Luluco est une fille normale de qui s'efforce au mieux de vivre une vie normal avec son père au sein du cosmo-quartier d'Ogikubo, un endroit où terriens et extra-terrestres cohabitent. Un jour pendant leur petit déjeuner normal son père, cosmo-officier de la cosmo-police, avale une pilule qui le congèle. Luluco se retrouve à devoir accepter un cosmo-petit boulot au sein de la cosmo-police pour traquer les cosmo-criminels qui se cachent dans son cosmo-collège, mettant ainsi fin à sa vie normale...
Pendant que son studio produit Kiznaiver, Imaishi s'occupe sur ce cartoon à mi-chemin entre Panty & Stocking, le vulgos de tous les instants en moins, et les moments comiques avec Mako de Kill la Kill, le cerveau en plus. C'est chatoyant, le rythme est maitrisé, les gags font souvent mouche et il y a tengen-toppa inferno cop en cosmo-commissaire de police. Je crois qu'on tient une bonne pioche dans la catégorie divertissement pas prise de tête.
Achieve your mission with all your might. Despair not till your last breath.
Le format est au contraire adapté. En 6 minutes d'épisode hors générique les gags n'ont pas à trainer en longueur pour remplir tant bien que mal 20 minutes d'écran. Muromi-san l'avait bien montré. Du coup sur ce genre de format les gags débiles du genre "Ils ont vendu Ogikubo pour un prix dérisoire." ça fait mouche. Parce que Ogikubo c'est le quartier de Tôkyô où se trouve la majorité des studios d'animation.
Achieve your mission with all your might. Despair not till your last breath.
C'est le skull-boss de la Space Patrol qui tient ce truc. "Fais feu et alors la Justice, ou qqchose du même genre, devrait normalement te ramener à la base."
Ha ha ha, les épisode 7 à 9 sont des crossover avec les autres anime de Trigger (Kill La Kill, Little Witch Academia, Sex And Violence With Machspeed).
"Mors ultima ration, ce qui veut dire la mort est la raison finale, c'est la vie, Gouriquet est un oiseau savant"
Cette mini série a au moins le mérite de faire ce qu'elle voulait : du délire partout du début à la fin. Et comme la démesure n'importnawakesque grandit à chaque mini épisode qui se suivent, ça ne peut être que sympa pour ceux appréciant le décalé.
Le format marche avec ou sans gags, en collant le tout, SPL a la durée d'un film. Ce qu'il faut voir : la pirate de l'espace, les crossovers, le boss final, et la toute fin. Le nom de code de Luluco est priceless.
Comme le dit le dernier message : "See you next Trigger animation"