[Anime] Sound Euphonium - pom, pom, pom, pooom!

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Nexus
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Re: [Anime] Sound Euphonium - pom, pom, pom, pooom!

Messagede Nexus le Dim 04 Juin 2017, 12:58

Après les 2 films récapitulatifs, KyoAni pousse encore plus loin avec sa licence avec 2 nouveaux films originaux cette fois.
Les 2 sont prévu pour 2018, le premier sera réalisé par Yamada, et le second par Ishihara.
Pour plus de détails : http://natalie.mu/comic/news/235422

KyoAni se dirige de plus en plus vers de l'adaptation cinématographique pour ses licences, je me demande si cette tendance va encore s'accentuer quitte a ce que le studio ne fasse presque plus que ça.
Faut dire que ce support est beaucoup moins risqué que les séries TV.

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Zêta Amrith
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Re: [Anime] Sound Euphonium - pom, pom, pom, pooom!

Messagede Zêta Amrith le Dim 04 Juin 2017, 15:01

C'est bien l'ensemble de l'industrie animée japonaise qui se dirige de plus en plus souvent vers l'adaptation "cinématographique" à sortie limitée... nonobstant l'essentiel à savoir que la noblesse du format film est de se suffire à lui-même et non de jouer les prolongations d'une série TV pour un petit noyau constitué.

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Tetho
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Re: [Anime] Sound Euphonium - pom, pom, pom, pooom!

Messagede Tetho le Dim 04 Juin 2017, 16:55

Le cinéma prend surtout de plus en plus la place des OVA depuis que ces dernières se sont transformés en séries TV dans la nuit.



La formulation est pas claire, mais j'ai l'impression que c'est deux films qui seront partie du même programme en salle.
L'épilogue l'année suivante, pourquoi pas. Même si c'est loin d'être nécessaire. Par contre Yamada va perdre son temps avec l'histoire de l'hautboiste. Ça été la pire partie de la série, je suis curieux de voir ce qu'ils veulent construire autour alors que tous les spectateurs savent maintenant que c'était "lol, un malentendu".
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Re: [Anime] Sound Euphonium - pom, pom, pom, pooom!

Messagede mangakam le Dim 04 Juin 2017, 19:36

Tetho dans ces films la plus grosse question qu'il faut mieux se poser est ce que les Yuri shippers vont avoir leur dose :lol:

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Re: [Anime] Sound Euphonium - pom, pom, pom, pooom!

Messagede Tetho le Dim 04 Juin 2017, 20:12

Tu sais, moi tant que les chaises sont à leurs places tout va bien.
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Re: [Anime] Sound Euphonium - pom, pom, pom, pooom!

Messagede Milo le Lun 05 Juin 2017, 08:42

Je jette de l'argent sur mon écran, mais il ne se passe rien :21:
"J'adore trop les doubleurs japonnais de la nouvelle saison de ce manga. Faut que je voye s'il est licencié !" ಠ_ಠ

The Smash Brothers, à peine 4h18 20 min, facile 8)

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Re: [Anime] Sound Euphonium - pom, pom, pom, pooom!

Messagede Tetho le Jeu 22 Oct 2020, 19:59

Hibike! Euphonium ~Chikai no Finale~



C'était sympathique, mais plus de par l'affection que j'ai pour la première série que par les qualités propres du film.
J'ai l'impression qu'ils (Kyoani, donc Ishihara et Hanada, et sans doute au passage Takeda puisque les romans adaptés dans ce film sont sortis deux ans après les débuts de l'anime) courent désespérément après le moment de grâce qu'à été la première saison sans réaliser le problème fondamental qui touche la série depuis : tous les enjeux dramatiques qui touchent Kumiko sont réglé dans cette dernière et depuis elle se contente d'être spectatrice de sa propre histoire.

Les deux tubistes, c'est Mizore et Nozomi bis, si elle s'étaient parlé plus tôt, rien ne se serait passé, Kabe-chan-sempai est entre Aoi et Asuka, et de toute façon, film oblige, c'est expédié trop vite pour avoir un impact concret, et Kanade est
[Montrer] Spoiler
une Kumiko qui au lieu d'internaliser sa frustration d'avoir perdu au collège, l'externalise complètement à travers son comportement passif agressif. Et par conséquent ce que lui raconte Kumiko c'est juste une redite de ce qu'on a déjà vu dans les séries TV.

Pas que l'idée d'avoir Kumiko devenir sempai et avoir des responsabilités alors que précédemment elle n'était qu'une insouciante première année qui pouvait se complaire dans ses problèmes en tout genre était mauvaise, mais ça n'est pas ce que raconte le film, c'est mis sur la table sans jamais être traité.

La fin montre bien qu'il y avait de vrais intentions derrière ce récit,
[Montrer] Spoiler
le twist final est brillant, je ne l'ai pas vu venir alors qu'il est annoncé clairement dès le début et rappelé avant le concours, mais pendant que l'orchestre de Kitauji jouait, je me disais "c'est dommage que le second film qui racontera le concours national ne verra peut-être pas le jour avant plusieurs années", haha. Au final ils sont vaincus par ceux qu'ils étaient l'année précédente, des outsiders que personne n'a calculés parce qu'ils étaient insignifiants jusque là.
Et la conclusion dans le bus est claire : Kumiko a mûrie car à ce moment là elle est capable d'accepter la défaite de façon apaisée.


Même techniquement c'est décevant. La direction de l'animation est vraiment bonne pour du Ikeda, peut-être son meilleur taf (désormais à jamais), mais vu qu'elle avait Nishiya pour l'épauler j'en attendais vraiment mieux. Je suis incapable de pointer vers les scènes que ce dernier aurait pu corriger, alors qu'habituellement ça crève les yeux évident (comme dans l'épisode 7 de la seconde série).
Même remarque pour le board de Ishidate, bon en soit et fonctionnel, mais très loin de ceux de Yamada, Takemoto ou Kigami sur les séries TV, même la mise en scène est moins travaillée malgré la présence de Yamada, ça manquait dramatiquement de bokeh. Le concert final manque vraiment d'intensité, c'est très très plat à coté de ce qu'on a vu dans les séries TV.
Et c'est quand même étrange de se dire que c'est potentiellement le dernier anime sur lequel on verra Takemoto, Nishiya et Ikeda.

On verra bien si la suite voit le jour en anime, mais j'espère que d'ici là ils se seront un peu interrogé sur ce qui fonctionnait si bien dans la première série au lieu de juste tenter de la reproduire.
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Deluxe
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Re: [Anime] Sound Euphonium - pom, pom, pom, pooom!

Messagede Deluxe le Sam 16 Juil 2022, 15:12

Hibike Euphonium

Suite aux récentes annonces de Kyoto Animation sur le futur de la franchise Euphonium, notamment la sortie d’OAV en 2023 et une ultime série télé en 2024, le moment est choisi pour revenir sur cette licence qui a déjà marqué le public.

Hibike Euphonium est au départ une série de romans écrits par Ayano Takeda et publiés entre 2013 et 2019, que KyoAni a commencé à adapter en 2016. Il y eut deux saisons de la série télé, deux films récapitulatifs, des épisodes spéciaux, le long-métrage spin-off Liz et l’Oiseau Bleu, et ce film Chikai no Finale, qui fait suite à la deuxième saison et constitue pour le moment le point le plus avancé dans la chronologie de l’histoire. Le présent commentaire s’intéresse à la franchise dans son ensemble.

Le récit suit le parcours de Kumiko Ômae, qui débute sa scolarité au lycée Kitauji de Kyoto, avec l’objectif de prendre un « nouveau départ » après une fin de collège difficile. En effet, Kumiko pratique la musique depuis qu’elle est petite et faisait partie de la fanfare du collège, et a même participé à des compétitions locales. Elle n’est cependant pas parvenue à accomplir grand-chose, et a quitté ses anciens camarades en mauvais termes.

Le lycée Kitauji dispose lui aussi d’un ensemble à vent, mais depuis plusieurs années les performances sont médiocres. Kumiko décide néanmoins de rejoindre le club, et se fait rapidement de nouvelles amies. Elle retrouve également Reina Kôsaka, une trompettiste de génie qu’elle avait connue au collège.
Mais le grand bouleversement pour Kumiko ainsi que les autres membres de la fanfare, c’est l’arrivée du nouveau professeur de musique Noboru Taki. Compétent, strict et passionné, il ambitionne de former la fanfare du lycée Kitauji pour concourir au niveau national. Pour Kumiko, il est temps de reprendre en main son instrument de prédilection, l’euphonium…

Les deux saisons de la série racontent la première année de Kumiko au lycée, et le parcours de la fanfare ainsi que ses membres. Les films Chikai no Finale et Liz et l’Oiseau Bleu se situent alors que Kumiko est en deuxième année, tandis que la troisième saison à venir relatera l’année de terminale de Kumiko pour conclure le cycle.

Pour parler de cette saga, et des raisons pour lesquelles elle a autant marqué ceux qui l’on vue, je dégagerais trois angles principaux. Le premier c’est la manière avec laquelle la série parle du groupe en tant que personnage principal. Certes le scénario est raconté du point de vue de Kumiko et ses plus proches amies mais ce que l’anime raconte c’est surtout la manière avec le groupe avance, ses dynamiques internes et sa progression. Le principe même de l’orchestre c’est l’harmonie, les différentes partitions qui se joignent pour former la musique ; et il suffit d’un élément qui détonne pour ruiner la symphonie. En vérité ce que cherche à raconter Euphonium aurait pu être placé dans n’importe quel type de groupe, une équipe de sport par exemple, mais le choix de s’intéresser à la vie d’un orchestre est doublement pertinent dans cette idée de mettre en scène le groupe, l’ensemble, et d’étudier comment les individualités fortes vont l’orienter dans l’une ou l’autre direction.

La première de ces individualités est celle du professeur, Taki-sensei, qui va pousser les élèves vers toujours plus de travail et de performance. Ses motivations personnelles sont explorées au cours de la série, et malgré sa forte ambition et son caractère strict, il dégage aussi une certaine aura de bienveillance qui pousse les membres à se dépasser (le doubleur Takahiko Sakurai, habitué des rôles de méchant, est ici dans un contre-emploi remarquable). C’est probablement un des meilleurs personnages de prof que j’ai vu dans un anime japonais, qui n’est pas peu dire vu le nombre d’anime se déroulant dans le milieu scolaire. L’autre individualité est celle de Reina, la trompettiste géniale qui se sert de l’orchestre comme tremplin vers son propre rêve de carrière, jusqu’au moment où son talent va entrer en conflit avec les règles établies au sein du groupe et créer un des premiers gros points de tension. La dernière individualité est évidemment celle de Kumiko, qui est différente des autres puisqu’elle n’a pas d’ambition personnelle au-delà de, justement, maintenir la cohésion du groupe - ce qui va l’amener à plus ou moins de mêler des affaires personnelles de tout le monde, et à prendre de plus en plus de responsabilités au sein du club jusqu’à une ultime promotion à la fin du film.

L’autre angle de cette série, et le plus important de loin, c’est le travail sur l'écoulement du temps. La totalité de la série est centrée autour de cette thématique ; le temps qui passe, le temps à venir, le temps perdu. Dès le début de la série, on explique à Kumiko que « trois ans ça passe vite » et on pose un compte à rebours sur la tête de notre héroïne. Si elle veut accomplir quelque chose avec la fanfare, elle ne doit pas perdre un instant, et cela vaut pour tous les autres personnages. Chaque opportunité qui n’est pas saisie est perdue à jamais. A vrai dire, il est assez fréquent dans les séries de ce genre d’aborder cette question du temps compté, mais je trouve que Euphonium est particulièrement anxiogène à cet égard ; l’idée d’avancer vers l’avenir est presque toujours mis en scène de manière négative. Les élèves les plus âgés qui sont contraints à quitter la fanfare pour se consacrer à leurs études, ceux qui pour une raison ou pour une autre ne peuvent pas participer aux compétitions et qui dont perdent définitivement des opportunités de montrer leur progrès, ceux qui se retrouvent forcés de réfléchir à leur futur quand bien même ils n’ont pas vraiment d’idée sur ce qu’ils veulent faire de leur vie. L’effet marche à fond puisque chaque compétition à laquelle participe la fanfare est un moment solennel, une opportunité rarissime de valider le travail accompli qui ne se présente en tout et pour tout que trois fois dans la vie. Néanmoins il se dégage de Euphonium une puissante mélancolie, c’est une série qui parle de jeunes qui se donnent à fond pour leurs rêves, mais en filigrane ce dont la série parle vraiment c’est la naissance du regret.

L’anime est réalisé chez KyoAni par le réalisateur Tatsuya Ishihara, pilier du studio qui y travaille depuis vingt ans, depuis Haruhi Suzumiya (2006) jusqu’à Chûnibyo (2012) en passant par Clannad (2007) et évidemment Nichijou (2011). Pour être honnête je ne suis pas le mieux placé pour délivrer un commentaire technique abouti sur le studio, que j’ai arrêté de suivre il y a une dizaine d’années, mais ce que je peux dire c’est que le « style KyoAni » c’est d’abord et surtout une méthode de production. C’est un studio qui a pour particularité de gérer tout le processus créatif en interne, et limite la sous-traitance au maximum. Isolé géographiquement des autres studios japonais par sa localisation à Kyoto (là où la plupart des gros studios opèrent dans la région de Tokyo), c’est une structure qui cultive ses propres idiosyncrasies, garde le contrôle sur ses processus de création, forme ses propres artistes et promeut une culture d’entreprise saine et respectueuse de ses employés, en comparaison des usines à animes qui sont obligées de recruter des animateurs sur Twitter parce qu’il n’y a plus assez de professionnels prêts à supporter les conditions de travail exécrables de l’industrie.

KyoAni a toutefois subi quelques coups durs ces derniers temps. Sur les quatre réalisateurs historiquement les plus réputés de la maison (Ishihara, Takemoto, Yamada et Ishidate), deux ne sont plus là ; Yasuhiro Takemoto est décédé avec d’autres animateurs dans le terrible incendie criminel de 2019, tandis que Naoko Yamada a quitté le studio juste après la sortie de Liz et l’Oiseau Bleu. On ne peut qu’espérer que la relève est en marche et que de nouveau talents émergeront pour poursuivre cette démarche hautement utile dans une industrie qui privilégie clairement la quantité à la qualité.

C’est cela qui m’amène vers le troisième angle de Euphonium, la particularité de sa mise en scène, c’est le sens du détail. Quand je me souviens des animes qui m’ont fait adorer KyoAni il y a dix ans, les trucs comme Hyouka et Nichijou, ce sont des animes certes extrêmement aboutis techniquement mais également très stylisés, très anime, faits par des fans d’animation pour des fans d’animation. Pareil pour des séries telles que K-On qui infusent le plus de style et de performance technique dans des histoires triviales, parce que l’animation en elle-même est un aboutissement.

Euphonium propose une démarche radicalement différente. L’animation vient souligner la profondeur des émotions des personnages, ce regret naissant dont on parlait plus haut. Le character-design est très précis, l’animation est moins dans la mimique gratuite et plus dans la précision du musicien dédié à son art. Les gestes sont clairs, les attitudes nettes, toutes les ressources du studio ont été mobilisées pour retranscrire la dextérité des personnages. Le fait que la totalité des instruments de musique aient été dessinés à la main, et animés comme tels, est un accomplissement qui restera dans les annales du média.

Ce sens du détail se retrouve dans la mise en scène. En l’absence de stylisation excessive, l’anime se retourne vers des méthodes de storytelling plus classiques, par les jeux de caméra et de cadrage. Dans Euphonium les intrigues se développent par un regard en biais, un plan qui s’étend une demi-seconde de plus que nécessaire ou au contraire un contre-champ qui en dit plus que ce qu’il n’y paraît. C’est une série qui demande une attention constante du spectateur, qui ne doit pas perdre une miette de l’anime de la même manière que les personnages doivent consacrer chaque seconde de leur temps imparti à accomplir leur objectif.

Pour être honnête, le film Chikai no Finale est un peu en dessous du niveau des deux séries ; ces dernières racontaient la première année de Kumiko sur deux cours tandis que ce film relate la deuxième année en une heure et demie à peine. Forcément il y a de la contraction, et certaines des intrigues impliquant les nouveaux personnages sont rapidement survolées. De plus, beaucoup des dilemmes personnels de Kumiko, Reina et les autres ont été assez largement traités dans la série ce qui laisse le film avec moins de carburant pour tenir la route ; ce qui explique peut-être le choix de raconter cette partie de l’histoire sous forme de film plutôt que d’en faire une série. Cependant, je suis assez confiant que la saison 3 qui est prévue en 2024 et qui devrait clôturer le récit sera particulièrement forte.

Euphonium est un exemple parfait de ce l’on appelle le « seishun drama », ce récit de l’adolescence et de ses tourments, abordé sans excès ni voyeurisme, restant toujours dans un degré d’émotion soutenue et une tension sourde comme une note qui serait tenue au-delà du raisonnable. C’est une série que je trouve aussi très angoissante et qui laisse sur un malaise existentiel, ce n’est pas le genre de production que je serais capable d’encaisser en haute quantité. Toutefois si vous ne l’avez pas encore vue, je vous recommande très fortement cette saga qui démontre toute la puissance émotionnelle de l’animation japonaise, pas de manière brutale et écrasante comme un coup de canon, mais avec l’élégance du violoncelliste qui caresse élégamment la corde sensible.

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Rhyvia
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Re: [Anime] Sound Euphonium - pom, pom, pom, pooom!

Messagede Rhyvia le Mar 26 Juil 2022, 16:23

Je suis trop heureux que la série t'ai plu, surtout qu'on à l'air d'y avoir vu à peu près la même chose. J'aurais peut-être pas autant centré sur le regret que l'angoisse de l'avenir, de l'impossibilité de s'accomplir dans l'aliénation du travail, que sur le regret et le mélancolie, mais juste parce que c'est justement ce que fait Ookiku Furikabutte. Mais ce sera un plaisir d'en parler en détail un de ces jours, surtout quand tu vas dire beaucoup de mal de Mizore et que je vais devoir la défendre.

Je serait tenté de la revoir vu que ces derniers temps je voulais parler de récit de "soin", de restauration en fait, pour parler d'Ayashimon qui s'est dégagé du Jump alors que Jigokuraku va être adapté (vu que c'est le même auteur) et je trouve Euphonium rentre bien dans ce thème.
Ce serait sûrement le moment de mater Dororo aussi.

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