91Days

[guwange]

Histoire : A l'ère de la prohibition, une ville régie par la mafia.
Avilio, un homme dont sa famille a été liquidée, cherche à se venger en voulant tuer son ami, Nero.
Ce dernier dont le destin est de devenir le prochain parrain, va être la cible de Avilio.

Réalisateur : Hiro Kaburaki (Hozuki's Coolheadedness et réalisateur d'épisode sur Wild Striker, chevalien d'Eon, Fantastic Children)
Scénariste : Taku Kishimoto (ERASED, Haikyu!!, Magi: Adventure of Sinbad)
Character Design : Tomohiro Kishi ( char-design sur My Little Monster mais directeur de l'animation sur Space Dandy ep 5, Terror in resonance)
Musique : Shōgo Kaida (S.A, Uragiri wa Boku no Namae o Shitteiru)
Animation Production: Shuka (Durarara!!×2)

[guwange]

91 Days.

Fuck Yeah This Is J-Animation! Amrith Seal Of Quality, ou un truc du style.
En tout cas la production est assez conséquente et on sent l'équipe qui a envie de faire un produit très solide, rien qu'avec le générique très ricain style.
Nous verrons ce que ça donne.

91 Days 01

La seule série de la saison, aux côtés de Berserk, qui ait suscité un quelconque intérêt. Et diantre comme je suis satisfait ! A contrario d'un Berserk qui me fait halluciner quant aux multiples choix vaseux, 91 Days s'inscrit avec prouesse dans le genre violence/noirceur/racket...mafia en somme. C'est plutôt bien rythmé et l'ost appuie et souligne le sentiment dégagé par chaque scène. Et puis un protagoniste avec un béret, c'est forcément cool. Forcément.
Seulement un manque de détails par moment à regretter (m'enfin on est en 2016...).
Bref, c'est très prometteur.

[Zêta Amrith]

Un honnête démarrage.
Gungrave x Durarara avec une technique perfectible mais appliquée.

Puis bon c'est un peu le seul anime de la saison qui a l'intention derrière lui.

[Zêta Amrith]

Ca (02) va un peu vite en besognes mais c'est efficace. Rien qui ne puisse prétendre à révolutionner le genre mafieux tendance Al Capone loin de là, mais pour le moment l'équipe a choisi d'opter pour une approche américanisée du story-telling qui nous change du néant kuuki-kei nippo-japonais ; finis, les mêmes informations répétées quarante fois consécutivement ou les dialogues qui se veulent subtils alors qu'ils culminent sur 1+1=2 ou l'indispensable shikata ga nai. Chouette, encore faut-il que ça dure.

[Edo]

Episode 02

[Montrer] Spoiler

Quelque chose me laisse perplexe: Fango s'est fait carboniser et pourtant on ne le revoit qu'avec le dos brûlé.
Le gunfight également manquait de "réalisme", une balle perdue, logée dans l'avant bras d'un des gus n'aurait pas fait de mal.
Le final par contre était quasi totalement imprévisible: je n'ai compris ce qui allait se passer qu'une fois la silhouette d'Angelo apparue. Nice.