
Manga sorti au Japon avant Sidooh, Bakuon Retto viens de sortir chez Kana sous nos lattitudes. Kaze Takashi est un garçon un peu trop agité s'étant fait exclure de son ancien collège. En entrant dans son nouveau collège, Kaze se fait rapidement des amis (grâce à sa réputation) et réveillent ses vieux démons. C'est en les fréquentant qu'il découvre le mouvement bosuzoku (désolé si l'orthographe est pas la bonne). Se passionnant de plus en plus pour les courses de motos en bande, Kaze empruntera la route de la délinquance.
Que retenir de ce premier volume de Bakuon Rettô ? Déjà, graphiquement, on est pas depaysé, on retrouve le trait singulier de Tsutomu Takahashi qui arrive à donner des expressions de visages à ses personnages, juste classes au possible. Au niveau de l'histoire, c'est classique mais diablement accrocheur, on rentre immédiatement dans l'histoire et on se prends vite de sympathie pour cet univers et pour ses personnages a tel point que je n'ai pas vu le temps passer durant la lecture de ce tome 1 qui fait tout de même 240 pages.
Bakuon Rettô démarre donc sur les chapeaux de roues (c'est le cas de le dire

Le volume 2 étant sorti aujourd'hui, je le lirai et le critiquerai demain mais au vu de ce qu'il y a l'air de se passer, ça m'a l'air d'être encore plus excitant que le Tome 1 (et c'est normal en même temps
