de MC Alex le Mer 28 Nov 2007, 12:12
Merlin a écrit:Ah parce que dans Goldorak il y a une évolution niveau histoire Jet?
Moi je me rappelle toujours du même schéma narratif.
Actarus ramasse le foin.
Le méchant lance un méchant robot.
Alcor le fougueux se bat contre et se prend une branlée.
Actarus vient le sauver et fou la branlée au méchant robot.
Le méchant est pas content.
Les gentil rient.
Ah zut. On dirait presque les sentai.
Nan j'exagère et il y a une évolution au fil des épisodes c'est sûr. Mais vu le nombre d'épisodes ça reste trèèèèèèèèèès sommaire.^^"
Après moi c'est pas vraiment Goldorak qui m'a marqué mais bien d'autres dessins animés.^^
Alors je vais me permettre de te répondre, car on sent une très nette condescendance dans ton propos, qui, à mon avis, va davantage enliser le débat ...
Que connais-tu du genre sentai ou tokusatsu ? Manifestement pas grand chose, comme pas mal de monde, qui se permet d'asséner appréciations péremptoires sans maîtrise aucune de son sujet.
Le fait que nombre de productions soient dirigée par un certain nombre de principes directeurs n'enlève pas pour autant un intérêt à celles-ci, mais permet de fixer des points de repères au public en premier lieu visé.
Oui, il ne faut pas s'en cacher, il faut notamment pouvoir vendre du jouet, des robots, le principal sponsor (second fabriquant de jouets au monde) finance ces productions.
Réduire ces programmes à l'aspect linéaire de certains de leurs codes ne fait que cataloguer assez peu subtilement ces dits programmes et véhicule des clichés tout aussi détestables, que ceux de manière générale sur le manga et la japanime qu'on réduit au sexe et à la violence, alors que ça ne demeure qu'un phénomène mineur.
Ceci dit, si on parle de goûts, je suis à peu près certain que parmi ceux que tu aurais en référence, on pourrait s'amuser à les descendre, facilement, sans pour autant argumenter valablement, substantiellement sur le fond.
Avant de juger, il faut d'abord comprendre, afin de mieux expliquer et ensuite seulement, on peut développer un propos empreint d'une relative pertinence, d'un recul nécessaire, pour mieux apprécier.