- Le choix du catalogue de l’éditeur, ( scénario + dessin ) j’aime pas les histoires de samouraï « Le sabre de shibito », l’animé de « Red garden » ma déçu, et pour « Gagoze » j’attendais le retour des critiques qui sont pour l’instant très positives, il sera donc le 2 èm titre.
- L’auteur du scénario était déjà crédité sur « ikebukuro West Gate Park » chez Asuka qui était sympa.

Résumé :
Kôji Shima est un jeune homme qui peine à trouver un job. Ses recherches d’emploi le mènent dans le quartier Tokyoïte d’Akihabara, où il découvre le monde des «Otakus», des «Cosplayeuses» et des bars où les serveuses
sont déguisées en soubrettes sexy. Il y fait la rencontre d’un groupe d’adolescents qui ont pour mission de gérer un site internet dont le nom est «Le garde du corps de Yui».
Ce site a pour vocation de protéger le quartier d’Akihabara et ses habitants de tous les problèmes générés par d’éventuels «hackers» mal intentionnés. Kôji, grâce à ses compétences informatiques hors normes, va tout naturellement intégrer cette équipe et donner ainsi un sens à sa vie.
Avis :
Le rapprochement avec « Genshiken » se fait naturellement, mais là ou ce dernier explique le monde des otaku, Akihabara lui se concentre sur l’image véhiculée se permettant même d’accentuer certains aspects. Les héros de l’histoires en sont la preuve avec un « hackeur – hikikomori », un « germaphobe », un « concepteur de figurine » et la « muse ».
Du côté de l’histoire on peut pas dire que ça tienne vraiment la route pour l’instant, Koji se lance avec les autres dans la création d’une entreprise sans même savoir ce qu’elle fera …il cherche un bureau pour produire quelque chose mais toujours sans savoir quoi.
L’aspect de l’aventure, l’excitation, l’impatience, la création de projet peut bien sûr se faire ressentir mais ici ça me semble exagéré.
Côté dessins un poil déçu, la cover est tout simplement magnifique mais pour les planches c’est loin d’être parfait, les visages sont inégaux et les dessins simplistes.
Au final c’est une déception, pour les fans de cet univers, « Genshiken » est là pour eux et pour ceux qui recherchaient quelque chose d’autres, je pense qu’on peut trouver sans problème meilleur ailleurs.