de chevkraken le Jeu 23 Oct 2014, 19:50
Tiens pour ça, j'y pense
Ileca a écrit:La première saison souffre du syndrome Toradora de la série télé qui se sent obligée d'exprimer un message pour acquérir légitimité en tant qu'oeuvre, pour s'anoblir en quelque sorte et dépasser le statut de simple (love) comedy, statut jugé trop superficiel.
La grosse difference avec le cas Toradora, c'est que dans Chunibyo, on voit très vite où ça va mener, dès l'épisode 4 on a des premices annoncant l'évolution de la série. et au final, la moitié de la série c'est l'évolution de Rika, comment elle est arrivé à ça et comment Yuta va être a ses côtés
Toradora reste les la majorité de la série avec des perso ayant plus une relation frère/soeur et étant chacun amoureux d'autres personnes. et la série se precipite sur la fin pour faire accepter une relation qui parait forcé rushé et peu naturel. La Pathos servant a forcer davantage les choses et de justification bidon.
Après, j'ai ressenti le syndrome Toradora sur la saison 2 et l'utilisation de la rival se positionnant comme tel trop tardivement dans la série et traité tout aussi rapidement et donc on n'y croit pas
.[
l'anti-fan vous attend. Ne vous laissez pas aveugler par l'amour que vous portez à vôtre œuvre fétiche, il ne vous le pardonnera pas.
Mais attention, ça ne l'empêche pas d'être un fanboy de Vanellope von schweetz!!!