de Tetho le Mar 29 Oct 2013, 18:12
Saga > cette illégitimité sociale est quand même assez difficile à croire quand Bandai (?) organise des tournois mondiaux avec des moyens visiblement assez conséquent, que le lycée a un club de modélisme qui assemble des Gunpla ou un Yamato et dont les combats organisés dans le gymnase attirent plusieurs dizaines de lycéens passionnés, et les filles trouvent que justement le fait que Yûki soit fan de
Gundam fait aussi son charme. On est loin de
Gunota no Onna et son héroïne persécutée parce qu'elle aile
Gundam.
J'aimerais aussi signaler que pour le moment, à part peu-être Sei mais encore, tous les personnages qui font du gunpla semblent plus s'intéresser à Gundam pour la composante maquette que pour l'œuvre en elle même. J'attends encore un moment où deux persos discuteront des animes pour leur intrigue et non pour les MS qui y apparaissent. Aussi cools que puissent être les GM d'Izubuchi
(ils auraient mentionnées la scène de l'attaque de la base arctique par Iso, tout aurait été pardonné).
Et tout ça ne change rien au coté ridicule de cet épisode où on a tous les clichés misogynes possibles, jusqu'à Reiji à la fin en mâle conquérant qui va la tirer de son erreur et lui apprendre le plaisir des gunplas. Et on peu étendre le constat aux autres personnages féminins, Kôsaka n'achète un gunpla que pour se rapprocher de Sei, et on sait qu'elle montera un Bearguy qui n'est pas la MS la plus légitime qui soit, et la mère de Sei, elle gère un magasin ne vendant des maquettes
Gundam depuis la disparition de son mari mais de ses propres mots "n'y connait pas grand chose". La série est relativement ridicule, mais cet aspect là est pas loin de toucher au consternant.
Schum >
le kit pour débutant avec le Gundam contre un Zaku II. Plus classique tu meurs.