Tiens, une bonne chose a savoir. C'était étonnant qu'une telle citation puisse venir du staff (mais pas impossible), je suis content qu'elle est pu insufflé quelque seconde de sagesse dans la série.Zêta Amrith a écrit:Quant à Aldnoah Zero évoquant la guerre comme outil de négociation, ce n'est qu'une paraphrase de la célèbre citation de Clausewitz "La guerre est la poursuite de la politique par d'autres moyens", pas une réflexion de l'équipe, qui en est bien incapable.
Je n'omet rien du tout (si ce n'est le nom du personnage).Zêta Amrith a écrit:Ce que tu omets bien sûr de dire, c'est que l'idéal naïf de XXX dans Argevollen, à savoir une guerre sans morts militaires, n'est pas partagé par les autres personnages (Samonji le réfute immédiatement) ni par l'armée d'Arandas. Ta critique porte donc sur les vues isolées d'un personnage apparaissant dans un unique épisode de la série... personnage dont on peut interpréter deux scènes plus tard qu'il est devenu au moins en partie un rat de laboratoire, qui tente de raccrocher une noble utilité à ses souffrances, aux objectifs guerriers. Bref, cantonner le personnage à sa simple ingénuité moe, c'est faire fi de sa position.
Tout d'abord, juste pour clarifier, Samonji ne réfute l'idéal de la nana qu'en balançant une énormité encore plus grosse. S'il ne partagera probablement jamais son idéal, il l'accepte quelques jours plus tard (probablement pour le bien de celle-ci).
Ensuite, peut importe que Samonji ou l'armée ne partage pas sa vision. C'est le personnage que je critiquais de même que le poncif que nous servent les scénaristes à court d'idée (c'est du niveau d'un Kira de Gundam Seed). L'impact réelle de l'idéal du personnage sur la série est proche du zéro absolue, heureusement.
Je n'ai pas vraiment la même vision que toi sur la relation entre l'idéal et la souffrance.
Est-ce que c'est la douleur des expérience qui la pousse à se raccrocher au moindre espoir, ou bien est-ce son idéal de départ qui la pousse à persévérer. Cela peut semblé identique, mais ça ne l'ai pas.
On nous dit que les autres candidats ont abandonné, ce qui me fait pensé qu'elle avait le choix d'arrêter et donc souffre pour son idéal et non l'inverse, ce qui rend alors le personnage d'autant plus tête à claques.
Maintenant, si "abandonner" signifie en réalité "exécuter", ta version prend un peu plus de sens.
Pour l'instant de ce qu'on en sait (uniquement via la propagande adverse), l'ennemi cherche à libérer un peuple qui n'a rien réclamé et qui ne semble même pas oppressé ... plutôt mince comme justification. Après ce n'est que de la propagande, et je ne serais pas surpris qu'un objectif se cache derrière ... fusse-t-il juste être "dominer le monde" (le degré zero de l'objectif).Rhyvia a écrit:la nature même du conflit est plutôt banale et parfaitement crédible
Les causes d'A/Z, sous couvert de "Mars supérieur à la Terre", n'est finalement qu'une volonté de s'approprier les ressource du voisin. Raison on ne peu plus crédible puisque cause de nombreuses guerres dans la réalité.
C'est un point ou j'ai toujours eu du mal, et c'est aussi pourquoi j'ai ramené ta précédente citation sur le terrain du budget. Il faut dire que je ne suis qu'assez peu les déclarations du staff d'avant diffusion.Rhyvia a écrit:Et je parlais pas seulement de budget mais aussi d'ambition.
[...]
sa modestie en fait finalement un de ses atouts principaux.
Est-ce que ces derniers ont vanté A/Z comme la révolution de l'anime mecha ? Est-ce qu'ils ont cité des référence de la japanim en disant qu'ils allait faire aussi bien ? N'ayant pas suivi, je ne connais pas les ambitions de la série.
De la même manière, est-ce que le staff de Arge à déclaré quoi que ce soit qui atteste d'une certaine modestie ? ou bien est-ce simplement un anime réalisé avec les moyens qui leur sont offert ?
Je peux me tromper, puisque encore une fois, je ne suis que peu les déclarations du staff, mais j'ai parfois l'impression qu'on attribue des ambitions ou de la modestie à des série qui n'en ont jamais eu la prétention, simplement en fonction de leur budget.
Attention, un récit spectaculaire n'en fait pas un bon récit. Juste qu'un récit spectaculaire, que je qualifierai de "pop-corn" se consomme facilement et sans arrière pensée.Rhyvia a écrit:Je suis plutôt de l'école qui veut qu'un récit simple bien raconté vaut mieux qu'un bon récit (ou un récit spectaculaire pour reprendre tes mots) mal raconté.
Pour ma part, je suis de l'école de ceux qui préfère un mauvais récit pimenté par de l'action abracadabrantesque et une technique de haute volée, qu'un mauvais récit, sans surprises et servit par une technique terriblement faible (inutile de dire de quel anime je parle dans chacun des cas ;p).
Le piment, ça masque le gout, le bon comme le mauvais.