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Animanga : Discussions sur les animés et mangas
Nuance, je parle généralement de la grande salle (en opposition avec les salles du REX 2), comme lors de la projection du 3ème film Madoka (le grand large était censé être un plus mais quand je vois ce que ça donne sur les animées ... je me dis que la grande salle sur écran "normal" c'est finalement très bien ... même si pour le coup je préférerai une autre salle car en dehors de la fosse on est super mal assit).Tetho a écrit:Alors t'as vu quoi sur le Grand Large pour en chanter les louanges à chaque nouvelle annonce de projo Paris Loves Anime ? Parce que là j'ai l'impression que tu le découvres en fait...
Ah ah, la première scène our Maquia se met a crier ... on a partager son supplice >__<MrZ a écrit:Passé le moment où j'ai manqué l'évanouissement à cause du son CARREMENT TROP FORT
Tout a fait d'accord, j'adore les Nuits au Max (même si je tiens rarement débout jusqu'à la fin ;p), et je me rappel aussi de l'avant premier de Fate UBW (la série) qui avait été projetée là-bas.Tetho a écrit:Perso je préfère le Max de l'autre coté de la rue, une bien meilleure salle pour peu qu'on arrive à chopper des sièges dans la mezzanine.
Tetho a écrit:MrZ > J'aime bien ce que tu appelles la nouvelle ville. Déjà le décor de ville médiévale industriel est super mais, surtout, c'est pour moi le moment où le film arrive le mieux à traiter son sujet[Montrer] SpoilerAriel et Maquia sont arrivé à ce point où le premier doit faire croire que la femme qui l'a élevé est sa sœur cadette et il n'arrive pas à l'accepter. Et en refusant cet état de fait il transfert cette frustration sur Maquia et leur relation se dégrade. On est en plein dans le thème des deux personnages qui vivent ensemble malgré que leurs vies aient des temporalités différentes et ça explore la chose à merveille.
C'est aussi là que Lang revient en étant devenu un perso à part entière du récit et en tant que tel est vraiment bon dans le rôle du mentor d'Ariel.
VpV a écrit:Beaucoup de réalisateurs auraient aussi droit à leurs grilles à cocher (Shinkai, Hosoda…), ils ont peut-être la chance de ne plus en être à leur premier film et de ne pas être une femme à un poste-clé, qu'on attend sournoisement au tournant pour lui balancer son passif en pleine figure.
les personnages deviennent des flacons de nitroglycérine émotionnelle avec une sensibilité à fleure de peau et ils explosent au moindre stimulus dans des réactions incohérentes et incompréhensibles
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