Ils étaient occupés sur un film d'animation slice of life sorti en fin d'année josee, the tiger and the fish... Oui, vous m'avez bien lu, bones sur un film d'animation slice of life. Et là ils croulent sous le travail entre ce eureka seven et le troisième film boku hero academia . Voilà pas le temps de filer un coup de main au studio khara...
Si jamais vous vous demandiez où étaient tous les animateurs de robot 2D qui n'étaient pas sur Senko no Hathaway ou Thrice upon a Time :
Ça sera certainement une impasse narrative, je frisonne déjà devant ces multi-Eureka de dimensions parallèles, et je ne vois pas ce qu'ils peuvent faire après la blague qu'était ANEMONE et sa conclusion. Mais putain que ça a de la gueule. Eureka seveN se construisait en partie sur les codes visuels de l'animation japonaise classique et là ça ne manque pas, plein de plans font mouche. Et si j'en crois les crédits à la fin, et sauf twist de type "c'est le même perso mais enfant", Fujiwara n'a pas pu enregistrer les répliques d'Holland avant sa mort
Quel gâchis quand même, quand une version de 90-120 minutes du prologue du premier film aurait certainement été un grand robot anime classique.
Achieve your mission with all your might. Despair not till your last breath.
Ca continue de donner de l'argent à manger aux chevaux, une habitude qui dure depuis plus de dix ans chez Bones. Il est sidérant d'enrôler de tels animateurs sur des bricolages multiverse ineptes ou des fruits pourris comme Captain Earth.