Bilan Anime 2017

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Aer
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Bilan Anime 2017

Messagede Aer le Lun 26 Mar 2018, 20:53

Une nouvelle année écoulée, remplie d'animéz palpitants et merveilleux. Il est donc temps de poser un petit bilan, voir un peu ou nous en sommes !

Rappel du règlement : votre top série/OVA/films diffusés du premier janvier au trente-et-un décembre 2017, on se limite à cinq titres dans chaque catégorie maximum et une description du pourquoi du comment.

A vos papiers.
When you dont afraid any sunshine, come on baby !

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VpV
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Re: Bilan Anime 2017

Messagede VpV le Lun 26 Mar 2018, 23:28

Oh, le fou ! il récidive !

À la page comme jamais, je n'ai vu à ce jour qu'un seul anime diffusé en 2017 et il s'agit de :

Tsuki ga Kirei — La dernière comédie romantique que j'avais vue était Kimi ni Todoke, ça date pas d'hier. TommyLoser, le perdant qui gagne à être connu, en disait beaucoup de bien sur son blog ; j'ai donc tenté le coup. Et c'était sympa.
Pour une fois, pas de boobs, pas de pantsu, pas de prétextes et de rebondissements à dormir debout. Tant mieux, on se concentre sur l’essentiel : l'idylle. Par contre, le côté réaliste voire naturaliste des situations et des réactions laisse comme une impression de platitude sur l’ensemble. La case de chaque poncif étant scrupuleusement cochée (le voyage scolaire, le festival traditionnel, etc.), même si le traitement diffère, l’impression de déjà vu demeure. Une réalisation un peu plus dynamique ou de meilleure facture aurait peut-être pu apporter le relief manquant. On retiendra avant tout que cet anime apporte une bouffée d'air à un genre un peu sclérosé, c'est louable.

À l'année prochaine ! Je sais déjà que je ne rendrai pas feuille blanche :24:, j'ai vu Devilman Crybaby (et j'ai aimé moyen).
Dernière édition par VpV le Lun 26 Mar 2018, 23:53, édité 1 fois.

guwange
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Re: Bilan Anime 2017

Messagede guwange le Lun 26 Mar 2018, 23:48

Je pose une liste et j'éditerai mon message avec + de textes.

Déjà VpV, devilman crybaby c'est 2018, donc normalement on ne doit pas le compter à part si vous suivez le calendrier jap qui commence en Avril pour terminer fin Mars.

Je n'ai pas terminé Little witch academia tv , pareil pour Made in Abyss .
Je n'ai pas regardé showa rakugo saison 2 et Uchouten kazoku 2, si je les avais vu , ils auraient eu une bonne chance de terminer dans mon Top 5 , pareil pour Made in abyss qui aurait pu figurer dans ce top 5.
Je n'ai pas vu Inuyashiki, par contre j'ai vu Blue exorcist et attack of titan s2, atom the beginning et boku hero academia 2.

Mon top 5 sans ordre particulier de préférence :

- Kado : Eh oui, une série CGI dans mon top de l'année et c'est mérité tant il propose un traitement + adulte que la moyenne. L'humanité se retrouve devant une situation existentielle et voir l'action se dérouler du côté de la bureaucratie offre un angle intéressant. Même si on n'échappe pas à quelques clichés comme la binoclarde un peu tête en l'air ou le look un peu trop fan-service du l'antagoniste principal, le propos tient en haleine tout au long de la série même si la conclusion est sans surprise...
Entre nous, avec Ronya c'est la seconde fois que je mets un anime CGI dans mon top de l'année.

- Shingeki Bahamut virgin soul : une série qui a des fulgurances mais qui mise sur le mauvais cheval à savoir le duo à l'eau de rose Charioce-Nina, quand Favaro est au centre de l'attention, on ressent tout le potentiel classieux qui explose... Reste une plastique de haute qualité et un univers attrayant qui rend bien à l'écran... ( cf le village des dragons )
- Altair : Une série plutôt bien écrite avec une géopolitique bien énumérée. Les jeux de pouvoir et les coups bas sont de mises. A cela s'ajoute quelques batailles en rang serrés avec tout le côté stratégique et tout son lot de retournements de situation où aucun des deux camps ne sont épargnés...
- Garo Vanishing line : Une série qui ne peut pas exploiter son plein potentiel car plombée par une écriture qui nous a infligé la présence de certains persos soit têtes à claques ou soit sans épaisseur. Au rayon tête à claque, le frère intello uni-dimensionnelle. Sa soeur quant à elle, s'intègre plutôt bien dans l'histoire mais plus ça avance, plus son côté larmoyant fait tâche surtout à la fin, où le grand final aurait pu se passer de cela. Quant au grand méchant, il pèse pas lourd et est à des années lumière de la frayeur que peut nous inspirer le grand méchant de Ushio to Tora.
Si je cite cette série, c'est parce qu'elle a des épisodes qui roxent bien et ça flirte avec tout ce qui nous a fait aimer les années 90, à savoir du monstro-plante kawajiresque, du road movie, du cambriolage à la Lupin, des bolides avec une pincée de Redline et d'autres références qui nous parlent tant dont un héros bien baraqué comme il faut et en mode oppai... :mrgreen:
- Kekkai sensen saison 2 : Tout ce que l'on rêvait de voir en + développé dans la saison 1 , on le retrouve ici. Ainsi, on se concentre sur Libra et on voit le quotidien de chacun des persos qui la constituent. Même topo pour les ennemis, on rêvait d'en voir + sur les hématociens, et bien on est servi. Tout ce qui constituait le sel de la saison 1 , on le retrouve ici avec un côté loufoque qui va encore + loin dans l'absurde. Validé à 100 %.
Dernière édition par guwange le Dim 01 Avr 2018, 20:42, édité 8 fois.

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VpV
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Re: Bilan Anime 2017

Messagede VpV le Lun 26 Mar 2018, 23:56

Devilman Crybaby, 2018, on est d'accord. C'est pour ça que je n'ai fait que le mentionner en prévision du bilan de l'année prochaine. :wink:

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Re: Bilan Anime 2017

Messagede Ialda le Mar 27 Mar 2018, 00:00

Je retiens principalement :

Made in Abyss : bonne adaptation (décors, musique en particulier) pour un type de récit d'aventure qui a tendance à se raréfier à la télé, avec un titre qui en plus de ça n'hésite jamais à passer d'un extrême à un autre - du merveilleux au grotesque, du qui réchauffe le coeur au pathos bien ignoble, on ne peut pas dire que la série ne sait pas s'amuser avec ses registres.

Uchōten Kazoku 2 : une suite facilement au niveau de la première série. Cette fois-ci le thème est centré sur les couples, Kaisei gagne en présence, certains personnages comme Benten gagnent en densité... des séquences comme le shogi tanuki ou l'excursion en enfer sont anthologiques.

Blame! : ça parle certes beaucoup pour une adaptation de Nihei, mais la 3D est largement au-dessus de celle de Sidonia.

The Night Is Short, Walk on Girl : une nuit enchantée dans les rues de Kyoto - ou comment la picole conduit à se retrouver embringué dans le trafic de livres et les déboires d'une association clandestine de guérilla théâtrale. Ça a été mon coup de coeur de l'année, peut-être le premier film d'animation nippon que j'ai vraiment apprécié depuis des années.

Oubli (merci ChaosLink) : Lupin the IIIrd: Chikemuri no Ishikawa Goemon


Hors classement :

No Game, No Life Zero : le film mêle les moments poignants avec des séquences de gène absolue comme seule l'animation japonaise de 2017 sait en produire. Un peu dégouté de ne pas retrouver Blank en protag, mais le caméo de Jibril valait le coup d'oeil.
Hōseki no Kuni et The Ancient Magus' Bride : adaptations décentes
Miss Kobayashi's Dragon Maid et Konosuba 2 : plaisirs coupables
Edit à cause de Gemini - Isekai Shokudô : meilleure série de bouffe avec des jolies filles.

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Zêta Amrith
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Re: Bilan Anime 2017

Messagede Zêta Amrith le Mar 27 Mar 2018, 01:32

Aer est le préposé au thread.
Je retiens de cette nouvelle livraison sans coups de coeur :

Kado - The Correct Answer (Toei)
Le meilleur (ou plus modestement le moins mauvais) anime de l'année d'après moi est réalisé à 95% en 3D. C'est probablement le fait majeur de 2017 : l'arrivée de séries CGI qui loin d'être des sous-produits pour enfants ou des adaptations de niche tentent à présent de s'imposer par l'autoroute centrale, en compétition directe avec l'animation dessinée. Ici, au moyen d'un traitement un peu plus mature que la moyenne que contrarient deux derniers épisodes plutôt décevants. Evidemment ladite technique laisse à désirer, mais si Houseki No Kuni m'a profondément ennuyé, Kado lui m'a rappelé ces gestions de crise dans les vieux films de monstres de la Toho, à la différence près que cette fois un bishounen remplace les gros lézards ou les étoiles de mer extraterrestres. Malgré d'énormes fautes de goût dans le dernier quart, malgré les redondances, je pense que ça valait le coup d'être essayé.

Garo Vanishing Line (Mappa)
Comme d'habitude avec la licence, les épisodes isolés sont dix fois meilleurs que ceux liés au kitchissime fil rouge, ce qui en clair signifie que la seconde moitié de la série est très en-deça de la première. Malgré quelques pépites (l'épisode sur le coureur sportif ou l'hommage à Psychose), on se retrouve donc avec un titre inégal, sans surprises, secouru par ses choix stylistiques nineties et son protagoniste musculeux et nonchalant à l'ancienne façon. L'anime en revêtant parfois des allures de Wicked City du pauvre parvient à créer une connivence avec le spectateur, laquelle sait lui faire pardonner la médiocrité nanardesque du scénario. Reste que c'est peut-être ça Garo, un nanar avec du swag.

Inuyashiki (Mappa)
Etant donné son auteur, je m'attendais à une spirale nihiliste sans rédemption possible à la Ryu Murakami mais la série n'est pas complètement dépourvue de coeur. Elle dégage aussi par moments, au-delà de son (indéniable) mocheté, une certaine puissance dûe pour l'essentiel à la grande simplicité de ses contrastes. Deux personnages un peu moins caricaturaux auraient permis à la série de décoller, mais globalement elle fait ce qu'elle a à faire.

Au rayon des anime disposant de leurs moments, de fulgurances et/ou de bonnes intentions mais qui ne tiennent pas vraiment la route lorsqu'on les prend dans leur ensemble > Little Witch Academia (Trigger) a plusieurs épisodes réussis au compteur, Shingeki Bahamut : Virgin Soul (Mappa) a le rythme compétent qui caractérise son réalisateur, The Ancient Magus' Bride (Wit) se défend bien dans sa catégorie "SoL", Made In Abyss (Kinema Citrus) met bien trop de temps à capter la curiosité via son glauque étouffant, The Reflection (Deen) essaie de se démarquer esthétiquement. J'aurais voulu apprécier un ATOM : The Beginning mais quand j'y repense je ne vois rien que cet anime ait su mener à bien. Le nouveau Kino 2017 était complètement loupé, plombé par de très mauvais choix dans la sélection des histoires.

Blood Blockade Battlefront Beyond ne figure pas parmi les titres sus-cités puisque je le considère comme la suite directe, une seconde "saison", d'un anime débuté en 2015 et non comme une nouvelle production. Sans quoi il serait sans aucun doute monté sur le podium.

Côté long-métrage, The Night Is Short, Walk On Girl de Science Saru est ce qui se démarque le plus dans le néant las de 2017. Le Blame ! de Polygon Pictures était très laid et trop peu atmosphérique, mais à sa décharge, regardable donc moins corrompu que ce que l'on aurait pu croire.

ADD : plus évidemment le Special (Goemon) de Lupin III, comment ai-je pu l’oublier.
Dernière édition par Zêta Amrith le Mar 27 Mar 2018, 19:52, édité 1 fois.

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Rhyvia
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Re: Bilan Anime 2017

Messagede Rhyvia le Mar 27 Mar 2018, 06:52

Une grand année sous le signe du "je voulais regarder des trucs et en fait j'ai regardé autre chose à chaque fois et c'était pas mal". Sauf quand j'ai regardé Love & Lies par curiosité, ça c'était pas bien du tout.
Mais plus qu'un vrai top, j'imagine que c'est un classement de machins dont j'ai envie de parler.

5. Alice & Zoroku
Adaptation d'un manga de SF dont j'avais jamais entendu parlé jusque là, et je pense pas être le seul. Globalement une adaptation de seconde zone sur le plan technique, avec pleins de 3D qui pique les yeux, je pense pas me tromper et me disant que la moindre qualité de cette série vient de son support d'origine.
Ca parle d'une gamine avec la capacité de plier les loi de physique par sa volonté qui va être recueillie par un papy grincheux mais honnête. Parmi les deux choses qui rendent cette série intéressante, c'est qu'en choisissant un grand-père et sa petit-fille adoptive comme duo principal elle dégage immédiatement tout élément tendancieux et peu aborder son sujet, l'éducation de cette gamine avec des supers-pouvoirs inimaginables, comme elle l'entend. Le deuxième point c'est qu'elle sait installer un léger sentiment de malaise entre deux scène naïves et sincères sans en faire trop.
Le défaut majeur est évidement que ça n'aboutit sur rien vu que l'adaptation fait que 13 épisodes. Mais ça pique mon intérêt, en tout cas.

4. Made in Abyss
Le truc avec des monstres et un labyrinthe qui s'enfonce dans le sol, recelant des trucs mystérieux et dangereux, il était passé assez haut dans ma liste des priorité avant sa diffusion et je suis plus content que ce soit révélé être une bonne série.
Beaucoup de moment rappellent ceux d'une certaines franchises de J-RPG (le deuxième opus, surtout) que j'aime beaucoup avec un traitement plus dense que ce que permette le quelques événement scriptés de la franchise : la ville qui vit par l'existence même de ce gouffre de mort, les aventuriers qui descendent à la recherche de gloire pour ne jamais revenir et autres paysages somptueux traversées de créatures infernales. Ca m'aurait pas dérangé si on s'était plus attardé sur les premiers niveaux plutôt que de courir après les enjeux dramatiques plus lourds, mais c'est dur de se plaindre quand ils se révèlent plutôt bons.

3. Kobayashi-san chi no Maid Dragon
J'ai commencé parce que je voulais pas dire que c'était nul sans avoir vu un épisode, et il se trouve que c'était pas nul. J'ai un peu l'impression de Alice & Zoroku, le matériel d'origine avait l'air assez banal mais son traitement était incroyablement juste. Après quelque conversations sur internet, je me suis rendu compte que pas mal de monde était juste passé à côté de ce truc, même parmi ceux qui l'avaient regardé. Le cœur dramatique de la série était simple mais très honnête, certainement grâce à son personnage principal d'employée de bureau célibataire qui donne un peu de teneur à ce que la série dit sur la solitude et la famille.
Inutile aussi de préciser que n'importe quoi devient automatiquement meilleur avec une réalisation compétente et des conditions de productions décentes.

2. ACCA 13
Il y a quelque chose que je trouve agaçant avec les dystopie, c'est qu'elle sont souvent complainte avec leur lecteur. Par nature, elle lui accorde une certaine distance, lui dit où regarder et montre les travers qu'elle prétend représenter comme finalement assez évidents.
Et c'est exactement l'inverse que j'ai trouvé dans ACCA 13, une intrigue où il n'y a pas d'évidence, tout est nuancé et rien n'est aussi arrêté que les frontière de ce pays imaginaire en forme d'oiseau. Plus que ça, ce n'est pas un récit d'histoire fictive mais une dizaine de petits récits différents, de ton et d'intensités différentes, qui finissent par raconter une seule histoire. Bien raconté et joliment mis en image, ce thriller politico-culinaire à la qualité principale de rester calme, sobre et classieux.

1. Shôjo Shûmatsu Ryôko
Dans le sujet sur Darling in the Franxx, Tetho m'avait répondu que je regardais encore l'animation japonaise pour avoir ma dose, mais c'est plus pour avoir l'occasion de regarder des trucs pareils.
Cette série est simplement fascinante. Parce que son sujet, celui de deux gamines qui explorent les ruines de l’humanité à la veille de son extinction, l'est mais aussi parce que sa mise en application est parfaitement en accord avec les standards actuels sans se contredire elle-même. Il n'y a pas de doute que le résultat n'est pas ceux qui vont plaire à tout le monde, la manière dont elle aborde son sujet sans aucun cynisme mais aussi sans attention, qui préfère aborder les sujets les plus important dans des sous-intrigues de cinq minutes pour laisser les héroïnes courir après des poissons dans des structures industrielle surréalistes à l'échelle et l'architecture incompréhensible (qui sont une attraction à elles seules d'ailleurs).

Et en fait c'est un top plutôt correct. Je me suis rendu compte en le faisant qu'il y avait pleins de trucs que je voulais mettre. Comme la saison de KonoSuba 2, qui est fabuleuse mais finalement pour les mêmes raisons que la première, Jûni Taisen qui avait quelques bonnes qualités et qui seraient une très bonne série d'actions si elle avait été animée dans les bonnes conditions, Gamers! que j'ai regardé pour une raison qui m'échappe encore mais c'était un très bonne raison vu que c'est plutôt drôle ou encore Net-jû no Susume une comédie romantique tout à fait honnête qui pense du bien de ces jeu en ligne gratuit du milieu des années 2000. Plus les trucs qui je peux pas mentionner vu que je les ai pas terminés, voire pas commencés.

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ChaosLink
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Re: Bilan Anime 2017

Messagede ChaosLink le Mar 27 Mar 2018, 17:39

Bon, il est temps de faire le bilan de l'année qui vient de s'écouler. Et c'était pas ouf-ouf, faut bien se le dire (surtout face au raz-de-marée qui nous attend) Cette année, j'aurais ainsi regardé 24 série télévisés, 19 OVA/ONA/Specials et seulement 3 films. En y regardant de plus près, il y a bien quelques titres qui ont sorti leur épingle du jeu et ont réussit à s'imposer comme des animes que je regarderais de nouveau avec plaisir, mais la qualité générale était quand même assez moyenne, quand elle n'était pas basse/décevante. Mais avant de rentrer dans les détails, déjà, voyons un peu ce que j'ai rattrapé de l'an dernier :

Ce que j'ai rattrapé de l'an dernier :
[Montrer] Spoiler
Du coup, par rapport à ce dont j'avais parlé l'an dernier, j'ai rattrapé quand même quelques titres :
- Re:Zero kara Hajimeru Isekai Seikatsu qui m'a fait de l’œil pendant quelques temps avant qu'un pote m'en parle en bien et que je décide de me lancer dedans. Soyons honnête, j'ai défoncé la série en deux/trois jours. J'ai toujours eu un petit faible pour les séries de die & retry et de fantasy, donc autant dire que c'était ma came. Même si la série est pas ouf au final. Si vous voulez un avis plus complet, c'est ici.
- Concrete Revolutio: Choujin Gensou - The Last Song que j'ai rattrapé au même titre que la première saison. Sans surprise, c'était de la bombe. De la tuerie du (presque) début à la fin, avec des personnages attachants, du sakuga qui tache comme on aime et une bonne OST. Reste que je suis encore un peu sur ma faim, vu les sujets relativement sérieux qui sont abordés, pour au final ne jamais rien dire d'important dessus. Plus précisément, j'ai eu beaucoup de mal à voir ce que les auteurs essayaient de nous dire. Et l'auto-critique historique au Japon, bah, c'est toujours pas ça. Dommage, dommage.
- Lupin III (2015). Putain. Cette série. EST. TROP. BIEN. Je suis resté accroché comme un débile devant et je me suis enchainé les épisodes comme jamais. C'est dingue d'avoir une qualité pareille de nos jours, et au milieu du reste de la production d'anime, c'est un joyau rare comme on en fait peu. Si vous ne l'avez pas vu, allez la mater. Maintenant.
- Garo: Guren no Tsuki dont j'ai vu un épisode, lol. Faudrait que je m'y remettes, surtout avec le film qui va arriver.
- Yu?Gi?Oh!: The Dark Side of Dimensions qui est pour moi un énorme oui. C'est un très bon film Yu-Gi-Oh!, dans la juste continuation de la série d'origine et qui arrive à nous raconter une histoire intéressante. J'ai passé un très bon moment devant ce film qui m'a fait direct retombé en enfance et je ne peux que vous le conseillez si vous avez apprécier la série à un moment de vos vies.
- Koe no Katachi dont j'ai vraiment tout dit ici. Pour citer le Fossoyeur de Films, c'était meh.


Et maintenant, on va pouvoir passer au plat principal, à savoir tout ce que j'ai vu durant l'année écoulée. Comme pour l'an dernier, je décompose mon message par catégorie et avec des spoilers pour plus de clarté. C'est parti, donc !

Les séries télévisés :
[Montrer] Spoiler
Pour cette année, on peut pas dire qu'elle a commencé très fort avec seulement 4 séries que j'ai regardé en Hiver, même si d'assez bonnes qualités. Le reste a été plutôt équilibré avec 8 séries au Printemps, 5 séries en Été et 7 séries en Automne, chacune ayant des hauts et des bas.

L'année avait ainsi bien commencé avec deux excellentes surprises : ACCA: 13-ku Kansatsu-ka, qui possède un style graphique qui a tout de suite fait mouche chez moi, ainsi qu'une histoire assez adulte et bien développé et tout un tas de personnage plutôt attachants qui évoluent dans un univers assez atypique (et la série qui a le meilleur opening de l'année, soit-dit en passant); et Onihei, qui se pose plus en série semi-historique et qui, même si elle ne possède pas de fil rouge particulier, donne du plaisir à suivre ses personnages et à voir la société japonaise de l'époque. Dans le reste des séries excellentes et que je conseille à tous de voir, nous avons eu le droit à Uchouten Kazoku 2 qui est la parfaite continuation de la première série et qui a été un coup de cœur. Il y a a eu également Kekkai Sensen & Beyond, série beaucoup plus fidèle que la précédente au manga d'origine et devant laquelle je me suis éclaté comme jamais. Avoir ce genre de série d'action décomplexé et débile est un vrai plaisir de nos jours. Enfin, mon coup de coeur absolu de l'année fut Ballroom e Youkoso, qui est juste dingue sur absolument tout les points. Je ne m'attendais à rien de particulier, sachant que j'avais juste commencé à la regarder parce que le manga avait un style graphique assez bon. Et bah putain, zéro regret. Les personnages sont tous bien défini et intéressant, l'humour fait souvent mouche, l'animation et le style graphique sont à coupé le souffle et bien évidemment, l'OST défonce sa race. Si je devais retenir une seule série de cette année, ça devrait être celle-là, malgré tout ceux que j'ai cité plus haut.

On arrive ensuite aux série de très bonnes factures, mais qui n'ont pas ce petit quelque chose qui en fait des excellentes séries. On a déjà eu les trois adaptations de shonen de l'année, à savoir Boku no Hero Academia 2nd Season, Shokugeki no Soma: San no Sara et Shingeki no Kyojin 2nd Season, qui ont toutes les trois réussit à passer au niveau supérieur comparé à leur précédentes saisons. Mention spécial pour Shingeki no Kyojin 2nd Season qui a très bien travaillé son rythme et a même pris des éléments postérieurs dans le manga pour être plus juste dans ce qu'il raconte. On a ensuite eu le droit à l'excellente adaptation de Kakegurui qui était tout à fait solide, même si ses déviations par rapport au manga d'origine était d'un assez mauvais goût (et d'une grande paresse d'écriture) Et il était bien sûr impossible de passer à côté de Made in Abyss, qui nous a tous accroché par l'univers proposé. J'ai bien sûr quelques réserves à émettre sur la série, que j'avais détaillé un peu plus par ici.
Même si ça ne s'est terminé que dans la saison actuelle, je me permets de citer Mahoutsukai no Yome, un Slice of Life de magiciens devant lequel j'ai passé un excellent moment, malgré le rythme vraiment lent de la série en général; Garo: Vanishing Line qui a été d'une jouissance absolue par moment, malgré une qualité en dent de scie et en-deça de la toute première série animé; et Osomatsu-San 2nd Season dont j'ai aussi rattrapé la première saison et devant lequels je me suis marré comme jamais. Probablement l'une de mes comédies japonaises préférés. Enfin, juste en-dessous de toutes ces séries, je placerais Shingeki no Bahamut: Virgin Soul. Cette série, bien que dans la juste continuité de la série précédente et d'une réalisation relativement solide, à malgré tout quelques défauts dont il est dur de faire abstraction, que ça soit le rythme de l'anime (bien trop lent) ou le mixage sonore, qui est étrangement mal adapté par moment et m’empêchait de rentrer comme il fallait dans les scènes. Ça, et le scénario globale qui est bien faible pour une série de 24 épisodes.

On arrive ensuite aux séries de qualités bonnes/moyennes. Déjà, nous avons eu le droit à la fin Mobile Suit Gundam: Iron-Blooded Orphans 2nd Season, qui a été assez continu sur l'emballage, mais dont le contenu a vraiment varié par moment, avec des moments à couper le souffle, comme le combat contre la Mobile Armor, et d'autres beaucoup plus plats. A noter que la fin est assez spéciale, bien que pas étonnante, et que je n'avais vraiment pas imaginé qu'ils finiraient la série ainsi. On a aussi eu Inuyashiki, qui se contente d'adapter son support d'origine en accélérer, sacrifiant beaucoup de moment de développement, et avec une 3D sacrément moche faut bien le dire. J'ai passé un excellent moment devant Atom: The Beginning, qui a su proposé de très bon moments, mais dont je n'ai pas grand chose à dire dessus finalement. Et enfin, une mention toute spéciale pour Vatican Kiseki Chousakan, série qui m'avait attiré par son affiche, dont je n'attendais rien, et où j'ai eu la délicieuse surprise de découvrir un sorte de nanar chrétien mélangeant des histoires improbables avec deux personnages principaux, pour lesquels j'ai pris beaucoup plus de plaisir à les suivre que ce à quoi je m'attendais. Il faut dire qu'avoir des personnages véritablement intelligent dans les anime de nos jours, ça a de quoi surprendre.

Et ensuite, c'est la dégringolade, avec la déception de l'année, à savoir Little Witch Academia, qui avait tout pour réussir et devenir un sorte d'Harry Potter japonais. Malheureusement, à la place, on a eu le droit à un scénario de shonen basique, une héroïne insupportable et totalement stupide, et, il faut bien le dire, du vide pendant presque toute la série. Il y a bien quelques épisodes qui sortent du lot, mais ils ne justifient à eux seuls aucunement de voir la série. Autant dire que ça fout bien le seum.

Et on passe directement aux mauvaises séries, à savoir déjà Boruto: Naruto Next Generations, qui n'a de bons moments que dans l'adaptation des one-shot de Kishimoto et qui brasse un vide d'ennuis et de personnages débiles avec des méchants plus clichés que jamais. Mais ce n'est pas grand chose à côté de la purge qu'est l'adaptation de Black Clover. Je ne reviendrais pas sur le seiyuu d'Asta qui est nul à chier et proprement insupportable, même s'il s'améliore un peu avec le temps, mais le problème vient de la qualité graphique de la série. On a eu le droit à quelques très bon premiers épisodes avec du sakuga qui dépote, avant que la qualité ne chute de plus en plus jusqu'à devenir de la QUALITY comme on en faisait plus. Franchement, on attend le niveau Berserk (2016) (ou deuxième saison de Saint Seiya Omega, ça dépend de vos préférences), où je continue plus par curiosité pour voir jusqu'où la série va chuter que par appréciation de cette dernière.
Enfin, difficile de ne pas citer Fate/Apocrypha, avec laquelle on pourrait faire un jeu à boire Nasuverse tellement les personnages sont chiants et stupides avec des réactions débiles, l'histoire inintéressante, les retournements de situations prévisibles cinq épisodes à l'avance, et le fan-service tellement lourd qu'il plombe littéralement la série. Et je commencerais même pas sur tout ce qui est illogique au sein même du Nasuverse, à commencer par Mordred (qui est une femme, forcément ~sigh), qui est la fille d'Arturia (une femme donc) et de Morgana (qui elle, n'a pas changé de sexe, étrangement et reste donc une femme) Et malgré tout, je vous conseillerais de regarder juste les cinq derniers épisodes (pas le reste parce que osef de l'histoire honnêtement), qui sont une orgie de sakuga comme on en fait peu. En particulier l'épisode 22, où les mecs se sont juste dit : "Hé les gars. Et si on faisait un épisode de 22min d'animation interrompue ?" Ha, et sinon, y'a que le deuxième ending qui est cool. Les autres opening/ending sont à jeter.

Enfin, deux séries un peu spéciale : Sekai no Yami Zukan, qui était une série courte d'histoire d'horreur sympa sans plus, mais sans animation, donc un peu hors concours; et Berserk 2nd Season, qui était tellement nul que je n'en ai aucun souvenir. Mais genre, vraiment aucun. Les seuls trucs dont je me rappelle, ce sont les meme sur les moments les plus moches. Je crois que c'est la première série qui me fait ça, et je trouve que ça en dit très long sur la qualité de cette dernière.


Les OAV/ONA/Special :
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Il y en a eu pas mal que j'ai regardé cette année. Déjà, impossible de passer à côté de Blade Runner: Black Out 2022 avec son staff en béton armé et qui est, tout logiquement, une petite perle d'animation. Ensuite, on a eu le droit à notre Mobile Suit Gundam: The Origin de l'année, qui enterre comme d'habitude (et donc comme prévu) le reste de la production. Et enfin, il ne faut pas oublier le début de Uchuu Senkan Yamato 2202: Ai no Senshi-tachi (dont je n'ai vu que 6 épisodes sur les 10 de sorti pour le moment), qui est assez décevant pour l'instant. Comme si la série essayait de reproduire tout ce qui fonctionnait dans la précédente, mais sans comprendre pourquoi ces moments fonctionnaient. Dans le haut du panier se dégage aussi Mobile Suit Gundam Thunderbolt 2nd Season, qui est dans la continuation de la première série, Shingeki no Bahamut: Genesis - Short Story qui fait bien la transition entre les deux saisons et Mahoutsukai no Yome: Hoshi Matsu Hito qui introduit parfaitement la série télévisé.

Il ne faut pas non plus oublier 91 Days Special qui est en soi le treizième épisode de la série et qui se passe avant les événements de cette dernière. Un ajout pas obligatoire mais assez appréciable. On a aussi eu le premier Kishibe Rohan Wa Ugokanai qui est juste parfait dans l'adaptation et les épisodes 13 et 14 de Drifters sorti directement en OVA (suite directe de la série donc rien à rajouter) Enfin, on a eu le début de l'adaptation de Shingeki no Kyojin: Lost Girls qui arrive à raconter quelque chose d'intéressant et les habituels OVA de shonen avec Shokugeki no Souma: Ni no Sara OVA, Boku no Hero Academia: Training of the Dead et Boku no Hero Academia: Sukue! Kyuujo Kunren!

Ensuite, la qualité descend un peu avec la mini-série Ryuu no Haisha, qui, bien que sympa, ne racontait pas grand chose et les deux Gundam Build Fighters: Battlogue et Gundam Build Fighters: GM no Gyakushuu qui ne sont clairement pas indispensable.

Enfin, on a eu le droit à la très médiocre pub qu'est Mobile Suit Gundam: Twilight Axis qui n'est rien de plus qu'un énorme doigt d'honneur à Unicorn et qui ne raconte rien (même si le contraire aurait été difficile avec des épisodes de 4 minutes) et Fate/Grand Order: Moonlight/Lostroom, pour lequel il m'aurait fallu fouiller sur internet pour comprendre qu'on ne peut pas le comprendre si on ne joue pas au gatcha. Donc de la merde. Et en hors-catégorie, on a eu Kingdom Hearts X Back Cover qui est une longue cinématique d'une heure faite avec l'Unreal Engine 4 et qui n'est là que pour expliquer les événements importants de Kingdom Hearts Chi (le jeu web/gatcha) à ceux qui n'y joue pas et voudront quand même jouer à Kingdom Hearts III.


Les films :
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Cette année a été particulièrement faible pour moi en terme de film d'animation, puisque je n'en ai vu en tout et pour tout que 3. Il y a d'abord eu Kizumonogatari III: Reiketsu-hen, qui conclut de manière fort juste cette trilogie, qui aura été d'une qualité irréprochable et devant lesquels j'ai passé un très bon moment. Ce qui me rappelle qu'il faudra que je rattrape les Monogatari un jours. Il y a eu ensuite le traditionnel film annuel de Detective Conan avec Detective Conan Movie 21: The Crimson Love Letter, qui se passait dans la ville de Kyoto cette fois et qui proposait donc des décors magnifiques, même si le film était assez classique dans ce qu'il raconte (et qu'ils craquent de plus en plus sur les exploits physiques de Conan) Enfin, MAL m'indique que c'est un film, même si j'aurais plus considérer ça comme un OAV : Lupin the IIIrd: Chikemuri no Ishikawa Goemon qui était un excellent moyen-métrage sur la série Lupin the IIIrd et qui possédait des scènes juste incroyables. Et avoir un peu plus de Goemon, qui est souvent peu développé, c'est toujours un plaisir.


Ce que j'ai a rattrapé... un jour peut-être on verra si j'ai pas la flemme
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- Ao no Exorcist: Kyoto Fujouou-hen parce que je finirais bien par regarder la série.
- Houseki no Kuni parce que j'ai des potes qui semblent bien apprécier.
- Owarimonogatari 2nd Season parce que je regarderais les Monogatari. Un jour.
- Shoukoku no Altair parce que ça a l'air cool graphiquement. Puis c'est Mappa donc c'est forcément cool.
- The Reflection parce que ça a l'air classe.
- Amanchu OVA parce que je l'avais complètement oublié. Ça sera vite fait celui-là.
- Onihei OVA s'il est traduit un jour, ça sera avec plaisir.
- ACCA: 13-ku Kansatsu-ka Specials parce que la série défonçait, donc autant voir tout ce qui existe autour.
- The Night is Short, Walk on Girl parce que Yuasa.
- Lou et l'Île aux sirènes parce que Yuasa.
- Mary to Majo no Hana qui a l'air bien sympathique.
- Fate/stay night Movie: Heaven's Fell - I. Presage Flower parce que Heaven's Fell est la meilleure partie de Fate, donc j'ai pas envie de passer à côté.
- Godzilla: Kaijuu Wakusei parce que pourquoi pas ?


Mes attentes pour l'an prochain :
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Et là, c'est tellement l'orgie que je vais me contenter de faire une liste comme pour les animes que j'ai a rattrapé, classé par ordre alphabétique. Bien sûr, certains de ces titres ne sortiront peut-être qu'en 2019, comme c'est le cas de Sarazanmai, mais je les attend quand même tous avec une certaine impatience :
- Amanchu! Advance pour la joie de vivre et les bonnes expressions faciales des héroïnes.
- Banana Fish parce que Banana Fish, putain. Ça a l'air incroyable.
- Boogiepop wa Warawanai, c'était tellement improbable que je peux pas rater ça.
- Boku no Hero Academia 3rd Season parce que c'est toujours cool, et on va arriver dans les arcs vraiment intéressant.
- Boku no Hero Academia The Movie: Futari no Hero parce que pourquoi pas ? Je suis curieux de ce qu'ils vont faire avec.
- Carol & Tuesday par Shinichiro Watanabe. J'ai vraiment besoin d'en dire plus ?
- Chuukan Kanriroku Tonegawa parce que je reste fan des œuvres de Nobuyuki Fukumoto et que j'ai envie de voir ce qu'ils vont faire.
- Cutie Honey Universe à voir ce que ça va donner.
- Dororo parce que ça a l'air juste ouf.
- FLCL Alternative qui m'attire vraiment pas, mais que je regarderais par curiosité.
- FLCL Progressive. Voir juste au-dessus.
- Full Metal Panic! Invisible Victory.
- Gegege no Kitaro. J'ai jamais vu du Gegege no Kitaro, donc je me dis que ça peut-être l'occasion de découvrir ça.
- Ginga Eiyuu Densetsu: Die Neue These - Kaikou, c'est du Gineiden, donc ça me donne envie, mais qu'est-ce que j'ai peur quand même...
- Golden Kamui a tout pour me plaire donc, let's go.
- Gundam Build Divers par pur curiosité. Mais vraiment juste par curiosité.
- Hisone to Masotan qui a l'air méga-cool, faut être honnête.
- Kakegurui 2nd Season. La première saison était bien. Et je suis curieux de voir comment ils vont faire la transition avec la deuxième, vu le dernier épisode nul à chier.
- Karakuri Circus qui me hypait de ouf, jusqu'à ce que j'apprenne qu'il n'y aura qu'une trentaine d'épisodes. Je le suis un peu moins du coup.
- Lupin III: Part V.
- Nanatsu no Taizai Movie: Tenkuu no Torawarebito parce que la baston a toujours été le point fort de Nanatsu no Taizai, donc un film, ça peut être que tout bon.
- Persona 5 the Animation. J'ai vu les autres séries en anime, donc je suis curieux de voir ce qu'ils vont faire avec celle-là.
- Made in Abyss 2nd Season qui s'annonce sombre, glauque et gore. Donc, ça va être de la frappe.
- Megalo Box qui a l'air assez ouf quand même, même si je vois toujours pas le lien avec Ashita no Joe.
- Mob Psycho 100 2nd Season parce que la première saison défonçait tout, donc pas de raison que ça soit pas le cas de la deuxième saison.
- Mirai no Mirai, Hosoda oblige.
- One Punch Man 2 parce que je reste curieux.
- Sirius the Jaeger qui a l'air cool.
- Shingeki no Kyojin Season 3, qui adapte pas le meilleur arc de la série, mais qui reste intéressant.
- Shokugeki no Souma: San no Sara - Toutsuki Ressha-hen qui aura juste des combats de folie et que j'attends avec impatience.
- Shoujo Kageki Revue Starlight, pour Tetho qui a réussit à me hyper dessus, malgré un chara-design à vomir.
- Steins;Gate 0 par curiosité.
- Tate no Yuusha no Nariagari qui est un manga un minimum atypique dans son genre que j'apprécie beaucoup et dont je suis très curieux pour le coup.
- Vinland Saga parce que Vinland Saga en anime PUTAIN ! LA HYPE EST TROP FOLLE !


Du coup, une année un peu pauvre, malgré quelques très bonnes séries (et très bonnes surprises surtout), qui fera sans le moindre doute pâle figure face au raz-de-marée qui nous arrive dessus en 2018. Et qui a déjà très bien commencé avec le chef d’œuvre qu'est Devilman Crybaby, mais aussi plein de séries intéressantes comme Darling in the FranXX ou Fate/Extra: Last Encore (je déconne même pas) Et cette année marquera aussi le début des séries Netflix avec B the Beginning et A.I.C.O. Incarnation, mais je reviendrais plus tard sur ces dernières.
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Re: Bilan Anime 2017

Messagede Gemini le Mar 27 Mar 2018, 19:44

Cela tombe bien, il n'y a de toute façon que cinq animes de 2017 que je m'imagine recommander.

3-gatsu no Lion : Rien que pour lui, l'année 2017 - et 2016 au passage, puisqu'il avait commencé en Octobre - mérite que nous nous en souvenons. Une série qui m'a fait rire, qui m'a fait pleurer, et dotée en outre d'une direction artistique sublime qui pour le coup apporte un authentique plus par rapport au manga qu'il adapte. Il en faudrait plus des comme ça.

Isekai Shokudô : Mon petit plaisir hebdomadaire. Je craignais que le concept devienne rapidement redondant, mais il fonctionne en réalité vraiment bien, grâce son atmosphère chaude et ses personnages immédiatement sympathiques. Apparemment, d'autres animes dans la même veine vont suivre cette saison. Drôle de niche ^^'

Kemono Friends : Cela ne paye pas de mine, techniquement cela ne casse pas trois pattes à Grape-kun ( :cry: ), mais cet anime propose un charme absolument unique, entre personnages délirants et inutilement colorés, et monde apocalyptique mystérieux. Je suis assez curieux de voir la suite, même si sans l'équipe d'origine, je ne suis pas sûr que le studio arrive à accoucher d'un titre aussi étrangement charmeur.

Princess Principal : Une animation, une direction artistique, et une musique largement au-dessus de la moyenne, un univers très solide, de l'espionnage... et près de la moitié des épisodes ne tirant pas pleinement parti de toutes ces qualités. Dans ses meilleurs moments, Princess Principal est presque aussi bon que 3-gatsu no Lion, mais cela vire trop facilement au larmoyant. Dommage, mais l'anime mérite quand même le coup. En espérant une suite qui saura rester dans la lignée de ses épisodes les plus mémorables.

Shôjo Shûmatsu Ryokô : De l'exploration de ruines en pleine apocalypse. Un anime envoutant, bourré de mystères qui resteront fore heureusement sans réponses, avec deux héroïnes dont le quotidien se laisse suivre avec plaisir.

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Re: Bilan Anime 2017

Messagede chevkraken le Mar 27 Mar 2018, 19:59

alors pour moi, 2017 a été mieux que 2016 et il sera assez dur de me limiter à 5 titres, mais vu que j'ai vbu qu'un OAV et 2 film d'animation, je vais me permettre un top 3 de chaque saison.

Alors pour l'hiver 2017,elle était sous le signe de la mignonnerie avec dans l'ordre de qualité:

1.Demi-chan, série adorable sur le thème des monster girls auquel une suite sera toujours bienvenue.
note: 16/20
2.Miss Kobayashi Dragon Maid sama, un très bon tranche de vie par Kyoani qui offre une réa differente de d'habitude, le titre au delà du concept irréaliste de Dragon vivant parmi les humains et des situation WTF a pour lui de s'attarder sur des personnages adulte plus crédible que ce qu'on trouve dans beaucoup de séries du genre. avec un couple élevant un enfant assez réussi car oui, Kobayashi et Toru sont clairement un couple.
note 16/20
3.Gabriel Drop Out, série tranche de vie sur un ange qui va se retrouver corrompu par les MMORPG et va devenir une Neet paresseuse. la série est ultra classique mais très drole avec des Ange pervertis et des demon trop gentils. un petit plaisir coupable.
note:15/20


mention speciale à Masamune-kun revenge qui a un petit feeling comedie sentimentale de milieu 2000 et devant laquelle j'ai passé un bon moment.

Pour le printemps, il fut assez decevante et je n'ai retenu que:

1.Kado, the right answer qui fut quasiment la série de l'année. Original, interessante, mature utilisant très bien la 3D et avec un op qui déchire. Son style permet de combler certaines facilité sur son dernier quart.
note:15/20
2.Tsuki ga kirei: un excellente série sentimentale très bien écrite, subtile et qui n'en fait pas trop avec en plus une palette de couleur excellente.
note 17/20
Oui, je sais c'est pas logique, Kado moins bien noté que Tsukiga kirei est en premier.

Pour l'été, mon top est:

1.The reflexion. Comme Kado, la série a ses defaut (animation inégale, rythme batard, les idoles) mais son originalité visuel et son traitement vraiment à l'occidental des super heros en font vraiment LA série de la saison. Surtout qu'à la manière d'un Rising Star ou d'une série comme Heroes(dans sa première saison) on est sur du titre de super heros centré avant tout sur les personnages et non sur de l'action (reproche idiot que font tout les detracteur de la série, ça se bat pas assez).
Et puis mince, SkyShow!!!
15/20

2.Ballroom no yokoso, un putain de Shonen de sport qui depote avec une animation top sur un thème original et un bon style graphique.
Note: 18/20

3.Un peu par defaut car il n'y avait rien d'autre, Tsudere Children qui était sympa, oubliable, mais j'ai passé un bon moment devant.
note 14/20

L'automne a été par contre la meilleure saison:
1.Ancient magus Bride gagne la palme, si la série va trop vite et a beaucoup perdu en qualité dans sa seconde moitié (même sans lire le manga, ça se sent que ça rushe surtout dans sa seconde moitié et le Chise/Elias devient moins important que de pourrir la vie de Chise avec des menaces dont on se fout), la série était très bonne sur sa première partie qui s'attardait sur ce qui était interessant, la relation Chise/Elias et l'apprentissage de Chise.
Note pour la première moitié 18/20 (14 pour la seconde saison)
2.RWBY Après une saison 4 en demi teinte car centré sur la reconstruction des persos, la saison 5 revient enfin au niveau de la saison 3 avec de la badasserie et de l'intensité. Bon, j'ai definitivement fait une croix sur des fight d'exception(depuis la mort de Mouty Oum, il n'y en a plus eu, son successeur n'a pas son talent de chorographe) mais le reste est suffisament bon pour que au final, on s'en foute un peu (comme lors de la saison 3)
note: 16,5/20
3.Recovery of an MMORPG junkie, une bonne petite histoire sentimentale sur fond d'hikkikomori et de MMORPG, comme Kobayashi Dragon maid et Relife en 2016, la force de la série est d'avoir des personnages principaux adulte.
note:16/20

Je ne parlerait pas de la saison qui se termine car c'est 2018

Par contre on va y aller pour le top 4 des anime mauvais et decevant:

1.Gamers: Pourquoi j'ai regardé ce truc, la série tourne en rond dès le deuxième épisode avec de mauvais quiproqui et très peu de persos appréciable et pas mémorable(la fille aux cheveux rose es la seule que j'ai aimée) et ne merite pas son nom vu à quel point les gamers sont zappés.
2.Orange:La série tourne en rond assez vite et se revèle vite chiante. On se demande pourquoi ce shojo a un tel succès.
3.Fate Apo: je sais pas passé les 7,8 premiers episodes, je me suis fait chier.
4.Combini Kareshi:Une histoire sentimentale juste chiante

En OAV, je retient celle de Gabriel Drop Out qui ose faire un truc qui change de la série avec un ton sérieux et le traite bien.

ce que j'ai pas regardé mais que je pense faire: Kemono Friends, Konosuba saison 2, Jigoku Shojo saison 4, le Rakugo ou la vie saison 2
l'anti-fan vous attend. Ne vous laissez pas aveugler par l'amour que vous portez à vôtre œuvre fétiche, il ne vous le pardonnera pas.

Mais attention, ça ne l'empêche pas d'être un fanboy de Vanellope von schweetz!!!

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Re: Bilan Anime 2017

Messagede Api le Mer 28 Mar 2018, 10:17

En voyant ce que vous retenez de l'année dernière, je constate qu'il y a des goûts très hétéroclites par ici. Et je ne vais certainement pas faire mentir cette tendance, vu mon top.

5 - Tsuredure Children
Avec plus de quatre couples principaux et quelques autres plus secondaires, la série peut se permettre d’enchainer les scénettes sans jamais lasser. Chacun des personnages a son caractère bien a lui, si bien que les situations se renouvellent sans cesse.
Je ne pensais pas pouvoir m’attacher aux couples présentés, tant ceux-ci étaient nombreux. Pourtant, j’ai fini par tous les trouver touchants à certains égards (même si la relation entre le président des élèves et la délinquante me hérisse toujours le poil). Le « couple » formé par Katori et Kazuko est mon petit favori, tant leur dynamique m’aura fait me tordre de rire. Et j’ai aussi trouvé adorable la relation naissante entre Chizuru et Takurô qui n’osent pas reconnaitre leurs sentiments.

4 - Princess Principal
On peut dire que Princess Principal est en quelque sorte un aboutissement après Joker Game. Son univers steampunk et son ancrage au début du 20ème siècle lui donnent une vraie personnalité. La série reste très solide dans son écriture et prend le temps de développer ses personnages en même temps que ses intrigues. Son casting entièrement féminin peut lui donner des faux airs de K-on!, mais les demoiselles ne sont certainement pas là pour plaisanter. Le premier épisode se conclue notamment par une scène où l’héroïne abat un homme pour sa trahison.
J’avais entendu tellement de critiques élogieuses à son égard que je ne pouvais pas faire l’impasse sur cette série. Et au final j’ai vraiment apprécié suivre les aventures de ce groupe d’espionnes, notamment en apprendre plus sur Dorothy, pour laquelle j’ai une petite préférence. C’est celle qui apparait comme la plus humaine de la bande et qui parvient encore à sourire malgré un passif pas franchement gai. Les autres personnages ne sont bien sûr pas en reste et l’opening de la série nous tease d’ailleurs très bien ce qu’on nous cache.

3 - Kono Subarashii Sekai S2
C’est après avoir entendu beaucoup de bien de la première saison que j’ai décidé de rattraper mon retard pour enchainer directement sur cette suite. La première chose à noter entre ces deux saisons, c’est ce changement graphique qui a dû en surprendre plus d’un. Certains le classeront parmi les points négatifs, mais ce serait négliger à quel point un chara-design adapté peut aider à l’animation et au potentiel comique. Maintenant que nous connaissons bien les personnages, on s’attendrait à ce qu’un humour qui fonctionne uniquement à leurs dépends finisse par s’épuiser très vite, et pourtant, les gags s’enchainent à la minute sans jamais lasser, l’opening étant d’ailleurs une excellente démonstration de ce que peut faire l’humour aidé de l’animation. Cette approche de la part du studio DEEN ne fonctionnerait certainement pas si l’on était face à un animé qui se voudrait plus sérieux, mais ici, l’équipe s’est fait plaisir avec cette adaptation et ça s’en ressent. On pourra toujours leur reprocher une certaine fainéantise au niveau de l’OST qui reprend la majorité des pistes utilisées pour la première saison, mais étant donné le nombre d’épisode encore une fois assez faible, on peut le comprendre.

2 - March comes in like a lion S2
Selon moi, la première saison souffrait d’une omniprésence de la patte SHAFT, à grands coups d’effets visuels et de tics sonores. Le studio a finalement trouvé un équilibre avec cette seconde saison qui met cette fois la narration en valeur à travers ses effets de style et non plus l’inverse. Qui plus est, l’histoire prend une ampleur considérable lorsque le focus n’est plus sur Rei et ses tourments intérieurs, mais sur ses proches qui doivent faire face à leurs propres déchirements. Hina, écrasée entre ses propres convictions et l’inaction de la société ; Nikaidô, qui se bat littéralement à corps perdu… March comes in continue donc ce qu’il sait faire de mieux, c’est à dire proposer des drames du quotidien, en nous laissant toucher du doigt l’essence même de ses personnages.

1 - Magical Circle Guru Guru
Si l’on s’attarde un peu sur la forme, on constate rapidement que la série propose une animation léchée et fourmillant d’idées de mise en scène. En bonne parodie de RPG, on verra ainsi apparaitre parfois des boites de dialogue, des animations de confusion et même un effet de pixellisation imitant un zoom de la « caméra ». Mais si la série est déjà très riche de ce côté-là, elle ne s’arrête pas à quelques références faites au RPG. Au fil des épisodes, on pourra même assister à une comédie musicale, une battle de rap, mais aussi retrouver des clins d’oeil aux shojo, et plus simplement aux histoires de héros qui s’en va terrasser un dragon pour sauver sa princesse. Certaines scènes semblent même tout droit sorties de contes de fées.
Guru guru, c’est un peu cette histoire qu’aurait imaginé un enfant à l’imagination débordante, où tout peut arriver et n’importe quand. Tout est prétexte à faire rire et l’on cherche constamment à nous prendre par surprise, au travers de situations absurdes ou de réactions extravagantes. L‘opening de la série est d’ailleurs très représentatif de cette mentalité et nous donne un excellent aperçu de ce que la série a à nous offrir. De même, les musiques, tantôt guillerettes, tantôt grandioses, sont toujours un véritable appel à l’aventure.
Grand amateur de comédies, je ne pouvais qu’apprécier énormément Guru Guru, et je peux vous assurer qu’aucune série ne m’avait autant faire rire depuis Nichijô ! Ce qui la distingue selon moi des autres séries du genre, c’est son extrême richesse et le soin qui lui a été apporté. Non seulement les personnages sont terriblement attachants (même le méchant Raid), mais en plus l’univers dans lequel ils évoluent donne envie d’y prendre part. Ceci dit, si vous deviez retenir Guru Guru, ce serait avant tout pour les frimousses de son héroïne, l’adorable Kukuri.
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Re: Bilan Anime 2017

Messagede Deluxe le Mer 28 Mar 2018, 16:45

Sans ordre particulier :

Showa Genroku Rakugo Shinjuu 2 (Deen) - Si vous faites partie de ceux qui clament à longueur de posts que l'animation japonaise en 2017-2018 raconte tout le temps la même chose et de la même manière, et que vous n'avez toujours pas regardé cette série vous n'êtes alors rien de moins qu'un hypocrite. Cette saison reprend le flambeau de la première avec toujours autant de talent, de sobriété et d'élégance pour conclure le parcours de Yakumo, Yotaro, Konatsu et les autres. Il n'y a peut-être pas le souffle de la première série qui adoptait une forme biographique nous faisant parcourir l'histoire du Japon au XXe siècle, mais la profondeur de l'écriture et la beauté de la mise en scène sont toujours présent jusqu'au dernier épisode dont l'ultime "plot-twist" finit de placer cet anime dans la cour des Grands.

Genocidal Organ (Geno studio) - Un long-métrage au parcours accidenté mais qui une fois sur l'écran impressionne par la densité de ses thèmes, la compétence de sa mise en scène et la précision de son animation se réclamant de l'école réaliste du Prod IG de la grande époque. Suivant le roman orignal paru dans le sillage des techno-thrillers post-11 septembre, le récit à une bonne décennie de retard sur l'actualité mais le créneau qu'il occupe est tellement désert qu'il peut se placer comme un solide représentant moderne de ce style devenu rare.

Kakegurui (Mappa) - Une série simplement jouissive, tant au point de vue de son récit complètement divorcé de la réalité ou de sa mise en scène érotisante et outrancière. L'anime a énormément souffert de la comparaison avec l'ancêtre Kaiji, dont il reprend le postulat mais pour l'emmener dans une direction complètement différente, moins axée sur l'aspect social du jeu que sur l'étude de sa galerie de personnages charismatiques.

Inuyashiki (Mappa) - La cinématographie froide et précise de ce thriller conceptuel parvient à compenser sa relative indigence technique, en particulier dans sa seconde moitié. L'idée de départ de la série, de ce vieillard cacochyme transformé du jour au lendemain en androïde extraterrestre - et superbement retranscrite dans cet excellent opening, est tellement insensée qu'elle ne peut que fasciner le spectateur hypnotisé par la violence excessive et exagérée de la série qui confine parfois au malaise.

Au rayon des déceptions, on notera :
- Kino 2017 (Lerche), la preuve ultime que l'intérêt d'un anime réside autant dans le contenu que dans la manière avec lequel il est réalisé ;
- Re:Creators (Troyca), un foutage de gueule du niveau de Aldnoah/Zero qui fait l'apologie des light novels, des fanfictions et de toute ce qui est cancérigène dans le fandom actuel ;
- Les Enfants de la Baleine (JC Staff) un récit d'aventure bien intentionné et produit avec talent, mais dont les personnages sonnent trop creux pour donner envie de les suivre avec sincérité.

Mention spéciale :
- Vatican Miracle Examiner (JC Staff), la meilleure comédie involontaire de l'année.

Finalement, l'année 2017 a été exceptionnelle pour le jeu vidéo japonais mais pour les animes c'est plus mitigé. Je pense cependant que 2018 sera d'un meilleur cru.

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Tetho
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Re: Bilan Anime 2017

Messagede Tetho le Mer 28 Mar 2018, 18:06

Il y avait un twist au dernier épisode de Shôwa Genroku Rakugo Shinjû ? A la limite à l'épisode précédant, en faisant mine de ne pas comprendre ce qu'il se passe, mais le dernier...
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Re: Bilan Anime 2017

Messagede guwange le Mer 28 Mar 2018, 19:25

Comme il me restait 5 épisodes pour finir Kado, j'en ai profité pour remplir ma mission.
Du coup, il rentre dans mon top. ( message édité )
Pour Genocidal Organ, toujours pas vu, j'attends désespérément une version vostfr ou encore mieux une sortie officielle au format blu-ray en France.

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Re: Bilan Anime 2017

Messagede Sch@dows le Sam 14 Avr 2018, 17:43

Sans forcément être ma meilleure série de 2017, celle qui m'a le plus surpris, ou peut être devrais-je dire celle que je me suis le plus surpris à aimer, c'est incontestablement Welcome to the Ballroom. On rigole souvent en disant que les japonais sauraient rendre intéressant n'importe quoi, et il est bien difficile de donner tord à ce préjugé tant je me suis surpris à attendre impatiemment chaque semaine un nouvel épisode me plongeant au cœur des competitions de dance de salon.
J'ai trouvé les personnages parfois attachant, parfois charismatique, et on y trouve tout les ingrédients du shônen sportif qui, encore une fois, ont bien marché sur moi.

Ce qui est probablement ma série 2017 restera cependant Made in Abyss, pour sa DA, son rythme, ses instant triste comme ses moments amusants. Je n'ai d'ailleurs pas pu m'empêcher de continuer l'histoire au travers du manga.

Je placerai derrière ex-æquo, ACCA 13 et The Ancien Magus Bride.
La première pour sa DA original, qui enrobait une intrigue finalement palpitante jusqu'au bout.
La seconde, pour son histoire qui, sous ses ères de tranche de vie, faisait évoluer les personnages (et puis cette musique du premier opening, que l'on retrouve en version longue dans l'insert de l'épisode 12).

Bon et puisque je n'arrive pas tellement à départager les 2 titres suivants (et que Magus bride s'est a moitié déroulé en 2018 ;p) je place 2 animes que j'ai trouvé corrects, principalement parce que ce sont des thèmes qui m'intéresse généralement : la cuisine avec Isekai Shokudô pour ses short stories 100 mille fois plus intéressantes que Isekai Izakaya, et la réflexion avec Classroom of the elite parce que j'aime bien le "je sais que tu sais que je sais que tu sais ...".
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