Cet anime nous raconte les "exploits" du Eyeglasses Club se déroulant dans l'un des lycées de Sabae, ville renommée pour ses lunettes. Le président Akira Sôma est un garçon rempli d'une énergie impressionnante, entièrement dévouée à l'univers des lunettes. Il pousse sa passion à séparer le monde en trois catégories : ceux qui portent des lunettes, ceux qui n'en ont pas et les filles. Pour lui, les lunettes bouleverseront un jour le monde ! Elles commenceront par changer la vie des lycéens attirés par les jeunes femmes. Le Glasses Club compte d'ailleurs prendre une grande part dans ce brillant projet. Malheureusement, entre le rêve...
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Et la réalité...
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Il y a une grosse marge.
Pourtant, rien ne peut décourager Akira Sôma, le bouillant président du club. Ni les explosions, ni les échecs, ni les bizarreries de ses collègues, RIEN ne peut l'arrêter ! Après plusieurs désillusions, une première occasion s'offre aux membres du Eyeglasses Club d'atteindre leur but. Vont-ils y parvenir ?
Au cours de ce premier épisode, nous croisons tous les membres du Eyeglasses Club, ainsi que quelques personnages secondaires. On comprend très vite qu'Akira et ses comparses sont plongés dans leur délire, ils ont la foi et leur activité débordante semble dédiée à ce projet...
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ou éventuellement à l'amour des choux à la crème.
Il n'y a pas de recul de la part des héros, de petit côté blasé ou désabusé... Non, ils sont à fond dedans. Le recul vient parfois de leurs proches, mais on sent une certaine sympathie envers des efforts enthousiastes et quelque peu délirants.
L'univers graphique est très inspiré de celui de Soubi Yamamoto, même s'il est plus classique que celui de ses animes indépendants : Kono Danshi, Uchū-jin to Tatakaemasu et Kono Danshi, Ningyo Hiroimashita. On retrouve ses couleurs pastel, acidulées, qui rappellent un paquet de bonbons à dévorer. La mise en scène sait se montrer surprenante, entre les décors flashy, les personnages et les foules très "symbolisés", la place des onomatopées, la mise en scène BD/manga... Cette originalité désarçonnera sans doute une partie des spectateurs, mais c'est justement ce que j'espérais retrouver dans cet anime.
ça se rapproche à Danshi Koukousei no Nichijou (je n'ai vu que l'épisode 1 mais dans l'esprit c'est pareil) avec des gars vraiment extraordinaire et excentrique. L'intro est énorme, ainsi que l'OP. Mais le plus intéressant c'est la réalisation. La première série de Yamamoto Soubi et c'est beau, on reconnaît bien son style et les effets de styles. Ça ressemble beaucoup à ses oavs de la série "kono danshi". Très grosse surprise, car je ne m'attendais pas à ça et je signe pour la suite directe 
j'ose plus aller sur tumblr tellement c'est ridicule 
) se renvoyant la réplique et repérant toujours les coups tordus.