > Oui sauf que mes yeux font que 1) j'ai mal au bout de dix minutes et 2) j'ai un quart de l'écran de chaque coté complètement brouillé. J'ai tenté une fois, deux fois... pas trois.

[Calypolite]

Critique du Fossoyeur

[Zêta Amrith]

Pour lire Télérama depuis tout petit, ça a changé dans cette approche là.

Parce qu'aujourd'hui il est hype d'aimer deux ou trois trucs vaguement geek.
Ces revirements ne sont pas le résultat d'un cheminement intellectuel, sans quoi les articles ne seraient pas si faibles.

[Aer]

Ces revirements ne sont tout simplement pas la parce que Télérama a toujours le même lectorat, celui ci n'en ayant pas forcément grand chose à foutre en soit. Je dis juste que le texte est plus élevé que "lol cé des zanimé avec du sang partou".

[Deathmes]

Maintenant que j'ai du temps, je vais développer un peu.^^

Faute de plus pertinent, j'y suis allé en arborant un T-Shirt Zaku. J'ai ai pris plein la vue, les combats sont superbes, notamment grâce au ressenti de l'inertie. Les designs des Jeager sont très inspirés, j'ai bien aimé les designs des Kaiju, mais là je manque de matière pour juger, n'ayant jamais vu de film du genre (Le Godzilla de Emmerich compte? ). Les rocket puch et autre pilder on disséminés ça et là font leur petit effet. J'ai bien aimé le coté un peu rétro de Gipsy Danger, qui par sa "déco" m'a un peu fait pensé aux avions militaires de la seconde guerre mondiale.
Coté cast Charlie Hunnam manque de présence contrairement à Idris Elba qui crève l'écran par son charisme. J'ai bien aimé Rinko Kikuchi. Les personnages ne sont pas très recherchés, assez clichés, mais restes assez appréciables. Niveau histoire, ça reste simple mais efficace, avec son lot de twists.
Sinon, dommage que Gipsy Danger monopolise l'écran, ne laissant guère la place aux autres.

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Seul Striker Eureka arrive à faire ses preuves, Crimson Typhoon et Cherno Alpha faisant plus office de chair à Kaiju qu'autre chose.

Et puis merde, voir un blockbuster sans se taper un "Hurg, we are americans, we are the best", ça fait du bien.
Et pour le final :

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On se tape pas un baiser à la con, la relation construite semblant plus fraternelle. J'ai juste tiqué sur le fait que les modules d'éjection repasse la faille impec, alors que pour l'aller fallait se trimballer un Kaiju.

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L'univers développé pour ce film est très dense et celui-ci ne nous en donne qu'une vision limitée. J'aurais adoré voir plus de combats de Cherno Alpha, plus de Jaegers (la trentaine entreposée à Hong-Kong), en apprendre plus sur chaque équipage, assister aux batailles de Lima et de Seattle, etc... Il y aurait énormément à faire rien que pour nous raconter les premiers accrochages avec les Kaiju (la Bataille de Tokyo) et les 5 ans entre l'apparition du premier Catégorie 4 et le retour de Beckett aux commandes de Gipsy Danger. Pacific Rim possède un potentiel juste énorme qui n'a été qu'effleuré par ce film, il y aurait de quoi produire des montagnes de comics, de romans, d'artbooks, et même d'autres films. Je serais preneur.
A peine 5 minutes pour voir Cherno Alpha en action, c'est trop cruel !

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Ils ont apparemment écrit tout une bible sur l'univers du film, expliquant ces événements. Et il existe un comics, portant notamment sur l'apparition du premier Kaiju et la bataille de Tokyo.

J'espère que le film, faute de faire un carton monstre, va au moins réussir à faire suffisamment recette pour espérer une suite.

[Gemini]

J'ai déjà pris le comics, mais l'artbook sera pour mon anniversaire vu le prix.

Deathmes >>

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Un peu déçu par le traitement de Cherno Alpha et Crimson Typhoon. Surtout Cherno Alpha. Ils ont le mecha le plus imposant (le dernier de la première génération), ils ont tenu pendant 6 ans là où la majorité des équipages ne survit pas à ses premiers combats, et ils se prennent une raclée en 5 minutes. C'est vexant. Limite, tu peux prévoir un film rien que pour leur histoire.

Un point qui m'a un peu gêné (sans spoil) : la moitié de ces joujoux fonctionne au nucléaire, mais ils n'ont jamais eu d'accident lors d'un combat ? Cela ne pose de problème à personne d'avoir des méchas montés sur réacteur atomique ? Ou que le nom du Jaeger russe fasse malicieusement référence à Chernobyl ?