Manga/Anime : PARASITE de Hitoshi Iwaaki

[asakura]

Je reviens aujourd'hui suite à ma relecture de la série. Série que j'apprécie toujours autant.

La série tourne autour de Shin'ichi un lycéen de 17 ans tout ce qu'il y a de plus normal, relativement effacé, au physique svelte et amoureux secrètement de son amie d'enfance Murano. Par une nuit étoilé, de mystérieuses coques tombent du ciel libérant d'étranges vers. Ceux-ci s'emblent être le vaccin envoyé par une force supérieure sur Terre pour lutter contre les Hommes, un mal qui dévaste petit à petit sa propre planète. Les vers ont alors pour but de s'emparer d'un maximum de corps humains en dévorant une tête puis en la remplaçant. Les capacités de ces parasites pouvant rendre maléable leur propre corps afin de leur donner n'importe qu'elle apparence allant d'une image humaine normale comme de lames terriblement tranchantes qui sera par ailleurs leur meilleure défense.
Shin'ichi se révèle donc être l'une de ces victimes. Ne parvenant cependant pas à s'emparer de la tête, l'être s'infiltre dans le bras du jeune homme et décide de s'en emparer. L'étudiant devra donc cohabiter avec cet être qu'il a lui-même nommé Migi (main droite) survivant grâce à cette relation Hôte/parasite. Rapidement des "boucheries" apparaitront, des meurtres sanglants trahissant la présence de ces extra terrestres se nourrissant des hommes.


J'affectionne tout particulièrement ce seinen depuis bien longtemps. Bien qu'il possède un dessin très particulier, assez vieux, l'auteur se montre très efficace dans ses planches. Certains décors sont d'ailleurs bien détaillés et très sympas comme dans les derniers tomes se déroulant en forêt. Il parvient de même à exposer des personnages bien expressifs. Le scénario en lui-même est réfléchi mais surtout réaliste. Réaliste dans la réaction des personnages principaux comme secondaires et dans les évènements qui se succèdent. Les personnages surtout sont les points forts de cette histoire chacun plus ou moins attachants. Par exemple Kana, clairement tête à claque qui refuse systématiquement de suivre les recommandations de Shin'ichi car pense être capable de reconnaitre son "Chevalier blanc". Certains évènement sont ainsi clairement prévisible comme

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lors de la mort de ce personnage

mais le capital sympathie envers le personnage ne peut nous empêcher de ressentir de la peine.

Le personnage le plus important reste évidemment le héros principal Shin'ichi qui faible et peureux qui connait une évolution des plus importantes. Se sentant de moins en moins humains en raison des évènements qu'il traverse dans l'ombre tandis que ses camarades continuent de poursuivre leur train train quotidien.

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Alors qu'il était un "poids" pour Migy dans un premier temps, perdant son souffle de peur en apercevant d'autre parasites et affaiblissant d'autant Migy. Il s'endurcira au fur et à mesure du récit en raison d'une succession d'évènements. Il cotoiera de plus en plus la mort, la vision de cadavre devenant de plus en plus son quotidien le rendant de plus en plus imperturbable. Ce qui attirera l'attention de ses proches. Egalement la mort de sa mère aura de lourdes répercutions sur sa psychologie. Il parviendra cependant à accorder une véritable confiance à Migy qui risquera sa vie à de nombreuses reprises pour Shin-ichi.

Migy et Shin'ichi finiront par se "mélanger" légèrement. De là, nous suivrons les doutes de plus en plus présent du Héros qui se sent lui de moins en moins humains. De plus en plus impassible à son grand damne devenant même incapable de pouvoir pleurer tandis que dans un même temps il se réjouit de connaitre des capacités physiques qui se renforcent dépassant largement celles d'un être humain normal. Impacte sur son image de soit et sur sa manière d'être.

Ainsi tout au long du récit l'on suit Shin-ichi en proie de plus en plus à ses doutes et sa vie de plus en plus hors normes. Son seul compagnon étant ainsi Migy, son confident, son frère d'armes puis même... son ami.

La fin de la série est ainsi particulièrement forte notamment à la fin du tome 9 où Migy se sacrifie pour sauver Shin'ichi de manière totalement altruiste et désinterresée en retenant Goto pendant que le jeune homme s'enfuit en courant le plus rapidement possible. Prouvant la relation ayant fini par unir ces deux êtres d'espèces différentes dans une estime mutuelle, la séparation ayant plus que bouleversée Shin'ichi.

Pour conclure, comme je le disais PARASITE est une série que j'apprécie énormement. Elle possède un scénario intelligent et adulte avec des personnages attachants. C'est donc une oeuvre que je recommanderais à tous et qu'il faut d'après moi avoir au moins abordé une fois au vu de son intencité.

[Zêta Amrith]

Parasyte 01.
Très bonne animation des personnages, avec un design de Hiramatsu plus actuel et plus... comique ? Sur le fond, c'était pas mal aussi. Adaptation d'un manga de la fin des années 80 oblige, les thèmes et angles choisis correspondent plus à l'idée que je me fais de l'ADN de l'animation japonaise canal historique, celui d'une mutation endémique de la pop-culture américaine. Madhouse est ici à sa place.

[Tetho]

Inô Battle
Je partais avec un à priori assez neutre en fait, le postulat laissant entrevoir une potentiel bonne surprise à la Hataraku Mahô-sama.
Dans les fais c'est Chûnibyô demo koi ga shitai avec LE TWIST DE MER QUIL SON FOU qu'ils ont vraiment des pouvoirs et qu'au lieu d'imaginer les batailles, elles ont bien lieu mais avec des enjeux mineurs du niveau de "la délégué est jalouse". OK, why not.
Sauf que la mise en scène arrive a faire tomber tous les gags, pas mauvais sur le papier, à plat. Il y a un manque de rythme assez frappant qui casse tout. Du coup bof bof bof... c'est milles fois plus drôle chez kyoani.

Sinon les plans de Yoshinari au générique sont cools, par contre j'ai été déçu par les Amemiya.



Parasite (on est tant que ça inféodé au fandom anglophone que vous vous sentez obligé d'utiliser les noms anglais même quand on en a un en français depuis une décénie ?)
Je ne comptais pas regarder, j'ai lu le manga il y a 10 ans, puis on m'annonce que Yoshinari est premier aux gengas.
C'est plutôt réussi. Je salue la mise en scène, assez soignée pour arriver à montrer pas mal de cadavre sans que la censure n'ait à s'abattre sur la série. Le reste des séries d4ark et violentes peuvent en prendre de la graine. Pas super convaincu par l'acting, dans la première moitié de l'épisode c'est assez cata même avec des poses super marquées et exagérées.
Bonne idée sinon que d'ouvertement actualiser le contexte à coup de smartphone, internet et tablette, sans que ça ne change quoi que ce soit pour le moment. Ça évite les ambiguïté à la Sailor Moon. Par contre le père qui s'inquiète que son fils prenne de la drogue où la mère qui sert le repas derrière le comptoir nous ramène directement aux années 90.
Pour le moment je vais suivre.

[Windspirit]

C'est juste le y qui est une lettre staïlée.
En anglais aussi ça s'écrit parasite à la base.

[Tetho]

You missed the point.

[inico]

Parasy(i?)te 1
Je ne connaissais le manga ni de thème ni d’esthétique, et j'ai trouvé bien des qualités à ce premier épisode. Proprement réalisé et animé (bien faits, les passages mettant en scènes des matières polymorphes, bien que j'en ai voulu plus de folie - on n'est jamais satisfaits ^^), un design des personnages arrivant à trouver l'équilibre entre un certain classicisme et modernité.
L'ambiance est un peu curieuse, navigant entre horreur - bien gérée comme signalée par Tetho - et humour, difficile de déterminer de quel côté va pencher la balance mais assez accrocheur bien pour que je fonde de sérieux espoirs sur cette série.

on m'annonce que Yoshinari est premier aux gengas.

Le cadet ou l'aîné de la fratrie ?

[inico]

Petite baisse côté animation pour le second épisode Parasyte. Pourvu que la suite reprenne le niveau du premier. Reste que l'ensemble est assez bien réalisé et maîtrisé pour être digne d'intérêt et marie habilement humour et terreur.
Je croise les doigts pour la bonne pioche de la saison.

[Zêta Amrith]

Parasyte 03.
L'Okada a raison, c'est un titre intéressant. L'animation a baissé de deux crans depuis le premier épisode, mais c'est insuffisant pour ôter son charme retro-horrifique au récit. La seconde moitié, qui met en place les conditions du combat à venir avec une lenteur accentuant la présence de la menace, est conçue avec la précision d'une horloge suisse. Simple, bien intentionné sans être un idiot, le héros est suffisamment attachant pour que l'on se préoccupe de ce qu'il en adviendra. Cela faisait assez longtemps qu'on ne nous avait pas servi une saison aux auspices à ce point encourageants et aussi variée.

[Milo]

L'épisode 6 de Parasite est assez envoutant, fascinant. Pour moi qui n'ai pas lu la mangasse au-delà du vol.1, le changement de ton est... hypnotique. C'est bien

[inico]

L'épisode 6 de Parasite est assez envoutant, fascinant. Pour moi qui n'ai pas lu la mangasse au-delà du vol.1, le changement de ton est... hypnotique. C'est bien

Une bonne partie de réponse apportée au look de Shin'ichi que l'on voit lors de la fin de l'op.
Intéressant de constater dans cette épisode

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la "fusion" entre lui et Migi, voir même un quasi inversement des rôles avec un Migi qui se pose des questions humaines là où Shin'ichi sombre dans un pragmatisme bien plus basique "éliminer l'ennemi". La phrase de sa camarade Satomi adressée à Shin'ichi ("reviendras-tu ?") est d'ailleurs assez lourde de sens.

Pas de surplace en tout cas et du tout bon pour la suite j'espère ^^.

[Zêta Amrith]

L'épisode 6 de Parasite est assez envoutant, fascinant.

Le 07 est assez bien mené aussi. Cette série est intéressante car elle tire sa force d'une juxtaposition ambivalente de scènes horrifiques et légères, un lunatisme qui d'habitude affaiblit l'écrasante majorité des anime en donnant le sentiment que la production mange à tous les rateliers ou bien ne sait pas quelle personnalité défendre. Mais là, on est souvent perplexe quant à la séquence qui se déroule, ne sachant pas tout à fait si elle est voulue atroce ou parodique, et cette incertitude construit la série.

[Zêta Amrith]

Parasyte 14. Toujours bien foutue, avec cette fois un aparté de sociobiologie animale, très à propos eu égard au "thème" de la série. 80's oblige, des dialogues logiques, des personnages cohérents, tout ce qui disparaît maintenant que l'industrie est dirigée par des freaks pour des freaks. La composition musicale n'est pas des plus appropriées mais ce n'est pas un domaine-gouvernail.

Et puisque c'est ici le topic sur lequel on l'a évoquée, juste une confirmation au passage : c'est bien Yuji Naka en personne qui doublait la voix du Professeur Asobin dans Sega Hard Girls. Truc de gouf.

[Aer]

J'ai commencé à regader Kiseijû du coup. C'est vraiment chelou sur les bords. Je trouve ça intéressant, voir très intéressant vu la quantité de possibilités, mais je m'attends pas à des révélations incroyables quant au pourquoi du comment.
En tout cas le duo Shinichi/Migi me fait bien délirer.

(l'op est une horreur, trop de vocoder tue le vocoder)

[inico]

"oldies but goodies" comme on dit parfois

Mais pas que.
L'épisode 21 de Parasyte remonte le niveau d'un cran comparé au bourrinage des précédents. Même s'il y reste des maladresses, comme ces bavardages que j'ai trouvé souvent inutiles, car trop explicites et de l'ordre de la redite.
L'épisode rappel aussi à quel point le personnage de Murano a été tout au long de la série sous-exploité.
Reste un épisode plus que correct et bien réalisé qui laisse à nouveau entrevoir un espoir que la série se termine (plus que 3 épisodes) honorablement.

[Tetho]

Abandonne tout espoir, l'arc final est vraiment en dessous de tout. Sauf réécriture massive, ça sera la même fin "mouif" que le manga.
(no spoil de l'anime)

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La mort d'Hirokawa est le point d'orgue de l'histoire, dommage que l'affrontement final avec Gotô ne se passe pas en parallèle pour finir là dessus, ça aurait été une fin vraiment forte. A la place, ben tu verras bien.

Et oui, Satomi est vraiment sous-exploitée. Il aurait été bon qu'à un moment (idéalement après la mort de Tamura) elle apprenne pour Migi afin de voir comment elle réagit.

[Aer]

Pas vraiment sous-exploité, mais un peu trop girouette à mon gout la Murano. Un coup ça va, un coup ça va pas... A la longue elle tourne en rond dans son indécision.
Vu les derniers épisodes, je m'attendais pas à une fin aussi simple en effet, et on sent bien que ça va finir en duel entre les deux. Mébon, on va pas bouder son plaisir.

Après, bourrinnage, bourrinnage, faut pas exagérer, les 18-19 avec Tamiya Ryôko étaient plutôt fins.
(surtout que le 21, voila le carnage :p)

[George Isaac Newton]

Abandonne tout espoir, l'arc final est vraiment en dessous de tout.[/spoil]

Pourtant, j'en garde plutôt un bon souvenir du final de Parasite.
Spoil mangasse.

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C'est bien le moment du massacre chez les écolos et le duel désespéré entre Schinichi et Goto dans la décharge ? Je me souviens que l'intrigue du serial killer vient s'intercaler quelque part. D'ailleurs il tardait tellement à apparaitre que je pensais que l'anime passerait son intervention sous silence. Et dans mes souvenirs persistants de la version papier, Murano passait l'arme à gauche , mais j'ai vraiment l'impression que je confonds avec Gantz.

Enfin, bon, ma lecture de la chose date.

Sinon d'accord avec Aer le bourrinage n'est pas si prononcé, les passages boucherie/charcuterie avec Tamiya étaient soignés et avec des tactiques bien pensées.

Par contre,

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L'épisode ou les policier en font de la dentelle pendant 10 minutes c'était limite ridicule, surtout avec la mort d'Hirokawa juste avant qui était dramatique à souhait.

[Tetho]

Spoil Parasite manga

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Je trouve l'arc final très poussif. Encore une poursuite dans les bois avec Gotô, puis Shin'ichi qui perd Migi, le retrouve, puis Migi qui va dormir pour un moment, puis en fait non il reste un peu éveillé... Faut se décider.
J'ai vraiment du mal à voir ce que l'auteur voulait raconter là, pour moi il ne savait pas comment finir et a un peu improvisé. D'autant que le dernier incident avec Murano est vraiment, mais vraiment pas très bien amené. Coupler la révélation de la mort d'Hirokawa avec le duel final m'aurait semblé une fin plus satisfaisante. Et ensuite une courte conclusion pour les personnages qui ont survécus.

[Zêta Amrith]

Parasyte 22.
Dommage que ce soit écrit n'importe comment et que Migi se découvre une sentimentalité sortie de nulle part sans aucun développement préalable. C'était trop difficile de caser deux tirades dans les Episodes 20 et 21 pour entamer l'évolution ? L'amateurisme de cette culture jusqu'à ses prod' les moins indignes.

[Jehros]

Parasyte 22.
Dommage que ce soit écrit n'importe comment et que Migi se découvre une sentimentalité sortie de nulle part sans aucun développement préalable. C'était trop difficile de caser deux tirades dans les Episodes 20 et 21 pour entamer l'évolution ? L'amateurisme de cette culture jusqu'à ses prod' les moins indignes.

// Spoils potentiels sur le 22 //
Ce n'est pas illogique, à mon sens. On a vu précédemment que des parasites se découvraient des réactions qui ne leurs étaient pas innées, et c'est la première fois, il me semble, que l'on aborde pleinement le point de vue de Migi. Il y a même une réplique dans le 21 où Shin'ichi s'interroge sur une réaction inattendue de celui-ci.
Autant le nombre de répliques didactiques pourrissant la narration est une chose facilement reprochable à la série (ne serait-ce que dans ce même épisode 22, quand Migi ouvre un œil), autant là je trouve la scène justifiée. Pas vraiment forte sur le plan émotionnel (difficile de croire à sa mort), mais pas sortie de nulle part non plus.

[Zêta Amrith]

Le sujet n'est pas de savoir si c'est logique, la logique étant à la portée de n'importe quel débile, le sujet c'est qu'il n'y a ni exécution ni traitement, soit aucune progression graduée amenant à ce comportement. Ce zéro là niveau story-telling - ou bien 10/10 en spécialité Tomino - est ce qui distingue un touriste d'un scénariste. C'est impardonnable, dans le cas présent, puisqu'il s'agit d'une adaptation d'un vieux manga, et qu'il était permis de facto d'anticiper tout cela bien en amont.

[Jehros]

Si on part du principe que le sens ne peut passer que par les mots, sans doute, oui. Mais par la seule adoption du point de vue de Migi et par les faits cités précédemment, le passage fait sens et n’a pas le moindre besoin de répliques ou de développement supplémentaire pour être ressenti comme tel. Ça fait bien longtemps que l'on peut supposer que Migi possède une sentimentalité, et que cela se confirme ici n'est en rien surprenant ou dérangeant.
Quant à savoir si le fait d’adopter soudainement son point de vue est pertinent ou non, j'ose penser que ça le sera à l’aune de ce qui va suivre. Pas lu le manga, donc ce ne sera peut-être pas le cas, mais en l’état l’existence de cette scène ne nécessitait pas vraiment d’être plus développée en amont.

[Zêta Amrith]

Avec ou sans répliques, c’est la même chose dès lors que cette transformation psychologique nous est montrée après deux épisodes complets (les seuls) durant lesquels Shinichi et Migi ne font rien sinon regarder un écran, réduits au rang de figurants. Il n’y avait simplement aucune raison que cela arrive maintenant, en-dehors du fait de tenter d’arracher à quelques minutes de la fin de l’anime une séquence-émotion qui ne peut pas fonctionner tant elle tombe comme un cheveu sur la soupe. En fait, ils ont probablement sabordé ce qui devait être la scène la plus importante de la série en l’imbriquant n’importe où et n’importe comment. Le tout pour mettre en valeur un sacrifice désamorcé juste trois enjambées plus tard, c’est-à-dire pour rien. Vingt minutes d’erreurs.

[Jehros]

Si ça arrive maintenant, c'est parce que la séquence laissait à penser que ça ne pouvait plus se faire après, vu son issue. Mais voilà oui, le problème tient plus à la structure des derniers épisodes qu'à la scène en question. J'ai trouvé que c'était dans le prolongement de la mélancolie véhiculée par la dernière scène de l'épisode 21. Hâte de voir le ton adopté par l'épilogue.

[inico]

Plutôt d'accord avec Zêta sur le fait que la fameuse scène avec Migi tombe un peu comme un cheveux sur la soupe. Ce qui du coup retire à la fois crédibilité et l'émotion que cette scène aurait méritée. A la place, reste le sentiment d'un passage d'un nekketsu quelconque, avec des tirades sur l'amitié et le sacrifice.
J'ai par contre apprécié la seconde partie de l'épisode qui offre alors un véritable story-telling, bien que rapidement, exécuté. De même que par la présence de

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ce "monstre dans la forêt"

, classique poncif du film d'horreur,donne une nouvelle tension bienvenue.