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Gemini a écrit:Les Minions bien partis pour dépasser le Milliard de Dollars de recettes mondiales. Qu'est-ce qu'on disait sur l'inflation, déjà ?
Tetho a écrit:un spectateur de 1939 devant Gone With the Wind en vaut esactement un de 2015 devant Mad Max Fury Road, et il est aussi le même à travers le monde.
Et dans ce cas là comment tu relativise
Jurassic Park est il plus populaire que La mélodie du bonheur ? Parle-t-on encore plus de Citizen Kane ou de Metropolis ? Si tu veux mesurer le succès, ça ne passe pas.
Le dollars constant est un bon indicateur pour rappeler que les montants d'aujourd'hui n'ont pas de sens comparé à ceux qu'il y a 50 ans, mais pour le faire bien il faudrait être capable de retrouver les montants des différentes exploitations, années par années, pays par pays et leur appliquer tous les modificateurs justes. Et comme c'est impossible sans avoir accès aux comptes des studios, on prend le revenu global et on applique le même multiplicateur. Du coup une ressortie récente se voit appliquer un modificateur complètement dément par rapport à sa véritable importance.
Mais le spectateur lui il bouge pas, il reste représentatif de la même chose, que la population mondiale soit multipliée par dix ou divisée par deux après une attaque de zombies. Il reste l'indicateur le plus fiable malgré tous les changement que peut traverser la société.
Unlike the source material, this is not the usual pastiche of Holmes solving the unsolvable. Instead the film’s conceit is that the magnifying-glass-using, pipe-puffing Sherlock is fabricated, a legend born of Watson’s prose. The true story is the one the viewers watch unfold. This device allows Mr Condon to weave in some meta-humour and a few postmodern touches—there is an amusing film-within-a-film moment using Nicholas Rowe, famed for playing the title role in Barry Levinson's "The Young Sherlock"—and also gives the director the opportunity to explore the protagonist from new angles. Historically, Holmes’s appeal has in part been his inaccessibility: his cool detachment and formidable intelligence have led audiences to admire and marvel at his superhuman attributes. In "Mr Holmes" they are invited to delve into his human side and an ailing genius’s lonely decline.
In a year that would see the release of mega-budget movies Spider-Man 2, The Incredibles, The Day After Tomorrow and Harry Potter 3, Sky Captain and the World of Tomorrow was one of the most anticipated. It looked unlike anything else coming out in 2004
Any scene he could imagine could be built inside the computer and the actors dropped in. Commonplace now, revolutionary then.
KARAFACTORY a écrit:Déjà le Pôle Express n'est pas considéré comme un film d'animation, mais comme un film avec acteurs virtuels.
Le Drôle de Noël de Scrooge, où encore Beawolf, sont des films avec acteurs virtuels. Starship Troopers Invasion, Harlock, où encore Appleseed Alpha sont des films d'animation (même si Alpha présente les animations faciales les plus photoréalistes que j'ai jamais vu dans un film d'animation - car il présente encore une fois des personnages hyper réalistes, mais pas photo réalistes).
Avatar n'est pas 100% virtuel comme dans Scrooge où même Le Pôle Express (100% CGI de mémoire - corrigez moi s je me trompe), il y à de nombreuses scènes certes 100% CGI, mais énormément de scènes aussi avec des acteurs virtuels incrustés dans des environnements 3D, et de nombreux décors construits en dur, mais complétés par des extensions en 3D. Rien que ça le différencie clairement de Pôle Express.
(je suis d'accord, les acteurs photoréalistes, on en à vu bien avant, mais certes pas sur toute la longueur d'un film)
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