Le topic cinéma

[Milvus]

J'aurais préféré Joss Whedon. Lui, il a prouvé qu'il pouvait faire du Star Wars like...

[shun]

J'aurais préféré Joss Whedon. Lui, il a prouvé qu'il pouvait faire du Star Wars like...

cette idée m'aurait bien emballé aussi ! ce mec est un génie pour allié bonne réplique et bon film, halala buffy ...

[Xanatos]

Il a prouvé en tout cas qu'il était le cinéaste idéal pour adapter les comics des Vengeurs, son film Avengers étant selon moi la meilleure adaptation cinématographique Marvel ainsi que le meilleur film de super héros de l'année 2012 (j'ai été assez déçu par The Dark Knight Rises et j'ai trouvé Amazing Spider-Man passable mais oubliable). Après avoir vu Avengers J'étais ressorti de la salle de cinéma enthousiasmé et les étoiles plein les yeux. J'espère qu'il réalisera la suite !
Pour ce qui est de Buffy, c'est une très bonne série, en revanche le film original était une belle purge. Mais c'est le scénario de Whedon qui avait été complètement réécrit et dénaturé par les producteurs. Au fait en VF, la pauvre Buffy à été rebaptisée sous l'affreux nom de "Bichette"
Puisque l'on parle de Star Wars et Whedon,et pour rester dans le registre de la Science fiction, est ce que quelqu'un a vu sa série de science fiction Firefly et si oui, que vaut-elle ?

[Tetho]

Apparemment ce serait JJ Abrams qui réaliserait Star Wars épisode VII.
Bonne ou mauvaise nouvelle, je suis partagé...

je doute il a dit "non" dans une interview récente.

L'info est désormais confirmée.

[Aphex]

Puisque l'on parle de Star Wars et Whedon,et pour rester dans le registre de la Science fiction, est ce que quelqu'un a vu sa série de science fiction Firefly et si oui, que vaut-elle ?

J'aime beaucoup Firefly, son univers western/space-opera, ses personnages (Nathan Fillion en tête dans le rôle de Mal), son humour.
La série a été malheureusement annulée au bout de 14 épisodes mais il a pu faire un film-conclusion trois ans plus tard, Serenity.

A l'époque, je n'ai pu m'empêcher de penser (et je n'étais pas le seul) qu'il s'était vaguement inspiré de

[Montrer] Spoiler

Outlaw Star, au moins pour le début.

La série est disponible en blu-ray UK avec doublage français (évidemment je conseille la VO) mais pas de sous-titres français. Ne pas s'attendre à une image très définie mais ça reste une bonne amélioration par rapport aux DVD.
Le film est disponible en blu-ray FR.

A guetter sur les sites UK. J'avais pu remplacer mes dvd pour une quinzaine d'euro.

[Milvus]

Puisque l'on parle de Star Wars et Whedon,et pour rester dans le registre de la Science fiction, est ce que quelqu'un a vu sa série de science fiction Firefly et si oui, que vaut-elle ?

Indispensable pour moi. Si j'aurais voulu Whedon sur Star Wars, c'est à cause de cette série.

[Xanatos]

Ok merci pour vos avis éclairés Aphex et Milvus . Des Blu Rays britanniques ? Cela devrait aller alors puisqu'ils ont la même zone que les Blu Rays français, il ne devrait donc pas y avoir de problèmes de compatibilité avec mon lecteur.

[Gemini]

Je ne vois qu'un seul homme pour nous sauver de JJ Abrahams :

[Tetho]

Il a déjà fait ce qu'il fallait en cédant les droits de Star Wars aux chinois.

[Gemini]

Cloud Atlas : J'ai dû mal à comprendre comment font les Wachowski, pour continuer à trouver des financements pour leurs projets pharaoniques voués à l'échec. OK, ils ont fait Matrix, mais Speed Racer et Cloud Atlas sont des gouffres financiers (à tel point que les distributeurs français ne semblent pas pressés de sortir ce-dernier). Ou alors, c'est que Matrix a encore mieux marché que je ne le pensais. Est-ce que cela signifie que ces films sont mauvais ? Sûrement pas ! Mais ils ne ressemblent pas à des projets viables, tant ils s'éloignent de ce qui fonctionne auprès du public actuel.

Alors Cloud Atlas, de quoi ça parle ? Ce sont 6 histoires à travers le temps, connectées de façon dont je ne dirai rien. C'est aussi un des problèmes de ce film : il est difficile d'en parler ; soit nous en disons trop, soit pas assez, en tout cas cela n'aide probablement pas à appâter le chaland. Surtout quand les histoires en question ne sont pas diffusées les unes après les autres, mais mélangées au moyen d'un montage habile (l'Académie doit avoir de la merde dans les yeux pour ne pas avoir sélectionné ce film au moins pour cette catégorie). Au début, cela peut paraitre compliqué, problématique, nous nous demandons si nous arriverons à suivre toutes les intrigues,... Au bout de 5 minutes, la question ne se pose déjà plus ; d'une car ces intrigues sont relativement simples (ou en tout cas limpides), et deux car chaque histoire dispose d'un environnement et d'une esthétique qui lui sont propres. Quant au lien entre elles, je vous ai déjà dit que je ne vous dirai rien.

Enfin, si, une chose déjà connue : ce sont les mêmes acteurs qui interprètent les 6 histoires. Néanmoins, ils n'incarnent jamais le même type de personnage d'un récit à l'autre, il y a même de sacrées surprises ; il n'est pas toujours aisé de les reconnaitre, et tous ne participent pas non plus à toutes les histoires. La seule constante, c'est que Hugo Weaving est un connard
Un reproche tout-de-même, concernant l'utilisation des mêmes acteurs d'un segment à l'autre : le maquillage subit parfois quelques ratés. Faire passer une Coréenne pour une Irlandaise pure souche, ou à l'inverse des Caucasiens pour des Coréens, cela ne passe pas toujours correctement. Mais cette réutilisation constante des acteurs n'est pas toujours vide de sens.

Pour donner un avis global sur le film, je dirai que je l'ai apprécié. Prises individuellement, chaque histoire est intéressante (la première un peu moins que les autres et la cinquième beaucoup plus), nous sentons les efforts dans la reconstitution et les moyens qui se trouvent derrière, les acteurs jouent juste et ce voyage dans le temps permet d'évoquer énormément de thèmes, de situations, et de personnages différents ; à ma connaissance, c'est le premier film qui propose un tel degré de diversité, toujours avec un soucis constant de qualité et une réalisation irréprochable. Certains pourront trouver après coup le lien trop ténu pour justifier de retrouver ces histoires - qui n'ont que peu de points communs - au sein d'un seul et même long-métrage, mais à titre personnel le lien en question me suffit et je n'ai rien à redire, dans la mesure où j'ai apprécié ce que j'ai vu.
Néanmoins, le niveau important de détails dans ce film, forcément plus facile à percevoir dans un livre (puisqu'il s'agit d'une adaptation), demande une seconde vision pour être appréhendé correctement. Ce sera donc lors de la sortie française de Mars prochain (6 mois après la sortie US), en espérant que le distributeur ne se contentera pas d'une sortie technique comme pour Scott Pilgrim VS the World.



L'Agence Tous Risques : Irréprochable. Je m'attendais à une purge infâme, loin de l'ambiance de la série d'origine, dont je fus un grand amateur dans ma jeunesse (et dont je regarde encore régulièrement des épisodes grâce à la TNT). Finalement, ça passe tout seul. XXIème Siècle et budget de blockbuster obligent, nous ne retrouvons pas le style d'origine, mais les personnages sont là, et surtout, ce film se tartine avec délice d'une bonne couche de débilité profonde et bien grasse. Du pur n'importe quoi au service de scènes d'action tellement improbables qu'elles en deviennent jouissives, avec des héros aussi puissants que Chuck Norris échappés tout droit des années 80. C'est con mais qu'est-ce que c'est bon, du bonheur en barre. Juste le meilleur actionner de ces dernières années, avec le remake de Death Race avec Jason Statham. C'était inattendu. Ça fait plaisir.

[Skull Leader]

"It's very exciting to have J.J. aboard leading the charge as we set off to make a new Star Wars movie," said Kathleen Kennedy.
"J.J. is the perfect director to helm this. Beyond having such great instincts as a filmmaker, he has an intuitive understanding of this franchise. He understands the essence of the Star Wars experience, and will bring that talent to create an unforgettable motion picture."

WTF ?!

[The Drig Overmind]

Jar Jar Abrams ...

[Gemini]

Flight : Rah... J'aimerais dire que j'ai aimé le nouveau Robert Zemeckis. Sincèrement. Et la première demi-heure, tout ce qui se passe dans l'avion, vient nous prouver que le bonhomme n'a rien perdu de sa superbe en tant que réalisateur. Remarquablement filmé, parfaitement anxiogène, irréprochable. Le problème vient du scénario. Dès la première minute, la messe est dite, tu sais ce qui va se passer. Tu sais que Denzel Washington va s'en prendre plein la gueule - ce n'est pas pour rien qu'il concourt pour l'Academy Award - et tu sais que le déroulement de l'intrigue sera d'un classicisme achevé. Et c'est dommage. Pour son retour avec des acteurs de chaire et de sang, Robert Zemeckis ne méritait pas un scénario aussi prévisible et cliché, bourré jusqu'à la gueule d'un pathos indigeste.
Reste la première demi-heure, décidément digne d'éloge. Tout ce qui se passe ensuite, ce n'est tout simplement pas ma came.

Enfin si, il y a quand même quelque chose à sauver hormis cette scène d'avion. Ou plutôt quelqu'un. John Goodman en mode "Dude". Décidément, j'adore cet acteur. Et chacune de ses apparitions fait basculer ce film dans une autre dimension. Ce personnage n'a tellement rien à faire là (sans parler de ses choix musicaux) que c'en devient grisant.

[Merlin]

Chez Pathé à Clichy les meilleures places (centrales sans doute) sont plus cher.
http://www.lexpress.fr/culture/cinema/1 ... 16720.html

Vu le prix actuel d'un billet de ciné je croyais qu'on était déjà des VIP?!

[Milvus]

Bientôt le yield management pour le ciné ?

[Tetho]

"Vous n'en reviendrez pas!", affirment dans leur publicité les Cinémas Gaumont Pathé.

"Vous n'y reviendrez pas !" me semble un slogan plus adapté en fait. Parce qu'entre les suppléments 3D, HFR et j'en passe ça commence à faire très cher la place là.

[inico]

La fracture sociale adaptée à la mode ciné.
D'un côté, je comprends que les salles essaient de se démarquer et d'offrir un réel plus par rapport à un home-cinéma.
De l'autre, les prix deviennent plus que prohibitifs.
Quand aux places numérotés, il y a l'UGC Maillot qui le pratique depuis toujours au même prix que dans tout le reste de son réseau. Sûrement à cause de l'âge moyen du public (autour des 75 ans ).

[Gemini]

Les Trois Mousquetaires : Vous en avez rêvé (ou pas), Paul W.S. Anderson l'a fait. Ce que j'adore avec ce réalisateur, c'est qu'il est comme un gosse à qui quelqu'un aurait donné des jouets trop grands pour lui ; il n'a aucune limite, aucune retenue, aucun sens commun, bref c'est du bonheur. Encore faut-il prendre ce film pour ce qu'il est : un immense délire bourré d'action, qui ne se refuse rien et part vers des horizons encore inexplorés. Mousquetaires ninjas, bateaux volants (dont un actuellement exposé au Musée du Cinéma et de la Miniature de Lyon), femme fatale bardée de gadgets, tant que c'est impressionnant, ça passe. La première partie, à Venise, donne le ton. Dommage qu'entre deux scènes d'action explosives, il y ait des longueurs ; finalement, c'est plus cela que je proche, et non le délire parfaitement assumé par son réalisateur. S'il avait maintenu ce niveau d'extravagance tout le long, ce film aurait été meilleur.

PS : Les Américains sont tellement prudes qu'ils ont supprimé l'adultère de la reine, pour le remplacer par un complot visant à faire croire à un adultère. Fort.

[Gemini]

La Légende des 7 Vampires d'Or : Un film de 1974 complètement surréaliste. Il s'agit d'une collaboration entre la Hammer et la Shaw Bros ; le propos semble de mélanger les styles de ces deux studios, à savoir d'un côté l'horreur gothique, et de l'autre le kung-fu. Tout-de-suite, c'est conceptuel. Les premiers fournissent le réalisateur Roy Ward Baker (Dr Jeckyll & Sister Hyde, Quatermass and the Pit) et Peter Cushing dans le rôle du professeur Van Helsing, et les seconds l'acteur David Chiang (La Rage du Tigre, La Légende du Lac) et le chorégraphe Chia-Liang Liu, célèbre pour avoir supervisé les combats de Drunken Master II, Shaolin vs Ninja (on ne rigole pas, le film est réellement bon), ou encore La 36ème Chambre de Shaolin.
L'histoire : Dracula a pris l'apparence du chef de la secte des 7 Vampires d'Or, et terrorise un petit village chinois. Des jeunes du village, experts en arts-martiaux, demandent à Van Helsing de les aider dans leur combat contre les vampires.
Le film a apparemment été tourné dans les studios de la Shaw Bros, mais en Anglais, avec des acteurs locaux qui éprouvent un peu de peine à faire passer leurs émotions dans cette langue qu'ils ne maitrisent pas. Les maquillages des vampires sont immondes, cela fait bizarre de voir ce pauvre Peter Cushing (le Grand Moff Tarkin de Star Wars) affronter des vampires maitrisant les arts-martiaux, et le mélange des genres prend rarement. Néanmoins, certaines scènes donnent tout-de-même l'impression que cette alchimie était possible. Le film peut compter sur de superbes décors, ainsi que sur quelques démonstrations de kung-fu impressionnantes, même si elles n'auront sans doute rien de mémorable pour les habitués des productions de la Shaw Bros.
La Légende des 7 Vampires d'Or est plus une curiosité qu'autre chose, mais rien que pour le concept, pour cette idée de faire travailler main dans la main la Hammer et la Shaw Bros, ce film mérite le coup d’œil.

[Gemini]

Tu aimes les poulets cannibales et les hommes de ménage mutants ? Tu as envie de voir Edouard Baer se faire décapiter ? Tu crois qu'il est impossible pour un policier de devenir acteur de Kabuki, ou qu'un hamburger ne peut pas être à la fois gay et mexicain ? Alors la chaine Tromamovies est pour toi !
Sur Tromamovies, retrouve le catalogue Troma mis gracieusement à ta disposition par Lloyd Kaufman, et des chefs d’œuvre comme Teenape Vs. The Monster Nazi Apocalypse, Rabid Grannies, ou Bride Of Killer Nerd.
A ce prix-là, ce serait criminel de passer à côté

[Gemini]

Meteor : Une météorite menace la Terre. Pour la détruire, les Américains et les Soviétiques mettent au point un projet commun.
Film pré-Reagan prônant la collaboration entre les deux blocs ennemis grâce à la science et à l'intérêt commun. C'est aussi un film catastrophe préfigurant largement le Armageddon de Michael Bêêêê. Meteor n'a pas bonne presse, ce que je ne comprends pas ; je veux bien que d'un point de vue scientifique, cela ne soit pas très crédible, et que les effets spéciaux aient quelques ratés, mais j'ai trouvé le scénario passionnant et que les acteurs jouaient juste. Je n'ai pas vu passer les quelques 100 minutes de ce long-métrage, la musique est sublime, et cela fait toujours plaisir de revoir ces bonnes vieilles rivalités du temps de la Guerre Froide.
Un film méconnu que je ne peux que conseiller.



2010, l'année du Premier Contact : Une mission conjointe entre les USA et l'Union Soviétique part pour Jupiter, afin de récupérer Discovery et comprendre ce qui a pu arriver à son équipage.
Pour rester dans la thématique spatiale et l'opposition entre les deux blocs, mais du point de vue des scientifiques. 2010 est la suite de 2001, et j'en entends déjà qui grincent des dents ; parce que nous parlons d'un film culte, et parce que nous parlons d'une suite réalisée 16 ans plus tard par quelqu'un qui n'est pas Stanley Kubrick. Les admirateurs de 2001 ne pourront que crier au scandale, de même que ceux qui n'apprécient pas spécialement ce film, mais qui pensent qu'il ne serait pas bien vu de ne pas le défendre. Pour ma part, je n'aime pas 2001, et j'assume ; je l'ai trouvé chiant comme la mort... Si les fans de 2001 n'aiment pas 2010, je me suis donc dit que j'avais de bonnes chances de l'apprécier, et cela n'a pas loupé.
2010 n'a pas les ambitions artistiques de son prédécesseur, mais dispose tout-de-même de moyens conséquents ; il conserve en outre deux des points forts de ce-dernier, ce que j'ai préféré dans celui-ci : sa musique et ses designs. Il en résulte un space-opera passionnant sur fond de Guerre Froide, durant lequel nous suivrons les aventures d'un équipage américano-soviétique, bénéficiant d'images absolument magnifiques mais aussi d'une excellente gestion du drame et du suspens. Seule ombre au tableau, une fin horriblement naïve, frustrante, limite consternante. Mais à part ça, c'est du tout bon.

[Gemini]

Hôtel Transylvania : Premier long-métrage pour Genndy Tartakovsky. Et premier ratage... Comme l'explique cette interview, le génial réalisateur voulant impérativement s'occuper d'un long-métrage, mais George Lucas lui ayant fait faux bond (en lui expliquant qu'il ne l'embaucherait que pour faire des séries TV), il a accepté bon gré mal gré de plancher sur Hôtel Transylvania, un projet maudit bien avant son arrivée. Déjà 5 réalisateurs s'étaient succédé sur ce film d'animation, sans succès. Pire, Genndy Tartakovsky était coincé par des designs pré-existants, il n'a pu imposer que le remodelage de Dracula à sa façon.
Le premier problème, c'est que les créatifs de chez Sony ont eu l'idée du concept - l'hôtel pour monstres - bien avant de savoir de quoi ce film allait parler, concrètement. Quelques scripts plus tard, ils ont fini par se poser sur la relation père-fille de Dracula et Mavis, avec l'apparition impromptue d'un humain baroudeur et un peu con.
Genndy Tartakovsky, qui rêvait de pouvoir commencer sa carrière cinématographique par un projet personnel, fait de son mieux avec ce qu'il a. Malheureusement, Hôtel Transylvania a déjà trop de casseroles au derrière, et ne peut plus être sauvé du naufrage. Certains monstres sont drôles à souhait - en particulier la famille loup-garou - et il y a une ou deux bonnes idées et quelques scènes somptueuses, que ce soit en terme de mise en scène, de rythme, voire de chorégraphie. Mais globalement, ce film est une purge, mal écrit, prévisible, sans véritables enjeux,... Un naufrage, vous dis-je.



Les meilleures scènes de la bande-annonce ne sont pas dans le film

[Zêta Amrith]

Merci Zombie Hotel.

[Aer]

Pourquoi "génial réalisateur" ?

[Xanatos]

Parce qu'il l'est vraiment pardi !
Genndy Tartakovsky est tout de même le réalisateur de deux des meilleures séries animées américaines des années 2000 en l'occurrence le fabuleux Samurai Jack (bijou d'inventivité, d'humour, de drame et de combats épiques) et le remarquable Star Wars Clone Wars (celle animée en animation traditionnelle, pas la série en 3D), deux séries animées exceptionnelles qui ont fait date.
Il est aussi le créateur de l'humoristique et sympathique "Le Laboratoire de Dexter".

Tartakovsky est un réalisateur très talentueux à l'inventivité débordante et dont la plupart des productions sont caractérisées par un rythme narratif soutenu et énergique ainsi qu'une mise en scène dynamique et enlevée.

C'est clairement l'un des meilleurs réalisateurs américains actuels, il est de la même trempe que des génies comme le grand Bruce Timm. Les séries majeures de Genndy Tartakovsky font indubitablement partie des plus beaux fleurons de l'animation américaine contemporaine.