Leiji Matsumoto (Albator, Galaxy Express 999...)

[Darkge999]

Les grands classiques ne meurent jamais à ce que je vois. ^^

Il est vraiment dommage qu'il n'est pas été réédité depuis la VHS de Kazé contrairement au premier film qui as le droit à une sortie DVD dans nos contrées (sa légalité est assez problématique, mais c'est un autre sujet...). Ce fut la première oeuvre de Leiji Matsumoto que j'ai dû acheter hors Albator et qui m'a fait découvrir l'univers de ce célèbre train... Que de souvenirs...

D'ailleurs la VHS me sert à caler avec une autre d'Albator 78, mes mangas de Yamato...

[Ialda]

Très bonne critique Xanatos, ça donne envie de revoir le film.
Le gros problème que j'ai avec Adieu, c'est que je considère déjà le premier film comme un chef-d'oeuvre; or le second film arrive presque à le surpasser par moments.



Il inaugure aussi une décennie où Rintaro est au sommet de son art.

[Xanatos]

Très bonne critique Xanatos, ça donne envie de revoir le film.
Le gros problème que j'ai avec Adieu, c'est que je considère déjà le premier film comme un chef-d'oeuvre; or le second film arrive presque à le surpasser par moments.

Merci pour tes compliments sur ma critique Ialda.

Je trouve d'ailleurs lamentable qu'un si beau film n'ait jamais bénéficié d'une sortie DVD française.

Sinon, je me souviens que lorsque le premier film était sorti en VHS, la jaquette mettait en avant Albator, alors que, même s'il était présent dans le film, on devait à peine le voir 20 minutes dans ce film qui dure deux heures.

Mais bon, il faut croire que la stratégie de Kazé avait fonctionné à l'époque vu que la cassette s'était excellemment vendue.

Maintenant, je compte me lancer dans l'achat du manga original, mais je me demande si je ne devrais pas me contenter des 14 premiers volumes.
Parce que vu ce que dit Gemini des 7 derniers tomes et qu'il est loin d'être le seul fan de la série à trouver ces volumes dispensables, je me pose la question.
Le 14e volume propose-t-il une vraie conclusion, ou est ce une fin ouverte typique de l'auteur ?

[Darkge999]

Le 14e volume propose-t-il une vraie conclusion, ou est ce une fin ouverte typique de l'auteur ?

Disons qu'elle est moins ouverte que d'habitude et que l'histoire globale du premier voyage est close.

[Arachnée]

Je viens de revendre ma collection de mangas "Galaxy Express" et je n'avais que les 14 premiers tomes. J'ai trouvé cette fin-là tout à fait satisfaisante.

Concernant ce second film, je le trouve beaucoup moins réussi que le premier, l'histoire met du temps à se mettre en place, et on sent trop la repompe sur "Soleil vert" et sur "Star Wars".

[Montrer] Spoiler

Par rapport à ce 2ème film, je trouve même que c'est dommageable tant la révélation de l'identité du père de Testurô me semble peu cohérente avec le reste de la saga. Ca fait presque rebondissement de soap opera.

Néanmoins, c'est toujours un plaisir de retrouver les personnages que l'on connaît.

[Xanatos]

Merci pour vos avis Arachnée et Darkge999, je vais donc franchir le pas et me procurer les 14 premiers tomes de ce grand classique.

[veggie 11]

Les 14 premiers volumes sont malheureusement très difficiles à trouver (peut-être Amazon, Priceminister), sauf les derniers à partir du 11. Pour ma part, si le premier voyage se termine au volume 14, la suite n'est pas inintéressante bien au contraire. Après avoir acheté les premiers volumes, je te conseille quand même de t'intéresser à la suite, bien qu'elle soit plus récente.

[asakura]

Je suis justement en train de lire la série. J'ai commencé le tome 11. Jviendrais vous donner mon avis aussi.

[Darkge999]

Merci pour vos avis Arachnée et Darkge999, je vais donc franchir le pas et me procurer les 14 premiers tomes de ce grand classique.

De rien, ça fait toujours plaisir de pousser quelqu'un à se procuré ce chef d'oeuvre malheureusement trop souvent oublié.

[shun]

galaxy express est vraiment excellent ça c'est sûr et comme dit plus haut la 2 èm partie garde un intérêt même si sans fin.

[asakura]

Terminé la lecture de la première partie de Galaxy Express 999, soit les tomes 1 à 14.
Une série tout de même assez particulière à laquelle je pense il faut pouvoir être réceptif. J'ai eu un peu de mal avec certains chapitres jusqu'à ce que je change ma vision de l'oeuvre. En fait, je la vois plutôt maintenant comme une fable. Chaque chapitre donnant matière à réfléchir. Et surtout, en considérant l'oeuvre ainsi, cela permet d'accepter l'extrême malchance des personnages de se faire kidnapper et voler leur billet tous les deux chapitres.

Dans un lointain futur, la science et les technologies ont connu une incroyable avancée. Les hommes sont parvenus à coloniser l'univers et ont créé des voies "de chemin de fer" spatiaux sur lesquelles transites de superbes trains de l'espace. Les hommes ont quant à eux abandonnés leur corps de chair et de sang au profit de robotiques permettant une quasi-immortalité. Un gigantesque empire robotique s'est ainsi mit en place tandis que les hommes sont eux la cible des railleries et de la violence des hommes-robots.
Tetsuro Hoshino, un jeune garçon vivant dans la pauvreté avec sa mère sur Terre a le souhait le plus cher d'obtenir un corps robotique mais n'a pas les moyens de se l'offrir. Un jour sa mère se voit terrassée lors d'une partie de chasse du comte Robotique. Désormais seul, Tetsuro fait la connaissance de Maetel qui le prend sous son aile. Jeune femme à la beauté divine et aux mystères insondables, elle offre un billet pour la planète de robotisation gratuite. La seule condition sera qu'elle puisse accompagner Tetsuro tout au long de son périple.

Ce synopsie résume en gros le premier chapitre de la série, dès le suivant chaque chapitre représente ainsi une escale de Tetsuro. Chaque escale sera alors l'occasion d'en apprendre un peu plus sur les conséquences de la robotisation, de faire réfléchir ce héros sur la condition qu'il souhaite avoir alors que lui même ne connait en faite qu'une seule facette de la vie. Celle de la pauvreté et des hommes de chair pourchasser par les robotiques.
Chaque histoire est différente, certaines un peu naives, d'autres d'une extrême poésie. Mais toujours différentes.
Pour ma part, je reconnais avoir été vraiment touché par certains chapitres. Je pense par exemple à celui de cette femme ayant un corps robotique de glace.

[Montrer] Spoiler

Si cela n'est pas nécessaire pour son corps, l'un de ses désirs les plus forts est de pouvoirs manger une soupe mizo comme lui cuisinait son père. Malheureusement, tout ce qu'elle touche perd instantanément toute chaleur. Tetsuro de part "la chaleur de son coeur" parviendra à faire une soupe que la jeune femme pourra manger. Mais chaque cuillère fait fondre un peu plus son corps alors que celle-ci ne peut se refréner pouvant enfin retrouver ses sensations d'enfant.

L'un des points majeurs de la série est bien entendu le mystère qui entoure le personnage de Maetel. Qui est-elle ? Il semble que Tetsuro ne soit pas le premier enfant qu'elle accompagne, mais pourquoi et que sont devenus les autres ? Qu'elle est cette voix qui se fait par moment entendre et avec laquelle elle parle ? Est-elle humaine ou robotique ? A chaque question posée, celle-ci répond par de nouvelles enigmes ou phrases mystérieuses.
Maetel est une véritable accroche qui ne cesse de titiller le lecteur, il y a tant de zones d'ombres autour d'elle que l'on se demande si l'on parviendra réellement à cerner son personnage.

Au niveau du dessin, la série porte son âge c'est évident. Étonnamment, les extrêmes se côtoient avec par moment des planches qui semblent rushées avec de simples yeux sur fonds blanc alors que d'autres sont réellement sublimes. Souvent les pages entières ou les doubles pages ont une attention particulièrement soignées. Sans oublier ce design spécifique à l'auteur des personnages féminin. Maetel est un personnage vraiment splendide, et qui pourtant est assez épuré. Un regard saisissant, une chevelure dorée imposante, une taille longiforme et un simple manteau noir et une petite toque (?). Tetsuro est d'ailleurs l'opposé du personnage dans tout son être. Exubérant, joviale, petit mais surtout laid, souvent considéré comme un singe ou un autre animal.


J'ai noté quelques incohérences malgré tout qui m'ont interpellé à plusieurs reprises. Par exemple, au début de la série, nos héros sont en retard pour reprendre le 999. Le contrôleur indique alors à Tetsuro que Maetel est un passager très spécial et que le train ne pouvait repartir sans elle. Pourtant à plusieurs reprises le 999 quittera le quai sans elle dans la suite du récit.
Dans la même veine, je sais que la traduction a été confiée à un fan de l'univers de Matsumoto mais je me suis interrogé plusieurs fois sur l'adaptation proposée. J'ai du relire certains passages plusieurs fois pour pouvoir en comprendre le sens.

Sinon, concernant cette fin que je trouve fabuleuse :

[Montrer] Spoiler

Finalement de nombreux mystères autour de Maetel sont levés. Sur ses origines, sur le pourquoi de ses voyages mais aussi de la voix qui pouvait se faire entendre. Elle a souffert de nombreuses années afin de pouvoir faire tomber l'empire des robots que dirige sa mère. Elle lui a fait croire qu'elle obéissait aveuglement à ses ordres en lui amenant de jeunes hommes qui une fois robotisé renforçaient la structure de Grande Andromède. On peut alors tenté de saisir toute la tristesse du personnage mais aussi de sa force. Avoir voyagé tant de fois à travers l'univers en s'attachant toujours à son compagnon de route pour finalement le voir devenir un élément inerte aussi futile qu'une vis. Tetsuro lui de son côté n'avait qu'un seul but : obtenir un corps robotique. Et même après tous ce qu'il a pu observer tout au long de son voyage il ne pouvait remettre en question cet objectif qui était devenu sa raison de vivre. Au moment fatidique, confronté à son rêve, il réalisa enfin la porté de sa décision et refusa de choisir un corps robotique mais trop tard pour revenir en arrirèe. Le 999 ne repart toujours qu'avec un unique passager, Maetel.

J'avoue que j'aurai été séduit par une autre fin. Celle où Tetsuro terminait réellement en Vis mais qui se sacrifiait pour mettre à mal la structure de la planète. Malgré tout je ne boude pas ce dernier chapitre qui m'a scotché d'un bout à l'autre même si je pense qu'il repose en grande partie sur toutes les révélations que découvre le lecteur.

Je débute maintenant le seconde partie et vais me lancer dans le visionnage du premier film de l'oeuvre.

[Darkge999]

Une série tout de même assez particulière à laquelle je pense il faut pouvoir être réceptif. J'ai eu un peu de mal avec certains chapitres jusqu'à ce que je change ma vision de l'oeuvre. En fait, je la vois plutôt maintenant comme une fable. Chaque chapitre donnant matière à réfléchir. Et surtout, en considérant l'oeuvre ainsi, cela permet d'accepter l'extrême malchance des personnages de se faire kidnapper et voler leur billet tous les deux chapitres.

Il faut surtout voir Galaxy Express 999 comme étant un récit initiatique où son héros apprend à grandir pour passer de l'enfance à l'âge adulte. Une quête spirituelle qui l'amènera à choisir la vie qu'il désire réellement...
Le second voyage est celle d'une autre voie...

Au niveau du dessin, la série porte son âge c'est évident. Étonnamment, les extrêmes se côtoient avec par moment des planches qui semblent rushées avec de simples yeux sur fonds blanc alors que d'autres sont réellement sublimes. Souvent les pages entières ou les doubles pages ont une attention particulièrement soignées. Sans oublier ce design spécifique à l'auteur des personnages féminin. Maetel est un personnage vraiment splendide, et qui pourtant est assez épuré. Un regard saisissant, une chevelure dorée imposante, une taille longiforme et un simple manteau noir et une petite toque (?). Tetsuro est d'ailleurs l'opposé du personnage dans tout son être. Exubérant, joviale, petit mais surtout laid, souvent considéré comme un singe ou un autre animal.

Cela devrait répondre à certaines de tes questions sur le style Matsumoto:
http://www.albatorssx.com/index.php?menu=matsumoto&page=leijiflemmardespace
Par ailleurs de mémoire, il doit avoir aussi quelques lignes intéressante à lire à la fin des volumes du manga sur son style de dessin. Il faudra que je revérifie ça...

J'ai noté quelques incohérences malgré tout qui m'ont interpellé à plusieurs reprises. Par exemple, au début de la série, nos héros sont en retard pour reprendre le 999. Le contrôleur indique alors à Tetsuro que Maetel est un passager très spécial et que le train ne pouvait repartir sans elle. Pourtant à plusieurs reprises le 999 quittera le quai sans elle dans la suite du récit.

Je ne le vois pas comme des incohérences, mais plutôt comme des actes imprévus. Même si Maetel à un statut particulier, même elle ne peux rien faire contre certains aléas des voyages spatiaux.

[Montrer] Spoiler

J'avoue que j'aurai été séduit par une autre fin. Celle où Tetsuro terminait réellement en Vis mais qui se sacrifiait pour mettre à mal la structure de la planète. Malgré tout je ne boude pas ce dernier chapitre qui m'a scotché d'un bout à l'autre même si je pense qu'il repose en grande partie sur toutes les révélations que découvre le lecteur.

Il y a une fin comme ça dans Space Symphony Maetel qui est une sorte de préquel à Galaxy Express 999 avec des morceaux d'Harlock dedans.

[shun]

après tant d'année et comme rien ne sort j'ai finalement mater " galaxy express eternal fantasy " et j'ai eu une belle déception, difficile de situer dans l'histoire ( ça ressemble légèrement au 2 èm cycle du manga mais en 100 fois moins bien ), le contenu court ( 55 min ) ne permet pas de grande chose et pourtant l'animé se permet de trainer, pas découverte de planète intéressante, évolution perso néant et animation horrible, a zapper.
faudrais que je retente "Adieu Galaxy Express 999" je ne m'en souviens plus du tout et je me demande s'il est d'aussi bonne qualité que le premier film.

[veggie 11]

''Eternal Fantasy'', je le vois comme une sorte de cadeau-bonus pour les fans du manga qui ont lu la dernière partie (puisqu'on y voit Mii, le chat qu'adopte Tetsurô dans le tome 15 ou 16). Il ne faut pas vraiment y chercher d'histoire, plutôt une sorte d'essai ''Comment aurai ressemblé l'adaptation du manga en plus fidèle dans sa seconde partie''. Tu auras peut-être constaté qu'ici Tetsurô est un enfant et non un adolescent; de même le design se rapproche beaucoup plus du design du manga.

[Darkge999]

ALBATOR LE CORSAIRE DE L'ESPACE

Je vais avoir du mal à être objectif, mais bon, le film est excellent. En tout cas pour moi, j'ignore l'effet qu'il fera sur ceux qui découvre la saga... Effet nostalgie ou pas, toute la question est là...

Au niveau technique, rien à dire, il est totalement maîtriser. La 3D est splendide et réaliste, je ne m'étais pas pris une claque pareille depuis le film Final Fantasy. C'est fluide, bien animé, les textures sont d'un excellent niveau. Et la 3D relief apporte vraiment un plus, on est dans le film.

Le doublage n'est pas mauvais, ce qui est loin d'être désagréable, je serai curieux d'entendre la VO pour sentir la différence. Rien ne m'a choqué, en tout cas, pour l'instant.

Pour le design Dark de l'Arcadia, c'est une histoire de gout, mais il ne m'a pas gêner. Il va bien avec l'histoire.

Concernant l'histoire, elle est plus proche de l'ambiance d'Endless Odyssey que de 78, 84 et consort, c'est sombre et pessimiste. Jamais notre capitaine pirate n'a été aussi badass.
Pour une fois on a un méchant qui est une véritable pourriture (avec quelques nuances, mais s'en est une belle) et ses supérieurs sont tout aussi sympathique...
Ils y a des détails qui auraient mérité d'être plus développer, mais c'est dur dans un film de 2 heures... Le film est auto-suffisant, mais je ne serai pas contre une suite du même niveau.

Après, en dire plus, serait spoiler. Ce que je ne ferai pas.

J'aurai juste deux petits bémols:
- Albator est un pirate, pas un corsaire.
- J'aurai voulu des Sylvidres vu les modélisations plantueuses de Kei Yuki (à quoi sert la scène de la douche au juste?) et de Mimeh, nos plantes favorites aurait donné.

[KARAFACTORY]

- Albator est un pirate, pas un corsaire.
- J'aurai voulu des Sylvidres vu les modélisations plantueuses de Kei Yuki (à quoi sert la scène de la douche au juste?) et de Mimeh, nos plantes favorites aurait donné.

[Adnae]

- Albator est un pirate, pas un corsaire.

Jamais compris ce travers d'adaptation, c'est juste... débile


Sinon, vu en VO (j'irai le revoir en VF pour comparer), j'ai adoré (comme la plupart des avis que je lis sur d'autres forums)
J'avais un peu peur en voyant les critiques qui se veulent ""pro"", mais je me rends compte que comme souvent, ils racontent de la m*rde quand il s'agit d'animation jap.

Le film souffre du rush, quelques scènes supplémentaires pour développer les personnages n'auraient pas été un luxe.
Cela dit le scénario reste très Matsumotoesque, mais avec une ambiance dans le style d'Endless Odyssey (que j'avais adoré) plus que du reste. Quelques clins d’œils sympathiques aux séries dans quelques scènes d'ailleurs.

Visuellement c'était assez dément, les batailles sont dantesques, et les personnages très bien faits (Kei et surtout Miime )

Pas grand chose à dire de plus, film que je reverrais avec plaisir J'espère qu'il aura du succès, histoire que la Toei retente l'expérience de l'international gros budget.

[Mattosai]

- Albator est un pirate, pas un corsaire.

Jamais compris ce travers d'adaptation, c'est juste... débile

et lire Albator et entendre Harlock , les vils qui tirent sur la nostalgie

Pour ma part relativement déçu , comme les 2 potes avec qui je l'ai vu, on est ressorti avec exactement le même avis, tout est excellent dans ce film (la scène de douche de kei, l'utilité ? un matto-award pardi :b), sauf une chose, le scénario. Matsumoto aime les plantes et hum, ça se sent un peu

plus sérieusement

[Montrer] Spoiler

le film veut apporter un enjeu et une dimension épique, or ces aspects sont juste complètement réduits à néant par le simple fait que l'Arcadia comme son Capitaine sont juste.... invulnérables... (sauf sur la fin quand il laisse entrevoir son humanité avec l'objet de sa rédemption) les batailles sont visuellement très bonnes, l'action y est , la musique aussi au passage, Harlock est super classe et intouchable certes mais voila,tellement intouchable avec son vaisseau qu'au final, on se demande bien où est l'enjeu , ou est le sacrifice, élément indispensable à tout bon space opera , quand les protagonistes on appuyé sur le bouton cheat 'god mode'... à aucun moment dans le film on ne se sent vraiment menacé tellement la dévastation va en sens unique, sauf sur le rayon de Jupiter et encore.
Enfin sur le final, on aurait pu penser à un sacrifice (quand il libère toute l'énergie noire... ah et ben non, un mars et ça repart ) et une véritable succession (qu'on devine dès le départ, le jeune homme étant le portrait craché d'Harlock, a deux détails près dont un qu'il obtient vraiment, la cicatrice et le cache-oeil en bonus :b) , mais il est toujours là ce cher Harlock et ne parlont pas de Miimé...

Bref mi-figue mi-raisin, le film est très beau, Harlock nous reviens avec classe et noirceur , les filles de la Team-Ninja aussi (ah et l'Arcadia accessoirement ), mais aurait pu être bien meilleur et mémorable si certains aspects avaient étés un peu moins capillotractés et surtout si Matsumoto n'avait pas fait haut haut bas bas gauche droite gauche droite B A et Start avant que le film ne commence (oui on a bien pigé que l'énergie noire c'est trop cool... on doit se taper 15 fois la scène où le vaisseau émerge -_- )
Je le recommanderai pour son aspect visuel et aller le voir au cinoche pour sûr - un peu dommage sur un format plus réduit - (et la nostalgie pour les trentenaires), mais pas pour plus que ça.

edit : amusant hormis les 3 4 papas avec les enfants, tous de la même classe d'âge dans la file d'attente

[Darkge999]

Albator à toujours eut un coté pirate invincible, je ne l'ai pas souvent vu en difficulté, lui ou l'Arcadia. Dans 78, il se fait une guerre galactique à lui tout seul et son vaisseau ne souffre que réellement que dans les derniers épisodes. Dans le manga originel, c'est pareil.
Les rares fois où il à eut vraiment des difficultés, ce fut dans 84 lorsqu'il affronte l'ordinateur du Death Shadow ou bien dans Space Symphony Maetel contre la flotte de Ramétal qui le pourchasse...
Et je ne parle pas d'Endless Odyssey où il rend fou une divinité chthonienne avant de détruire/ré-emprisonner Noo lors d'un deux ex machina...

L’invincibilité qui l'enveloppe dans le film, n'est que le résultat de cette longue mythologie où même les Dieux du Walhalla tremblent devant lui...

[Calypolite]

Qui a vu le film et n'a pas relevé cette scène de douche qui ne sert strictement à rien si ce n'est à la populace masculine?
Le pire, c'est que cela tombe vraiment comme un cheveux dans la soupe entre 2 scènes. Les scénaristes aurait pu faire en sorte que Yama interroge sur le passé de Kei pour amener la scène mais ils ne se sont même pas fatiguer...
Mato fait de plus en plus d'adeptes on dirait

[Adnae]

La scène de douche, j'attends de voir la version avec 5min en plus, une scène qui tombe comme ça en plein milieu, me demande si c'est pas un problème de découpage

[Joe]

En y réfléchissant, Ce film partage plus de similitudes avec Pirate des Caraïbes qu'avec Albator 78/84.

[Mattosai]

La scène de douche, j'attends de voir la version avec 5min en plus, une scène qui tombe comme ça en plein milieu, me demande si c'est pas un problème de découpage

Technique Mattosienne pour mieux vendre l'édition blu-ray director's (un)cut

[Adnae]

En y réfléchissant, Ce film partage plus de similitudes avec à peu près tous les récits et légendes de pirates qu'avec Albator 78/84.

Fixed

Technique Mattosienne pour mieux vendre l'édition blu-ray director's (un)cut

Il n'y avait pas besoin de ça pour me le vendre


Je viens de le revoir, du bonheur, j'adore ce film.

[Joe]

Fixed

Beuh je suis un noob en pirate d'eau douce, à part Pirate des Caraïbes il y aurai quoi d'autre qui respecte ceci ?

[Montrer] Spoiler

- Équipage et capitaine maudit et immortel.
- Un navire de guerre noir invincible.
- Possibilité de rejoindre le navire et être maudit par la même occasion.
- Toute une armée ne suffit pas pour exterminer les boucaniers.