Tetho a écrit:Sauf que le reconnaissance du jeu vidéo c'est déjà le cas, sauf que ça ne s'est pas fait pour des histoires artistiques ou culturelles, mais juste parce que ça génère plus de fric que l'exploitation des films en salle.
Et depuis on a eu la Wii, Kinect, le PS Move et la 3DS.
D'où le "pas encore tout à fait gagné". C'est ce qui rends même d'autant plus rageant le recours à ce genre de clichés que l'on pouvait espérer dépassés.
Drig a écrit:Pour preuve : à chaque fois que les éditeurs ou les constructeurs annoncent des conneries comme le online pass ou je ne sais plus quel DRM ou le fait que les méchants pirates qui achètent leurs jeux d'occasion, tuent les artistes du marché du jeu video ... ça me fout les boules et je deviens violent
Mais le marché de l'occasion tue le jeu vidéo, les développeurs, leurs enfants et leurs chiens !!! Ce qui est à la fois pas tout à fait faux (surtout en ce qui concerne les titres B-tiers), anti-consommateur, et la conséquence d'une course auto-destructrice pour l'industrie aux titres AAA dotés de budgets qui les rendent difficilement rentabilisables... le sujet ne rends pas tant violent que perplexe
Merlin a écrit:Heureusement que les invités sont restés très sages sur ce point et ont convenu que l'amalgame jeu vidéo et violence n'était pas vraiment avéré.
Vrai, heureusement. Le montage du sujet juste avant par contre, collage de séquences tirées de Battlefield, Gears et tutti quanti, donnait un aperçu extrêmement réducteur du jeu vidéo.
Natth a écrit:Sinon, il m'est arrivé à plusieurs reprises de discuter avec des gens ouverts d'esprit et pourtant gênés par la violence (ou le sexe) de certains jeux. Je crois que lorsque tu n'es pas familiarisé avec un univers, tu tires un peu trop vite des conclusions sur la qualité d'un jeu. Mais il est très facile de présenter le JDR/le jeu vidéo/la chose inconnue de manière sympathique devant ces personnes (sauf peut-être les plus bornés, mais je ne les ai pas croisés). Il suffit de ne pas aller dans les choses un peu trop agressives/sexuelles au début. Et on s'habitue vite
Très vrai aussi (en particulier la différence de point de vue que peut avoir quelqu'un de familiarisé à un type d'univers ou non et la nécessité qu'il y a à expliquer). Encore une fois, c'est le traitement assez peu finaud par les médias qui est énervant, surtout en de telles circonstances.
(et c'est vrai que les livres-jeux Asterix étaient très, très biens foutus

)