Dynamic Heroes:

Manga entièrement en couleur en 4 tomes et en trois éditions de disponible chez nous. Il a la version "rouge" avec les noms francisés, la "bleu" avec les noms japonais et la "fnac" qui est dispo qu'à la Fnac...
Comme l'annonce les couvertures, il s'agit d'un gros crossover dans la continuité des adaptations animés des mangas de Go Nagai liant les vieilles séries de
Devilman,
Getter Robo,
Cutie Honey,
Mazinger Z,
Great Mazinger et
Goldorak ensemble comme le faisait certain des films autrefois. Bref, on est en plein rétro, d'où le choix des versions pour les noms...
Chronologiquement, on est après la fin de
Goldorak et des autres séries, avec une histoire prétexte pour ramener tout le monde comme le raconte le synopsis officiel:
Voilà maintenant un an qu'Actarus et Phénicia ont rejoint Euphor, leur planète natale, pour œuvrer à sa reconstruction. Sur Terre, Cherry Miel, à la poursuite des hommes de l'organisation Panthéra, se retrouve piégée par 2 démons et ne doit son salut qu'à l'intervention d'Akira Fudo et de son alter-ego, Devilman. Pendant ce temps, le Centre du Professeur Procyon détecte des OVNI qui pénètrent l'atmosphère terrestre. Il s'agit de la soucoupe porteuse de Goldorak, poursuivi par des soucoupes inconnues. Phénicia, seule à bord, est en mauvaise posture. Alcor saute à bord de son Alcorak pour la secourir, mais il tombe nez à nez avec Grangen, la terrible bête démoniaque, et se retrouve à son tour, en grande difficulté. Heureusement pour lui, Antarès apparaît à bord du Great Mazinger pour régler son compte à la bête céleste. A quoi ou qui sont dues toutes ces attaques ? Quel est leur objectif ? Et pourquoi Phénicia est-elle seule ?
Dans les faits, c'est du pur produit pour fans, dans l'esprit des films crossover qui sortaient autrefois sauf que c'est sur papier cette fois-ci. Si on ne connais pas tous les séries cités dedans, c'est compréhensif, mais on doit perdre un peu à la lecture à ne pas comprendre toutes les références...
Rien de vraiment indispensable, mais si on aime les œuvres d'origines, on y trouve son compte avec cette plongée dans le Passé qui respecte les codes des séries dont elle s'inspire à la fois graphiquement, mais également dans le ton.
Quand a l'édition, c'est du Isan, c'est cher, mais on a du beau papier avec une belle impression couleur, avec leur habituelles couvertures dur des plus solides. On peut pas leurs reprocher la qualité de leurs produit même s'ils sont onéreux...